La grand place

Bibliothéque

Etan suivit d'Hector et Mistral arrivérent sur la grand place. Il s'arrêta et regarda tout autour de lui et aprés quelques réflexion pris le chemin pour aller à l'Est. Avant de partir il se retourna vers Hector.

Je ne sais ce qui nous attend mais je suis sûr que cela vaut le coup d'essayer de suivre mes visions.

Hector en avertit Mistral qui sembla se réjouir de l'aventure qui s eprofilait à l'horizon. Il sortir donc de la ville pour arriver à la cmapagne et chercher le mysterieux endroit.

Plaine campagnarde

Friedrich pour la première fois profitait d'un moment de repos. Beaucoup de choses s'étaient passé, l'enlèvement de la reine, la poursuite de deux fugitif et au bout du compte le retour de la reine au château ainsi qu'au pouvoir.

*Cela est mieux ainsi* pensa-il.

Mais il avait tout de même l'impression étrange d 'avoir failli à son devoir et hésitait encore à profiter de cette journée. Au contraire des autres gardes qui n'hésitaient pas à aller se saouler dans les tavernes dès qu'ils le pouvaient. Il sentait qu'il avait manqué à son devoir, la reine avait été enlevée et il n'avait rien fait pour empêcher cela... Seuls l'intervention d'Arya et du comte avait déjoué le complot. Même si s'était lui qui avait retrouvé les traces de sang, même si s'était lui qui au départ avait tout fait pour prendre les mesures. Il n'avait rien récolté de cela. Seulement une journée de repos "bien mérité". Il tourna la tête sur le coté et vit un bâtiment dont le nom l'attira: "Taverne aux milles délices". Il se dirigea en direction de la taverne.

Taverne aux milles délices

De retour de la tavrne où il avait rencontré la séduisante Lana. Il hésita quelques minutes, faire un tour au marché ? Trop de onde et il n'avait pas la tête à cela d'ailleurs il avait toujours détesté les marchés. Il s'asseya donc sur un banc tout proche qui se trouvait tout juste devant la devanture de la taverne d'où il venait. Il remit son heaume et plongea son regard dans le ciel gris.

*La neige ne tardera pas à retomber* se dit-il.

Lana sorti de la taverne impeux soulagée...
Finalement c'est peut etre mieu comme ca soupra-t-elle..
Dans les momens difficiles Lana aime bien chanter..Elle ne chanta pas fort,pour ne pas se faire remarquée...

Lana tellement absorbée dans ses pensée n'avais pas vu Friedrich qui n'était pas très loin pour tant
Je...Je...Je viens d'etre virée de mon travail....

Lana accepa l'offre et alla s'assoire à coté du garde.

Lana rougit fotement..Puis un leger sourire pu s'entrevoir sur son visage..
C'était la première fois qu'on lui offrait une rose. Elle respira le parfum de la fleur.
Rougissante, elle dir au garde qui était à ses côtés: Mmm Merci..Elle est très belle et sent très bon...C'est la première fois que je vois une aussi belle rose... A vrai dire c'est la première fois qu'on m'en offre..


(Dsl je vais essayer d'avoir impeux plus d'immagination)

Lana ne pouvait s'empecher de rougir. Les paroles de l'homme étaient tellement douce et gentille... Se rendant alors compte qu'elle même n'en avait pas dit une seule, elle voulut se ratraper...
Friedrich lui fesait un effet inexpliquable sans doute car il semblait être la seul personne qui daigne s'interesser à elle..
Merci vous êtes très gentil et vos paroles douce sont d'un grand réconfort je ne sais pas ce que je ferais si vous n'etiez pas là..

Allons allons... ayez les idées, soyez sûre de votre avenir et vous réussirez, je vous ai peut-être réconforté aujourd'hui mais malheureusement ne serait pas toujours là. Il faudra être forte et je ne doute pas que vous saurez l'être.
D'ailleur, je dois vous quitter, il me faut retourner à mon travail. N'oubliez pas mes paroles ni même ce que je vous ai dit tout à l'heure à la taverne.

Il se leva, lui baisa la main et s'en alla d'un pas assuré vers l'entrée du château.

Entrée du château

Lana regarda Friedrich partir...Elle pensait aux paroles qu'il lui avait dit.
Elle resta un bon moment sur place...

Puis, elle quitta la ville. Elle trouverait bien quelque chose ailleur...

Lana revint d'un long voyage...Qui lui avait afit comprendre que le seul endroit ou elle voulait vivre était Arnestil car elle s'y sentait bien et elle y avait des souvenires qu'elle ne pouvait oublier!

-Quel plaisire de de revenire à Arnestil!s'exclama-t-elle.
-Je vais aller me balader ensuite j'irais chercher du travail...

