La Taverne " Au coin paisible "

(tu y va fort ! mais je vais essayer de gérer)

Bereciak était pétrifié, il venait de se faire démasquer. Il se releva et comprit que la personnalité cruelle d'Etan avait prit le dessus.
Il y avait une rampe au dessus de sa tête qui démarrait du fond de la salle dans un escalier puis une terrasse surélevée contre le mur qui conduisant aux chambres. Il se retourna et très rapidement y grimpa. Il se retrouva en haut. Etan essaya de le poursuivre en prenant l'escalier mais Bereciak s'y précipita et renversa intentionellement quelques caisses et sacs empilés dans l'escalier pour ralentir la montée de son ennemi.
Il courut à l'autre bout de la terrasse et tenta ce qui aurait pu paraître impossible : il sauta et s'agrippa au lustre unique de la taverne suspendu par une corde et se balança, se balança, se balança...quand il eut assez d'élan, il lâcha prise.
Pendant quelques instants, il sembla flotter dans l'air, mais se rattrapa à une poutre du plafond (bah oui, il faut bien que le lustre soit accroché à quelque chose !). De là-haut, il pourrait sortir en empruntant l'ouverture sur le toit et s'enfuir au termes de plusieurs acrobaties...
Mais il attendit de voir la réaction d'Etan.

(désolé si ça à l'air invraisemblable mais je voulais pimenter un peu la situation...enfin, si ça te gene tellement, je peux editer...)

La situation entre les deux hommes avait rapidement dégénéré. Aethys assise au fond de la pièce, jouait avec la bourse de cuir que lui avait laissé Etan. Un sourire étrange marquait ses traits fins et son regard verrons brillait d’un feu sordide.

*Cet homme Etan n’a aucune classe…Quel être méprisable.*

Elle soupira et détourna son regard de la scène. Au dehors, les doigts de rose de l’aube caressaient les nuages les plus haut. Aethys se laissait emporter par la découverte d’un lever de jour sur Arnestil. Les rues se coloraient lentement sous la clarté naissante. Des vagues de souvenirs lui revinrent brutalement à l’esprit. Le visage de la jeune femme se tordit d’une douleur immense. Elle se rembrunit et cracha sur le sol de la taverne. Pourtant, le goût amer qu’elle tentait de chasser resta en elle. Soudain, la porte d’entrée s’ouvrit et un jeune homme qui semblait perdu entra. Elle le détailla comme à son habitude. Ses cheveux blonds décoiffés lui tombaient sur le visage. Il portait une tenue d’elfe et dans son dos était un carquois.

Occupez vous en s'il vous plait, ce petit semble perdu.

Ses lèvres se tendirent en un rictus.

« Ai-je l’air d’une nounou ? Occupez vous donc vous-même de vos rej’tons. »

Le jeune homme vint cependant s’asseoir à la table qu’elle-même occupait. Son aura était glaciale et son air hautain et méprisant.

Excusez moi...mais... que se passe-t-il au juste ?

Elle posa sur lui un regard dur.

« Des histoires d’hommes… »

Elle marqua une pause et observa les deux hommes. Son sourire sordide réapparut sur ses lèvres.

« Ou plutost, l’histoire d’une beste balourde qui agresse un pauvre homme. »

Son regard dédaigneux se posa sur Etan. Puis, elle se retourna vers l’homme devant elle.

« Et vous ne devriez pas vous en mêler si vous tenez un tant soit peu à vostre vie et vostre honneur, jeune homme. »

Aethys se leva lorsque l’homme à la cape se frayait une voie de sortie.

*Pathétique…*

Elle poussa la porte de la taverne et disparut dans les rues d’Arnestil.

Ruelles

Yaitanes resta bouche bée face à cette étrange personne. Et n'osa placer mot et suivi son conseil, il préféra se taire et attendre que les choses se calment rien ne servait de se faire remarquer à peine arrivé. Il vit le combat déraper et cela dégénéra en poursuite. L'homme apparement dénomé Bereciak tenta de fuir et à ce moment là la jeune femme se leva et sortit de la taverne.

*Quel froideur d'âme et de ceur!* se dit-il songeant à cette "Veuve Noire".

(disons que la taverne est comme celle des pays nordique, le toit trés pointue ce qui fait que les poutres ne sont pas collées au plafons ce qui laisse assez de jeu pour qu'unhomme en position basse peut marcher dessus. Si te plait Itza parce que reprendre tout cela me fera perdre du temps et je ne pourrai m'occuper aujourd'hui de "notre dîner")

Etan regarda Aethys partir et Bereciak fuir par la l'ouverture. Il ne restait que l'étranger qu'il laissa ici pour sortir à son tour sur la grande place pour aller mettre à éxecution son plan. Il lanca avant de sortir.

Je ne te conseil pas de rester ici pour la nuit. dit-il énigmatique.


Grande place

Bereciak avait sauté sur le toit et attendu qu'Etan ait disparu pour sauter à terre. Il n'avait plus le choix, plus le temps : il n'avait plus rien à faire...
A part courir !!!
Il se précipita, oubliant son cheval encore attaché et courut à en perdre haleine : un guépard n'aurait pas fait mieux.
Il se précipitait à toute allure vers le château d'arnestil.
N'importe quel homme aurait marqué une pause, car épuisé par la course mais Bereciak lutta contre sa fatigue, alimenté par sa fureur contre Etan Hans, et continua à courir sans s'arrêter...

Entrée du château