Entrée principale du château d'arnestil

Eh oui ! Il faut bien qu'il y ait une entrée sinon comment vous sortiriez et rentreriez dedans ???
Donc c'est l'entrée principale (elle est fermée après les six heures et ceux qui veulent entrer et sortir sortent par l'entrée côté ouest)
Mais chaque entrée est solidement gardée :

chevalier

ENTREE

alors les rôdeurs = peureux

L'écurie

La porte s'ouvrit dans un grand crincement... Il était bien trop tôt pour celà aussi, les quelques badeaux qui passaient par là se posèrent bien des questions...

Puis, il virent sortir la reine, la reine qu'il n'avait pas vu depuis la guerre...Elle était montée sur son destrier blanc et à la tête d'une escorte d'une vingtaine de gardes qui la suivaient docilement regardant de droite et de gauche, à la recherche d'une quelquonque menace...

Entretemps, une vingtaine de gardes l'avaient rejointe, elle fit ouvrir la porte et quitta le chateau qu'elle en était venue a consdiérer comme une prison...

Les badeaux s'écartèrent car, ils forçaient l'allure, se dirigeant vers le restaurant "A l'orc roti"

Ou elle savait qu'aboutissait le pasage empreinté par les fuillards...

La grand place

Bereciak avait veillé toute la nuit devant l'entrée et il était à présent épuisé.
Les gardes ouvrirent les portes, il s'effaça et la reine en sortit...Il ne dit mot et décida de la suivre...

Atelier de vente d'objets magiques

Bereciak arriva en courant, et se dissimula sous sa cape aux abords du château.
En chemin, Rapia était revenue, elle avait l'air épuisée...et cela se comprenait ! Elle avait suivi le misérable homme vers le Nord et puis tout à coup, elle avait perdu sa trace.
Elle avait fait tout le tour du pérmiètre une bonne centaine de fois mais il n'y avait rien, il semblait s'être volatilisé.

Bereciak lui sourit puis la carressa. Mon dieu ! Elle avait une aile cassée !
Et il n'avait rien sur lui qui lui permette de la soigner...la potion de soin ne fonctionnait que pour les humains !
Il essaya tout de même de l'appliquer sur les plumes de l'oiseau...
La blessure cicatrisa, mais Rapia souffrait encore. Alors il la prit dans ses bras tendrement et poursuivit sa route. Enfin il arrivait à l'entrée...il posa
délicatement Rapia sur une branche feuillue afin qu'elle se repose en lui disant de ne surtout intervenir en aucun cas, sinon il la gronderait...il savait qu'elle l'aimait tant qu'elle ne pourrait pas résister à l'aider.

Aussi il s'avança vers les gardes.
Bonjour à vous messieurs, dit-il, je souhaiterais voir la reine...
La reine est blessée et fatiguée et elle ne reçoit personne, répondit un garde, nonchalamment, mais fermement.
Pardonnez moi je voulais dire, puis-je voir le comte d'Arkiliad qui l'assiste ?
Vous avez une invitation ? demanda un autre des gardes, soupçonneux.
Exactement, il m'a cordialement convié à venir le voir faire mon rapport sur le dangereux criminel qui a privé la reine de son animal de vif, laissez moi passer !
Il n'en est pas question ! Montrez votre invitation ! dit le garde en pointant sa lance sur Bereciak, imité de ses trois autres compagnons.

Enfin quoi ? Vous croyez que le comte aurait eu le temps de me donner une ridicule invitation alors qu'en ce moment, des choses terribles se préparent ??? Non messieurs, je vous demande de me laisser passer !
Les gardes se regardèrent puis foncèrent sur Bereciak. Celui-ci esquiva agilement leurs coups et sortit sa dague. Elle était presque impuissante contre les lances des gardes, mais il s'en sortirait se dit-il. Par télépathie il défendit Rapia d'intervenir.
Il reçut et donna des coups dans le ventre, frappa l'un des gardes et l'envoya valser dans un cours d'eau pas très loin. Il continuait de se battre avec les trois autres gardes qui, sans qu'il s'en aperçoive, le poussaient peu à peu vers le bord de la falaise. Mais au dernier moment, Rapia hurla dans sa tête et Bereciak glissa de la falaise... diablotin

AAAAAAAAAAHHHHHH ! hurla Bereciak, mais il se raccrocha de justesse à un roc de la falaise et menaçait de disparaître dans les profondeurs du ravin qui se trouvait au dessous de lui s'il ne faisait rien.
Les gardes en haut essayaient de le déséquilibrer pour le faire tomber.
Bereciak esquivait bien les coups mais à force de bouger, le roc faiblisait sous son poids, qu'allait-il lui arriver maintenant ?

