La Taverne " Au coin paisible "

Ecuries

Bereciak avait suivi de loin Etan est était venu la taverne que fréquenter son cousin Shinigaara dont il n'avait aucune nouvelle.
Prestement, il commanda une boisson alcoolisée.
Il était décidé à retrouver Diana.

Le fracas d’un cheval au galop se fit entendre dans le silence de la nuit. La porte de la taverne s’ouvrit et des pas retentirent sur le sol dallé. Aethys ne releva pas la tête mais son attention s’était portée sur le nouvel arrivant. Celui-ci se dirigea vers elle et lui adressa la parole.

*Les affaires reprennent peut être…*

Madame je me présente Etan Hans, je crois ne vous avoir encore jamais rencontré. Sans vouloir vous importuner très chère pouvez vous me dire votre nom ?

Les lèvres de la jeune femme se tordirent en un sourire narquois. Cependant son visage était plongé dans l’ombre de sa cape et l’inconnu ne put s’en apercevoir. Seuls ses yeux dépareillés brillaient étrangement dans les ténèbres qui l’entouraient. Elle ne se redressa pas, n’adressant pas un regard à l’inconnu. C’est d’une voix froide et sans tonalité qu’elle lui répondit.

« On me nomme Veuve Noire. »

Elle avala une nouvelle gorgée de sa flasque, appréciant le contact destructeur de sa boisson. Elle chassait ses pensées sordides tentant de cerner ses idées. Un étrange sentiment grisâtre l’envahissait, répétant sans cesse une litanie au nom d’Estefan. Elle secoua la tête imperceptiblement. Les souvenirs n'avaient plus leur place dans le présent. Il fallait qu'elle s'y fasse.

Etan fut surpris par cette réponse neutre de la jeune femme mais appreciat tout de même sa réponse. Cela lui rapellait ses années de carnages et de tortures et ne put malgré lui laissait paraître un sourire.

Charmante personne que vous etes, quelle quête vous a mené ici ?

Il alla à sa table et s'asseya en face d'elle, plongeant son regard dans le sien ou tout du moins vers la lueur de ses yeux qui brillaient légérement.

Aethys vit l’homme sourire à sa réponse. Elle l’observa avec le mépris habituel dont elle faisait preuve. S’adossant un peu plus dans son siège, elle le détailla pour de bon. Quelque chose l’intriguait chez lui. Il semblait avoir appartenu à un monde semblable au sien aujourd’hui mais s’en était détaché.

*Traître à son rang…*

Son regard dur, mêlant brûlure et froideur se plongea dans celui de son interlocuteur. Elle le vit alors s’asseoir face à elle. Il s’installa à son aise continuant à lui poser des questions. Le sourire narquois de la jeune femme s’étira un peu plus.

*J’espère pour vous que vous estes hypocrite Messire car ce ton aimable ne vous convient point*

Elle n’aimait pas les gens comme lui, tout en politesses, en courbettes inutiles, en niaiseries mielleuses. Elle se retint de lui cracher au visage. Les traits de son visage fin mais austère se tendirent mais ne laissèrent rien paraître de ce qu’elle pensait. Son regard étrange brilla un peu plus intensément.

Charmante personne que vous êtes, quelle quête vous a mené ici ?

Son sourire disparut un infime instant de son visage toujours plongé dans l’ombre mais elle se reprit rapidement. Elle avala une nouvelle gorgée de son odieux breuvage et répondit.

« Je ne suis aucune quête propre. Je suis mercenaire, payez moi et j’accomplirais n’importe quelle quête de ce monde. »

Elle sourit avidement, détaillant les réactions de celui qui se trouvait en face d’elle désormais.

Etan regarda avec plus de serieux cette jeune personne, il se redressa et toujours en la regardant dans les yeux lui dit :

Bien je vois que vous n'etes pas comme toutes les femmes et cett eoriginalité a le mérite de m'interesser mais passons, si il est vrai que vous pouvez accomplir n'importe quelle quête contre de l'or soit j'ai une offre à vous proposer.