Elle passa devent la taverne aux mille délices...cela la rendit nostalgique...mais ne preffera pas y entrer car elle savait qu'elle regretterai certains moments..Depuis son départ Arnestil n'avait pas vraiment changé,il fallait dire que son absence fut de courte durée mais néanmoin elle lui parru longue..Elle avençait et repensait à des souvenirs...

(Bon, il est temps que je fasse bouger mes gardes moi... Je n'aime pas trop jouer les PNJ mais bon...)

Le détachement de garde envoyé par la reine avait déjà fait le tour de la ville fortifiée, il avait fouillé toutes les tavernes, les auberges et, même les maisons closes sans retrouver sa trace. Leur chef leur avait donné rendez-vous toutes les 2heures sur la grand place ou chacun lui rapportait ce qu'il avait appris de nouveau...
Mais personne n'avait la moindre information au suet de l'elfe en fuite...

Peut-être avait-il appris qu'on le recherchait et, donc décidé de fuir le royaume... Peut-être même avait-il rejoint les rebelles.
Quoi qu'il en soit, cela n’arrangeait pas les gardes qui n’avaient pas envie d’affronter la colère de la reine.
Celle-ci savais d’ordinaire garder son calme dans presque toutes les situations mais, il lui arrivait parfois comme souvent lorsqu’on parlait de Keiyu ou encore des traitres en général d’entrer dans une colère noire que personne parmi ses hommes ne voulaient avoir à affronter…

Ils poursuivirent donc leurs investigations, questionnant les passants, leur demandant s'ils avaient vu quelque part un elfe dont la description correspondait à celle de Bereciak.
Ils doutaient que la population les aide en masse. Aussi, avaient-il essayé de graisser la patte à certains pour obtenir des informations... Ce fut malheureusement un échec total jusqu’au moment où ils interrogèrent un vieux mendiant qui leur indiqua qu’il avait vu partir leur homme (si l’on peut dire cela en parlant d’un elfe) dans la campagne, se dirigeant semblait-il vers l’est.
Cela inquiéta fortement les gardes ils ne savaient que trop bien ce qu’il se trouvait à l’est de la ville fortifiée et, toute personnes en fuite ou recherché par les loyalistes de la reine avait toutes les raisons de s’y rendre car, à l’est, dans la forteresse des rebelles, tous les ennemis du royaume étaient accueillis à bras ouvert pour peu qu’ils aient toute leur raison…

Ils partirent donc sur le champs pour la campagne…

Campagne

"Grande route"

Eldrr Siiarrk arpentait les rues du royaume, avec les garçons à cheval et Loméga à ses côtés, lorsqu’ils arrivèrent au beau milieu d’une grande place pleine de monde et de bavardage. Sur cette place se pavanaient cloués à des endroits prévus à cet effet, des affiches diverses, avis de recherches soit pour retrouver des personnes disparues tels des enfants égarés ou bien des offres de récompenses pour criminels en fuite, ou encore informer la population de nouvelles importantes relatives au royaume et autres !
C’est alors que germa dans la tête d’Eldrr d’afficher son avis de recherche personnalisé lui permettant peut-être de l’aider à retrouver son frère ! Il mettrait tout en œuvre à cet effet ! A commencer par cela s’il le fallait, puis enquêtant par la suite partout où il pourrait en ce royaume ! Ses investigations le mèneraient forcément au bout d’un moment à une piste sérieuse !
Et puis si son frère évoluait non loin de ces lieux, il sauraient tôt ou tard qu’il est recherché par lui et se manifesterait bien !
Mais pour avoir le droit d’afficher il fallait verser en contrepartie la modique somme d’une pièce d’or ! Il ne pouvait pas abandonner si promptement la dernière pièce d’or en sa possession ! Il fallait premièrement qu’il puisse lui-même gagner de l’argent ! Gardant en mémoire ce lieu et toutes ces affiches porteuses de promesses et d’espoir, il s’en retourna avec son petit équipage prospecter aux alentours de la place. Il lui fallait chercher plus en profondeur et en détails, chaque coin et recoin, trouver cette source de revenue tant convoitée pour l’heure !
« Tu sais, Farden sait tout ce qui se passe, il pourrait savoir qui recherche des services, et même avoir entendu parler de ton frère ! » Lui suggéra Kéry !
Eldrr répondit par une moue réprobatrice. L’idée de devoir quoi que ce soit à cet antipathique gamin lui donnait des démangeaisons ! Mais pour son frère jusqu’où irait-il ?!



"Les domaines des enfants abandonnés."

Auberge du magicien d'ose

A sa sortie de l'Auberge, Faggyn et son capucin marchèrent tranquillement vers la Grande Place.