Soudain le roc céda, mais une main ratrappa la sienne, le tirant des griffes de la mort.
Qui l'avait donc ainsi sauvé ?

Après avoir été averti des faits toublants devant l'entrée du Château, Néron traversa dun pas rapide la cour et arriva à temps sur les lieux du danger. Il vit les gardes s'acharnaient avec leurs lances au bord de la falaise comme pour faire tomber quelqu'un.

Ecartez-vous ! Ecartez-vous donc !

Il se pencha vers le bord de la falaise puis vit Bereciak en train de glisser. Ni une, ni deux il lui attrapa la main au dernier moment et le remonta jusqu'à ce que le "tronc" de Bereciak touche le sol.
Le Comte laissa la suite du travail au gardes et s'essuya les vêtements qui avaient pris poussière.

Remontez-le !

Bereciak était enfin sauvé et tout retourné. Le Comte se placadevant lui avec un léger sourire d'amusement et lui sortit avec humour :

Alors le grand air ? vous avez les poumons bien remplis ?

Il était temps comte, remercia Bereciak les bras engourdis et fatigués, les fameux sbires de la reine m'ont lâchement attaqué...Heureusement que vous étiez là, sinon je goûtai à la mort en altitude !
Bereciak regardait le fond du ravin, invisible tant il était bas, avec appréhension. Il détourna son regard.

Veuillez m'excuser, mon animal de vif est hélas blessé, et j'ai dû donc la poser pendant ce temps sur cette branche d'arbre...

Il désignait Rapia, encore terrorisée par les précédents évènements...
Il la prit chaleureusement dans ses bras et la serra contre sa poitrine.

Messire comte, puis-je vous faire un rapport de mes observations...Il semble que le traître qui se soit emparé de l'animal de vif de la reine soit allé vers le nord...Hélas, je n'en sais pas plus...Rapia que j'avais envoyé le rechercher (et c'est pour cela qu'elle est blessée) a perdu sa trace et a tourné une bonne centaine de fois sur le même périmètre sans le retrouver...il aurait "disparu"...

Le Comte fit signe à Bereciak de se taire.

Nous parlerons de tout cela en mes appartements. Ici des oreilles peuvent êstre sensibles... suivez-moi nous prendrons un verre qui vous remettra sur pied et vous me raconterez tout cela.

Il ordonna aux gardes de reprendre leurs positions.

Bien Gardes, continuez à êstre aussi vigilants. Ceci dit.. lorsqu'une personne se présente à vous sans agressivité comme le Sieur Bereciak, et qui demande audience auprès de sa Majesté ou moi-même, faîstes moi prévenir avant de la diriger au bord de la falaise. Je ne me dérangerais point à chaque fois pour intervenir comme je l'ai fait aujourd'hui.

Il se tourna vers Béreciak puis l'invita à le suivre vers ses appartements.

Appartements de Néron d'Arkiliad

Appartements de Néron d'Arkiliad

Bereciak arriva à l'entrée saluant sarcastiquement à l'entrée les gardes qui avaient faillit l'envoyer dans l'autre monde. Ceux-ci grincèrent des dents mais ne bronchèrent pas.
Il avait récupéré Rapia qui semblait avoir une deuxième jeunesse tant elle semblait en forme.

Tant mieux ! se dit-il.

Il la libéra de ses mains et elle se mit à battre gracieusement des ailes, puis se posa sur son épaule.
Il se mit à réfléchir. Le traître qui avait déserté emportant l'animal de vif de la reine avait du fuir loin d'ici.

Peut-être Arbaëounska, le territoire des orcs et des gobelins ?suggéra-t-il à Rapia.
Mais elle secoua négativement la tête.
Non ? pourquoi pas ? s'étonna Bereciak.
Car il lui serait impossible d'y entrer ! Les orcs et les gobelins ne tolèrent aucun humain en leurs territoire (qu'ils ont pris la liberté de dissimuler grâce à un sort de Skaÿela, leur sage), répondit sèchement Rapia*.
Et Bryendan ? chez les centaures ? proposa Bereciak en second recours.
Mais Rapia secoua à nouveau la tête.
Bon sang ! tu vois un traître comme lui tenter un coup aussi difficile et aussi...aussi...tordu ? s'exclama Rapia, un peu énervée de la naïveté inhabituelle de son compagnon.

