La grand place

Ou seront placardée où lues publiquement les nouvelles du royaume

Jack suivait donc le garde qu'il avait repéré un peut plus tôt. Celui-ci mettait un temp fou à s'éloigner de la foule et à aller dans un endroit un peu plus calme, mais tout en se raprocant Jack se disait que cela serait bien plus spectaculaire si il parvenait à tuer un garde loyaliste en pleine journée et, au beau milieu de la grande place. C'est ainsi qu'il se rapprocha encore un peu plus du garde en marchant au milieu de la foule, puis profitant d'une goutiére, l'assassin monta en haut d'un toit. Passant de toit en toit il suivit le garde, ses couteaux de lancer prêt à penetrer sa chair. Profitant d'un moment d'égarement du garde Jack lanca un de ses couteaux, qui vint lacerer le genou gauche de sa victime. Mais alors qu'il lancait le deuxiéme pour achever le garde qui était à terre et fou de douleur, une tuile se détacha et il manqua de tomber, le garde s'apperçut alors où se tenait son agresseur et sorti son arbaléte pour décocher, malheureusement pour le loyaliste le deuxiéme couteaux trouva sa main gauche et le garde compris que Jack cherchait le corps à corps. La foule ébahie ne sachant que faire fit un cercle autour du garde qui se rua dans la maison en face de lui et entreprit de monter sur le toit pour faire payer Jack.


suit [Maison M.Hus]

Il faisait nuit quand Etan arriva enfin sur la grand place de la Ville. Personne ne se trouvait dans les rues mais il distinguait le bruit d'un combat et des cris venant d'une maison. Mais il ne se préoccupa pas d e cela et préféra aller trouver la plus proche auberge pour y passer la nuit, il lui restait certes peu d'argent mais assez pensait-il pour prendre une chambre et puis, il lui restait son épée et sa pièce d'or en dernier recours ne voulant pas faire fausse note dans la ville. Car celle ci étant surement mieux gardée que les petits villages alentours qu’il était facile pour lui de rayerr de la carte.

Alors Hector sent-tu l'odeur de bière quelques part ?

Le renard la truffe au vent lui montra une direction, Etan suivit son animal dans les rues sombres de la ville et finit par arriver à une auberge qui semblait pour le moins douillette.


Le renard la truffe au vent lui montra une direction, Etan suivit son animal dans les rues sombres de la ville et finit par arriver à une auberge qui semblait pour le moins douillette.


L'auberge du magicien d'Ose

Notre héro arriva de nouveau sur la grande place, les boutiques s'étaient ouvertes et les citadins allaient et venaient sur tout la place. Sortant de sa bourse le parchemin qu'il gardait toujours sur lui dpeuis que le garde de Buttleford. Il retourna le parhcemin et écrivit dessus à l'aide du'ne plume et d ela plus belle écriture qu'il put faire une missive pour la reine.

Aprés avoir fini sa lettre il croisa une petit garçon qui semblait trés bien habillé. Il l'interpla et le chargea d'apporter cette lettre à la riene Itzalina en personne et en main propre. Le petit garçon s'executa fit un sourire au chevalier puit rejoingnis sa nourice qui le raccompagna au chateau.


Les jardins

Bereciak attendait depuis un quart d'heure le comte...
Il siffla Rapia en lui demandant d'aller au devant pour voir ce qu'il en était du comte...

Elle lui revint quelques minutes plus tard pour lui dire que le comte avait dû prévenir la reine qu'il partait pour la ville...
Bereciak était inquiet...il redoutait déjà le pire :
Que le comte un peu trop bavard aurait fait mention de son nom, pire encore de son titre et de sa localisation...
Il devait pourtant demander audience incognito et si le comte révélait tout, il serait perdu...!
Il attendit alors avec anxiété en tournant sans cesse en rond...



(pitié Néron ne dis rien ! s'il te plaît)

Le Comte parcourait le Grande Place sur son beau destrier blanc. Il y a avait un monde fou ce qui gênait Néron dans son avancée. Il braqua son cheval en arrière et haussa la voix d'une façon autoritaire :

Place ! place ! Ôtez-vous de mon chemin ou bien servez de pavés à ma monture !

Ces humains... pires que des fourmis ! pensa t-il d'un air enervé à cause de sa soirée plutôt mauvaise et mouvementée.

Une fois la route un peu plus dégagée, il se concentra et dégagea une importante partie de sa magie afin de lire dans les pensées des personnes dont il croisait le regard. Il espérait ainsi repérer Béreciak.

C'est alors qu'il s'arrêta devant un Elfe, dont un oiseau se posa sur son épaule, dont il avait sentit l'appel de son nom à l'intérieur de l'esprit de Bereciak.