Dans un coin, se trouvait un vieux banc boisé. Faggyn décida de s'y assoire et d'observer la population comme il aimait le faire car celle-ci l'amusait souvent et il pouvait aussi repérer ses "généreux donnateurs" ou plus communément appelés "pigeons".

C'est alors qu'il repensa à son passage "express" de l'Auberge du Magicien d'Ose. Ou plus précisément, il repensa à la jeune colporteuse.
Il adorait jouer à ce petit jeu qui avait créee une sorte de lien entre eux.
Il savait qu'il s'agissait d'un jeu bien dangereux mais cela l'exitait plus qu'autre chose. Il prit son couteau de poche et se mit à graver le nom de Leen sur le banc sous l'oeil mécontent de son animal de Vif.

Tu n'as pas bientôt fini de penser à elle ! si cela continu tu n'auras qu'à la choisir ELLE comme animal de compagnie ! humfff...

Faggyn fit un sourire amusé mais bien pensif

Arrête donc de dire des bêtises... il ne se passe rien entre elle et moi. Juste un jeu tu le sais bien...

En vérité, Faggyn ne savait même pas s'il disait vrai..

Et puis nous sommes des solitaires. Que ferions-nous avec une femme ? elle ferait couler à l'eau tout nos plans !

hmmm je te sent quand même un peu troublé dans ce que tu dis !

Rooh et puis arrête de jacasser comme une capucine, tu me casses les oreilles !

Qu...QU...QUOI ? CAPUCINE MOI ?? mais regardes-toi donc hé ! tu ressembles plus à Roméo qu'à Clopin...

Viens le dire en face si t'es un singe !

J'vais m'gêner tiens !

Mr Lupin grimpa sur le banc et se mit droit défiant du regard son compagnon.
Une guerre froide entre quatre yeux éclata. Ils restèrent 5 bonnes minutes ainsi sans bouger un cil.
C'est alors que Faggyn esquissa un léger sourire et ils se mirent à rigoler l'un et l'autre.

Château d'Arnestil

Lunaris, sortant du château tranquillement après ses crimes et sa discussion avec la reine, intimida les gens et provoqua le silence, sûrement à cause de ses yeux d'un rouge sang qui glaçaient le sang de chaque personne les observant. Ce jour-là, ils étaient particulièrement effrayant, car ils avaient vu du sang et en demandaient. L'ange passa devant l'auberge du magicien d'Ose lorsque un vifier en sorti, son singe revenant du toit où il s'était abrité. L'artiseur s'immobilisa. Il avait trouvé une nouvelle source de sang et de mort. Lentement, il s'immisça dans l'esprit du passant. Celui-ci le ressentit et s'arrêta. Toi, vifier, ton sang va couler, fit une voix impassible dans la tête du jeune humain.

[Moi je veux bien que t'attende un peu, histoire de l'assaisonner avant ton arrivée. Sinon c'est pas drôle ]

-> C'est ce que je me disais aussi après notre discussion...
J'attends alors

Anathema fut ammenée à la potence récemment montée. Elle jeta un regard indifférent aux personnes réunis sur la grande place, un homme accompagné d'un singe, un autre revêtu d'une armure, les soldats qui empêchait la foule de trop s'approcher, une femme qui la regardait, haineuse. Sûrement la veuve d'un vifier qu'elle aurait tué. Ana lui jeta un regard féroce, la femme fit un pas en arrière malgré elle, son compagnon de vif, une poule, battant furieusement des ailes.
Ana eut un sourire qui ressemblait plus à un rictus, même au bord de la mort elle continuait à en effrayer. Tant mieux.

Un homme évoquait ses crimes, mais surtout rameutait la foule, il voulait que les rebelles potentiels assistent à la scène. Allons, elle n'était qu'une simple rebelle parmi d'autres, pas la peine d'en faire tout une histoire...

Ah voilà qu'il arrivait à la fin de son discours. Pas trop tôt.

L'ombre qui marquait le cadran solaire accroché tout en haut de la potence se décalait progressivement, se rapprochant de plus en plus du chiffre indiquant l'heure fatidique : 15 (les gens d'Arnestil avaient toujours vécu à l'heure solaire.)

Un homme sonna le premier coup des 15h et on fit monter la prisonnière sur une caisse.
Dans quelques minutes, Anathema ne serait plus...

Sa gorge était maintenant au niveau de la corde qu'un homme, lui aussi monté sur une caisse lui passa autour du cou…

La fin du chef d'accusation fut lue...