Hum ! Tu as raison, excuse moi, j'étais distrait, s'enquit Bereciak.

Il marqua un temps de silence puis reprit la parole.

Commençons déjà par ce que nous savons pour le moment, renchérit-il face à Rapia, conduis moi à l'endroit où tu l'as perdu tout à l'heure et nous partirons de ce point là...

Rapia acquiesça, satisfaite d'avoir retrouvé le Bereciak d'avant et se posa sur son épaule. Bereciak se mit à marcher vers la forteresse des vifiers, il devait reprendre son cheval pour entamer la "chasse-aux-traîtres-voleurs-d'animaux-de-vif".

Cour de la forteresse

Bureau du comte d'Arkiliad

Peine perdue ! Le comte ne se montrait pas compréhensif et allait tuer un pauvre innocent. Il devait rechercher a la forteresse les lettres d'Etan Hans qui prouveraient l'innocence du pauvre homme...

En attendant, il s'était glissé dans une salle affaire.
Il était vifier rebelle, n'était poitn au service de la reine et voilà qu'à contrecoeur, il avait été engagé par le comte.
Il n'aimait sa façon d'interpréter les choses. Aussi décida-t-il de piquer un galop jusqu'à la forteresse et de faire le topo.

Forteresse des vifiers

Cinq cavaliers Hauts Elfes tous vêtus d'une belle armure blanche brillante portant les armoiries du Royaume d'Ewëndan et les bannières du Comté d'Arkiliad, se présentèrent devant les portes du Château d'Arnestil.

L'un des cavaliers s'avança et interpella un garde :

Nous arrivons de la Cité d'Asgard et avons fait long voyage. Nous désirons voir au plus vite le Comte d'Arkiliad. C'est important. Insista-t-il.

Le Garde fit appeler un valet qui arrive quelques minutes plus tard.

- Bienvenue en Arnestil nobles cavaliers. Que désirez-vous ?

Nous devons à tout prix rencontrer le Comte d'Arkiliad. Il s'agit de lui annoncer une nouvelle de la plus haute importance.

- Je vois Messire. Mais le Comte n'est pas au Château pour le moment et la Reine n'est pas en état de recevoir. Je suis désolé.

C'est extrêment fâcheux ! il faut absolument nous recevoir vous dis-je ! j'insiste !

- Je vais faire mon possible Messire.. Entrez dans la cour et patientez je vous prie. Je vais voir ce que je peux faire.

Le valet se dirigea vers l'intérieur du Château tandis que les cavaliers patientèrent dans la cour.

Couloir menant aux appartements

Arya sortit par la grande porte du château, un vent violent et glacé s'engouffrant aussitôt dans ses cheveux. La messagère vit alors cinq cavaliers elfes devant elle qui attendaient. Ils portaient les armoiries de son royaume, ainsi que les bannières, qu'Arya reconnu pour être celle du comté légendaire d'Arkiliad.

"Je suis Arya Imlarië, messagère et représentante du peuple elfe en Arnestil, que désirez-vous, nobles cavaliers ?" S'exclama Arya d'une voix forte pour couvrir le vent qui sifflait dans la grande cour du château.

Les cavaliers virent une noble Haute Elfe sortir du Château et s'adressait à eux. Ils descendirent de leurs montures et lui firent une révérence..

Noble Messagère, je suis Faëlendïl Grand Chambellan de la famille Royale d'Ewëndan. Une terrible nouvelle à frapper nostre Royaume.

Il fit une courte pause puis reprit de sa voix sage et posée :

La Reine Lalwende, mère du Comte, a son état de santé qui se dégrade de jours en jours... notre médecine est impuissante... il semblerait que la Reine ne supporte plus l'absence de son défunt mari et celui de ses fils..

Arya se sentit pâlir dangereusement. Le reine Lalwende, SA reine, celle qui lui faisait une confiance absolue, celle qu'Arya aimait tout autant que son défunt frère, celle qui était sa parente, même éloignée, était dans un état qui se dégradait de jour en jour.
Arya se reprit, il fallait à tout prix prévenir le comte. Il en allait de la vie de sa mère, de la reine !