Il ota son heaume et tout ceux qui connaissaient son histoire auraient pu savoir ce qui se passait. Etan avait sombré peut être pour toujours dans son ancien côté sombre et lugubre, sadique et noir. Son visage toujours scindé en deux partie était tout de même tiré par les traits de la plus grande méchanceté. Son regard sadique sur la jeune femme continua et on avait l'impression qu'il tentait d'y voir quelque chose, il sortit une bourse et la posa sur la table. On pouvait voir quelques piéces d'or dépassées et brillées.
Il y a dans cette bourse une trentaine de piéces d'or, voilà le contrat: J'ai a dîner avec la rine Itzalina, vous viendrez avec moi en tant que ce que vous voulez, servante, amie et pendant mon dîner vous irez le chercher. Je sens bien que votre aura est un brin comme celle qui m'anime, alors je souhaite que vous le fassiez soufrir avant de le tuer. Je veux entendre les hurlements jusqu'à la salle du dîner. Une fois le travail terminé... rendez vous ici pour touchez cinquante autres piéces.

Il se tut un moment la regardant. Puis posa l'ultime questions qui clorerait la discussions.

Etes vous partante "Veuve Noir" ?

Aethys sentit qu’elle avait capté l’intérêt de l’homme. Son sourire sombre s’élargit dans l’ombre de son visage. Elle rangea sa flasque dans sa cape.

*Les affaires reprennent…*

L’homme se découvrit. La jeune femme l’observa, méprisante et hautaine. Les traits de cet homme étaient marqués d’une méchanceté et d’une cruauté sans bornes. Elle le détailla un instant de plus avant que son regard ne soit attiré par autre chose. Une bourse de cuir emplie d’or venait d’atterrir sur la table devant elle. Le scintillement des pièces brilla dans son regard. Aethys passa une langue gourmande sur ses lèvres fines. Elle écouta avec attention l’offre que lui proposait l’homme. Elle releva alors une main gracieuse et retira sa capuche. Ses cheveux mi longs blancs lui encadrèrent son visage fin. Son regard verron brilla d’une lueur froide et dure.

« Je vous écoute. Qui voulez vous voir mourir, ce soir là ? »

Elle marqua une pause écoutant le reste de la proposition.

« Sachez Messire, que je ne torture pas. Mon travail est bien fait et discret. Mais si vous souhaitez quelque chose de particulier, faites m’en part et rajoutez donc quelques pièces de plus dans cette bourse. »

Aethys savait parfaitement ce qu’elle faisait et cela se ressentait. Elle avait déjà derrière elle de longues années d’expériences et de missions diverses et variées. Elle attendit donc la réponse de son futur employeur, le sourire aux lèvres.

Bien je vois que Madame est interessée bien bien .... si la torture n'ets pas dans vos capacités je ne sais si je fais un bon choix alors.... mais tant pis je prend le risque alors je vais changer un détail ramener le vivant dans un endroit de votre choix. Je vous retrouve ici pour finir le marché. Cinquante piéces d'or d eplus et vous me direz où l'avez vous mis. Je pense que ceci sera dans vos compétences. Alors marché conclu ?

Etan voyait bien que la "Veuve Noire" le prenait de haut et semblait vouloir s montrer non pa ssuperieur mais maîtresse de la situation. Il ajouta donc.

Cela ne sert à rien d eprend cette air avec moi, mes mains ont tué plus de personnes que vous avez pu avoir d'argent. Et sachez qu'aucun d'entre nous deux est superieur à l'autre. Moi car je vous demande ce service, et vous parce que vous effectuez basse besogne.

Il se leva, commença par s'en aller ver sla porte suivit de son renard peu confiant en son maître. Il s'arrêta, regarda par dessus son épaule.

Eh bien mademoiselle pressez vous de répondre. Le temps m'est précieux.

En effet cette personalité ne pourrait lutter contre Etan indéfiniment et il devra profiter pleinement de cette nuit.

Il fallait prévenir Diana...il ne pouvait l'abandonner, ni abandonner ce traître qui allait commettre un acte ignoble...
Il sortit en toute discrétion et sur le seuil de la porte siffla Rapia. Celle-ci arriva et se posa sur son épaule.

va immédiatement prévenir diana qu'un complot menace la mort de quelqu'un...je ne peux pas laisser ce traître et menteur de surcroît commettre un tel acte...dit-il.
Oui menteur ! s'exclama-t-il avec amertume en entendant la voix résonnante de Rapia clamer son incrédulité dans sa pensée, Il disait se repentir, quelle surprise ! Par ce mensonge, il s'est attiré la confiance de la reine et...hum...je crois très franchement que le comte d'arkiliad avait raison...va, va prévenir Diana...

L'oiseau s'envola à tire d'ailes et Bereciak revint très discrètement dans la taverne.