Néron reprit ses esprits et resta droit sur son cheval observant de haut l'Elfe en face de lui.

Messire Bereciak je présume ?

Le Seigneur d'Arkiliad eut une légère grimace, signe de froissement, en entendant le titre de "Sieur" donné généralement aux simples personnes.. Il rectifia sans attendre..

Comte Néron d'Arkiliad...[/b)

Il déplaca sa monture en direction d'une auberge.

[b]Afin de s'entretenir, il serait préférable de se rendre dans un endroit moins fréquenté qu'en dîtes-vous ?



(Je suis navré mais je dois débaucher la !! on reprend un peu plus tard dans la soirée ? merci !)

Mille pardon cher comte, s'empressa de dire bereciak pour ne pas paraître impoli, souhaitiez vous me voir ?
Je sais que vous êtes très proche de la reine...et il se trouve que je dois lui demander audience...

(Désolé pour le départ précipité d'hier ! on reprend la où on était Bereciak ok ? tu peux éditer ton dernier message ? merci)



Le Comte dirigea son regard vers l'Auberge du Magicien d'Ose tout au bout de la place.

Cette Auberge là-bas. Elle n'est point des plus déplaisantes. Nous y serions tranquille et la nourriture n'est point mauvaise.

Il détourna son regard fixe sur Bereciak.

Sauf si vous avez un autre endroit à me conseiller ?

Taverne de l'orc roti


Etan arriva sur la grande place, il cherchait de l'oeil Yuk, lorsqu'il le trouva, il sortait juste de la taverne. Etan alla le rejoindre.

Mesire, je vous remercie bien, mais nos routes se séparent ici. Mais nul inquiétude, nous nous reverrons surement.

Etan partit alors en direction de la sortie de la ville. En espérant que les gardes ne le trouveraient pas il marcha tranquillement dans la foule pour eviter d'être remarquer. Il n'était plus qu'à une centaine de métres et même Hector s'impatientait d'en sortir.

Entrée du chateau

La reine et son escorte arrivèrent alors sur la grande place. Les gardes étaient un peu en retard car, Itza avait fait forcer l'allure à son cheval en appercevant Etan. Pourtant, elle ne le poursuivit pas et envoya seulement un petit quart de sa garde à sa poursuite.

Cétait plutôt Keiyu (enfin, cailloux de son nouveau prénom) qu'elle voulait récupérer...
Même les vifiers rebelles le croyaient mort... Si l'on venait a apprendre qu'il était en vie....

Elle le vit enfin sortir du restaurant et lui bloqua la route alors que ses gardes essouflés et toujours un peu a la traine la rejoingnaient.

Etan se disant que laisser son sauveur à une possible capture, s'arreta et fit demi tour pour revenir au restaurant de l'orc roti. Mais il vit queqlues gardes à cheval qui venaient vers lui, mais plus important il apperçu la Reine elle-même sur son cheval qui bloquait la route à Yuk. Il se precipita vers la reine, les gardes ne voulant pas écraser les citadins hurlaient de leur faire place et n'avancaient que trés lentement. Aprés quelques minutes de bousculade il arriva juste à côté de la reine. Il lui lanca:

Eh bien ma reine, on sort de son chateau rien que pour nous deux ? Cela est trop d'honneur. IL regarda Yuk et lui fit un clin d'oeil.

Un leger sourir apparaut sur le visage d'Etan qui retira son heaume.

La reine coinçait toujours Yuk quand Etan revint en arrière alors que les gardes du chateau essayaient vainement de la rejoindre sans écraser trop de badeaux. Il était certain qu'une vintaine de gardes non montés n'étaient pas forcément des plus impresionnants...

Le premier des deux hommes ne pu s'empeicher de lui lancer une légère pique en venait soutenir celui qui l'avait libéré: Eh bien ma reine, on sort de son chateau rien que pour nous deux ? Cela est trop d'honneur.

Ne pouvant descendre de sa monture car elle savait ce qu'elle risquait en réagissant ainsi, la reine ne pu que lui répondre sur le même ton:

"Ne le prenez pas ainsi mlonsieur, j'ai mes raisons et, elles sont bien meilleures que vous ne pourriez le croire..."

Puis, soudain frappé d'art, Etan se retrouva dans la même position que la veille aux jardins du chateau...

Etan sentit les même troubles qu'il avaient ressentit lors de sa rencontre dans le jardin. Il dut focaliser tout son esprit pour lutter contre les attaques mentales qui le frappaient. Il se dirigea ver sle restaurant pour éspérer échapper à la vue de son agresseur et iansi faire cesser ces attaques.

C'est aprés avoir lutter plusieurs minutes qu'il reussi enfin à rentrer à l'interieur du restaurant.


Restaurant de l'orc roti.