"Je comprend l'urgence du message, et je suis d'avis qu'il prévenir le comte. Je sais où il se trouve, il se trouve en ville, et même, je pense sur la place publique..."

Elle descendit avec une rapidité surprenante les quelques marches qui la séparaient du premier cavalier. Elle s'approcha de lui, et lui demanda :

"Je peux ?"

Et, sans attendre de réponse, elle se hissa derrière lui sur son destrier, en amazone.

"Allons-y, je vais vous guider..."

Le Chambellan fut soulagé d'avoir trouvé une précieuse alliée. Il l'aida à grimper sur sa monture.

Ne perdons pas de temps Noble Dame.

Arya et les cavaliers s'élancèrent en direction de la Grande Place..

Grande Place

Altaire partit avec son cheval toute en souriant d’avoir tuer son objectif maintenant il était temps d’aller à la foret pour son 2eme objectif

Espérons que je ne croiserais personne qui m’empêchera de faire ma mission

Taverne au coin paisible

Bereciak arriva vdevant l'entrée pas loin des gardes, épuisé et à bout de forces. Il fit trois pas puis s'écroula par terre. Il put se traîner jusqu'à un rocher, les jambes bouillies et les poumons en flammes.

Un garde qui était de faction à la porte vit arriver en courant un homme qui se dirigeait vers les portes du château, visiblement très pressé…
Il avança à sa rencontre et, reconnu en lui le garçon aux cheveux bleus qui avait accompagné la troupe partie à la recherche de la reine.
Il lui demanda:

"Quelque chose ne va pas messire?"

Chez la diseuse de bonne aventure

Diana qui avait du mal à suivre Rapia arriva ici...Diana vit Bereciak qui semblait fatigué,elle s'aprocha de lui,lui fi un grand sourire lui fit une caresse amicale tout en le ragardant droit dans les yeux!
-Tu m'as manqué!!!Trop manqué...Je ne sais combien ca fait de temps qu'on ne s'est pas vus!!!^^

C'est alors qu'arriva Etan Hans avec le cheval de Bereciak qu'il avait récupérer. Il put voir l'elfe reprendre son souffle agripé à un rocher. Il s'arrêta tout juste à côté de lui.

Allons messire Bereciak nous n'aovns pas le temps, veuillez allez empecher cette mercenaire de commetre ce dont elle est chargé. Je m'occupe de la chose la plus urgente... prevenir la reine.

Il s'arêta à l'inteprelation de Bereciak et reivnt devant lui préssé. Le temps lui manquait.

Diana regarda l'homme qui venait d'entrer avec de grands yeux....elle avait raté une bonne partie de l'histoire et elle se sentait donc dépassée,elle soupira
-Je,je..ne comprend plus rien...

(pars pas tout de suite etan !)

Ma Diana ! s'écria-t-il en serrant la jeune fille dans ses bras, toi aussi tu m'as manqué !
Puis il fit volte-face, interpelant la silhouette qui fuyait.
Attendez ! lança-t-il à Etan qui s'arrêta, Qu'êtes vous donc comme créature ? Vous avez voulu me tuer il y a quelques heures dans la taverne et à présent vous changez totalement de camp...Je ne sais pas ce qui me retiens de vous éventrer là...maintenant !
Contre toute méprise, je vous somme de vous expliquer ! Qui êtes vous réellement et qui vouliez vous tuer ???

Comme je le répéte sieur Bereciak le temps nous manque, occupez vous de sauver l'ermite, je me charge de la reine. Je ne peux vous expliquer ce qui se passe en moi. Je suis possédé voilà par une de mes perosnalité. Maintenant excusez moi mais je dois y aller.

Il se remit en chemin, les gardes bien que soupsonneux le laissèrent passer car la reine leur avait ordonné de le traiter comme un invité de marque. Il arriva à toute allure dans la cour du château, descendit de cheval et couru vers les couloirs.

(je vais édit le mess d'avant)

(ok c bon^_-)

Bereciak n'eut pas le temps de retenir une seconde fois Etan. Il décida de lui obéir et se tourna vers Diana. Cela faisait si longtemps qu'il ne l'avait pas vue...Elle semblait...plus mûre, plus belle...
Il la serra encore une fois dans les bras. Puis il se pencha et caressa Zaphire qui ronronna de plaisir.
Diana..., commença-t-il, mais il ne trouva pas le courage de continuer...

-Oui? répondi Diana en le regardant droit dans les yeux...