"Ainsi, par ordre de sa majesté Itzalina, reine d'Arnestil, l'artiseuse Anathema est condamnée à la pendaison jusqu'à ce que mort s'en suive"

Et le bourreau qui venait de descendre de sa caisse s'apprêta à repousser d'un puissant coup de pied celle qui se trouvait sous les pieds de la femme.

(Sauf erreur de ma pars, Lunaris, je crois que c’est a toi de jouer…)

Lunaris avait un visage étrange devant cet homme, avec son singe. Ce visage était indescriptible. Mais certaines personnes le connaissent. C'était le visage d'un sanguinaire, d'une personne qui aime tremper le sol de sang, qui aime prendre les tripes de sa victime et les jeter sur les murs, qui aime tuer et faire peur. L'ange n'entendait pas les paroles de l'orateur qui préparait la foule à une execution, mais sa tête tourna ostensiblement lorsqu'il entendit deux mots : "artiseur" et "rebelle". Son visage reprit son expression habituelle, et il laissa le vifier avec son capucin, qui à vraiment eu de la chance.
L'artiseur se dirigea vers la potence. Il devait se dépecher, quinze heures venaient de sonner. Rapidement, il fut au centre de la foule. Il poussait violemment certaines personnes, qui le regardaient étrangement. Marchant de plus en plus vite, il se rapprochait du blocus que formaient les soldats. Arrivé à leur niveau, il poussa en poussa un de sa main et celui-ci tomba. Ses collègues ne réagirent pas, leurs esprits embrumés par l'Art de l'ange. Celui-ci regarda Anathema dans les yeux et lui sourit, puis monta sur la scène de la mort. Le bourreau tenta une attaque, qui fut esquivée avec tranquilité. L'abruti avait planté sa hache dans le bois et n'arrivait pas à la retirer. Lunaris attrapa son visage avec sa main droite, le souleva du sol et le jeta dans le public. Il coupa les noeuds qui emprisonnaient Anathema en lui parlant d'une voix douce.

"Jamais je ne laisserais tomber mes alliés."

Puis il courut hors de la grand place, emmenant avec lui l'artiseuse, jusqu'à arriver dans une ruelle sombre, discrète et étroite.

Ruelles

Leen sortit de l'auberge.
Son visage était encore légèrement marqué par le malaise que les paroles de l'elfe et de l'assassin de la reine avait fait naitre en elle mais, elle le dissimula dès qu'elle eut franchit la porte.
Son pas était un peu trop pressé pour paraitre parfaitement naturel mais, elle s'en moquait.

Une fois sortie, elle hésita.
Allait-elle réellement chercher Faggyn et se lancer, une fois de plus dans un jeu qui était peut-être un peu trop dangereux pour elle ?
Elle savait que ce n’était pas prudent mais quelque chose en lui l’attirait irrésistiblement sans qu’elle pu dire quoi.
S’était-elle finalement laisser prendre à son propre piège?

Elle fut tirée de ses rêveries par le rassemblement inhabituel qui avait lieux sur la grand place. Curieuse, elle s’approcha. Une exécution. Encore.
Inquiète, elle chercha à vérifier que le condamné n’était pas l’un des vifiers rebelles qu’elle connaissait Le chef d’accusation la rassura sur ce point. Une artiseuse, une meurtrière…
Alors que Leen attendait la suite, un homme étrange monta sur l’estrade et libéra la femme.
La colporteuse eut un léger sourire en voyant l’incapacité des gardes à le poursuivre. Ils restaient tout simplement plantés là, en se regardant d’un air ébahi.
La jeune femme hocha la tête.
Décidément, les hommes de la reine n’étaient pas plus doués qu’elle pour maintenir la paix…

Elle ne put réprimer un sourire puis s'en fut vers les ruelles où elle savait pouvoir glaner des informations interessantes...

Ruelles

centre du marais


Etan rentra enfin à la cpaitale, cela faisait de longues marches forçées et malgrés les nombreuses protestations des deux vifs ils durent se plier à ses choix. Ses jambes ne lui faisaient pas mal et le souffle ne lui manquait pas, cela paraissai étrange si l'on prenait en compte la distance qu'il venait de faire en moins d'une demi journée. Mais Etan Hans avait d'autres soucis en tête que l'étrangeté de son état et rien ne pouvait lui paraître étrange aprés ce qu'il avait vu dans le marais. Il se dirigea vers le château àprés avoir pris le temps de sentir l'air frais de la ville et de quitter les entiment d esolitude qui l'avait gagner au marais.

Hector se tourna ver sMistral qui gronchonnait et se plaignait d'avoir mal aux coussinets ce qui était normle pour un lynx.

Avertis ta maîtresse, je crois que l'on va lui rendre une visite...

Il n'eut pas le temps de temriner sa phrase qu'Etan se remit en marche.

Château