Restaurant l'orc roti


... Etan ayant sauter du premier étage atterissa là où il avait visé. Sur le cheval d'un garde descendut de sa monture pour attraper Hector, qui l'avait aidé à s'enfuir du comte. Arriver sur la monture il galopa, attrapant Hector au passage et bousculant le garde qui le tenait presque. C'est ainsi qu'il reconnu l'elfe, le comte Néron et en profita pour lui adresser un clin d'oeil et un petit sourire.

Bonne journée cher comte !! lui lanca-t-il.

Et sortit de la ville indemne mais avec un poid sur la conscience.... Yuk s'en était-il sortit ? Il prefera refouler ce sentiment jusqu'à son arrivé dans la forêt.


Forêt

Alors que la fuite d'Etan distrayait tout le monde, Yuk effraya la monture de la reine (probablement en se servant du vif).

Pris d'une terreur soudaine, elle fit chutter sa cavalière et son animal de vif. Alors que la reine se relevait difficilement, il se saisit de la monture brusquement calmée, assoma et emporta le Lynx de vif de la reine avant de s'enfuir à la suite du chef de la compagnie noire.

(Voilà qui devrai simplifiers nos affaires en l'absence de yuk...)

Bereciak était terrifié...il avait suivi la reine à grand peine.
Mais ne se rendait-elle pas compte de l'énorme risque qu'elle encourait ???
Mais il vit ses gardes intercepter un homme en noir...
et un autre en armure dont il avait entendu parler qui serait cher de la "Compagnie Noire" qui terrorisait tout le monde...
Il déglutit, que faire ?
Il ne pouvait pas protéger la reine sous peine d'être considéré comme un ami aux yeux de celle-ci et comme un traître aux yeux des vifiers rebelles...
Mais il ne pouvait du tout laisser une femme en danger.
Il ne comprenait rien à cette histoire, mais ne sut qui il devait aider...

Il suivit son instinct chevaleresque et aida la reine à se relever...
Elle était en pleurs après la disparition du lynx (son animal de vif sans doute) qui avait été emporté par l'homme en noir.

Il hésitait...quelle serait la réaction de la reine si elle lui demandait qui il était et qu'il lui répondrait la vérité ???

(Pitié Itza ! )

Itzalina était choquée... Elle sentait son lien avec mistral diminuer avec la distance ce qui lui causa une grande douleur.

Elle sentit les larmes mouiller alors ses yeux et détourna la tête... Elle venait d'échouer, encore une fois et ce, devant tout son peuple...
Non seulement elle avait perdu son compagnon mais, en plus, l'une de ses anciennes conaissance responçable d'un des ses pires souvenirs venait de s'enfuir sous ses yeux...

Elle n'entendit Néron ni l'autre elfe qui lui parlaient tant elle était perdue soudain... Elle s'évanouïe.

C'était si simple... Se sentant incapable de réagir correctement face a cette situation, totalement sans ressources et se sentant encore plus seule qu'elle n'était déjà, la reine se laissa donc glisser dans un sommeil sans rêve.

Peu lui importait la réaction de son peuple a cet instant...On la dirait probablement malade, sans même se poser la véritable question sur son état et, ceux qui avait encore de l'espoir, ceux qui croyaient encore en Arnestil trouveraient celà logique.
Quand aux autres dont la pluspart devaient la haïr, celà ne changerais rien à leur idée...

Horreur ! La reine venait de s'évanouir !
Il se précipita en s'accroupissant vers elle et lui prit sa tension au pouls.
Elle était faible. Soudain il comprit. Ce lynx était son animal de vif et le lien qui les "reliaient" en autre s'affaiblissait.
Aidé de Néron, il la porta pour l'asseoir sur un banc et demanda aux gardes de repousser la foule de gens qui encerclaient la reine inconsciente.

Il devait trouver une solution, mais laquelle ???

Mais oui !!!
Pourquoi ne pas demander à Rapia ?
A animal de vif, animal de vif et demi...
Il siffla Rapia qui arriva dans un battement d'ailes. Il lui murmura quelque chose à l'oreille. L'oiseau aquiesça d'un signe de tête et s'envola en déployant ses ailes majestueuses et disparut au loin.

Bon travail. Il lui avait demandé de suivre l'homme en noir pour voir son lieu de destination et de venir le lui communiquer (ainsi que toute autre information)

à présent, il fallait réanimer la reine...
Il essaya de trouver un moyen de la ramener à la conscience, elle devait les aider à retrouver son lynx et l'homme en noir dont il ignorait le nom.
Il passa dix minutes à essayer de la réanimer avec Néron en vain...
Il dut alors faire trève de délicatesse en flanquant une gifle magistrale dans la figure de la reine (pour la réveiller).

Mais avant qu'il ai pu terminer son geste, Néron arréta sa main...