Le sourire sordide d’Aethys s’élargit un peu plus, déformant son visage fin. Son regard brilla d’un air vicieux qui l’imprégnait depuis peu de temps.

« Vous vous méprenez, Messire. Je n’ai point dit que je ne pouvais point torturer. Mais cela n’entre pas dans mes affaires courantes. Si vous voulez que les cris de ma victime vous parviennent, il vous faudra alourdir un peu cette bourse. »

Elle prit le cuir entre ses mains et le fit sauter dans sa paume. L’homme semblait dérangé par l’attitude d’Aethys. Cette réaction la fit sourire encore plus.

*Messire s’y croit, c’en devient gênant pour lui.*

Elle éclata de rire, d’un rire froid sans la moindre joie. Elle plongea son regard dans celui de l’homme.

« Je ne prends aucun air, Messire. Et sachez que tous les meurtres que vous avez pu commettre ou qui ne sont que fantasmes de vostre esprit malade, m’importent peu. Chacun de nos passés regorgent de ces faits sanglants et vous n’imaginez point lequel des deux s’enfonce au plus profond dans la noirceur de l’âme. »

Elle le laissa alors se lever et s’éloigner, imbus de sa propre personne. Aethys secoua la tête dans un mouvement infime.

*Il ne vaut rien…*

« Si vous souhaitez une réponse Messire, peut être devriez vous me dire qui je dois tuer, ne pensez vous point ? »

Elle l’observa, un air moqueur imprégnant ses traits. Soudain, elle aperçut un jeune homme un peu plus loin qui se terrait sous une cape sombre. Son sourire s’étendit.

*Voilà qui est intéressant…*

Bereciak modifia habilement sa voix et commanda une bière. Il ne fit aucun geste et resta encapuchonné pour ne pas éveiller de soupçons...

(ça serait bien que ça se termine en combat épique, du genre beowulf...simple proposition...)

-> Il vaudrait mieux pour toi qu'il n'en soit pas ainsi... J'ai bien peur que tu ne fasses pas le poids face à eux deux réunis lol.
Itza qui sort... (J'ai pas pu m'en empêcher-heuuu. Pas taper )

Etan se retourna pour lui répondre.

Un homme logé prés des jardins qui est un vieil hermite. Faites tout de même attention il n'est pas né de la derniére pluie. Il a été mon mentor ou tout du moin le mentor d'une de mes personalité défaillante pour la remettre dans le droit chemin et....

Il vit qu'elle s'interessait à autre chose, son regard se fixait ailleurs.Il regarda dans la même direction et entendit un homme commander une biére.

* Si elle s'y interesse c'est qu'il n'est pas par hasard*

Etan interpela l'homme.

Monsieur veuillez vous retournez que je vois votre visage.


(Désolé je n'ai pas encore vu BeoWulf)

Bereciak se retourna lentement dans un élan mystérieux et se mit en face d'Etan sans broncher, il était près, tous ces sens aux aguets à esquiver le moindre coup d'Etan. Il resta là, sans bouger ni soulever son capuchon.

(haha ! ca me plaît !)

(je vais faire ce je peux pour continuer ainsi alors)

Son épée toujours tendu vers l'homme il réitera sa sommation.

Enlevez votre capuchon monseigneur où cette épée sera la derniére choses que vou verrez. Enlevez votre capuchon !

Etan restait de glace et contenait son envie de frapper.

Grande place

La porte s'ouvrit faisant tinter une clochette. Yaitanes entra et fut supris du spectacle, îl hésita à entrer voyant qu'un homme était déjà aux aguets, l'arme à la main. Il se déplaca lentement avec une grande hésitation. Il sourit benoitement aux deux individus. Il n'avait pas remarqué la presence d'une troisiéme personne à qui il tournait le dos. Il leva légérement sa main d'un signe de salut.

... bien le bonjour messieurs.. euh... je ne souhaite point.. vous déranger..hum... mais sauriez vous si l'on peut dormir ici ?

Il resta là hésitant à bouger, si l'un des deux hommes décidait de se jeter sur lui, il n'aurait le temps que d'esquiver et absolument celui de sortir son épée. Et même si il y parvenait, l'arme trop légére ne ferait pas le poids face à l'épée large de l'individu en armure noire.

Etan surpris tourna le regard vers la porte qui souvrit, une perosnne trés jeune entra et se trouva bien confuse face à la situation. Surveillant du coin de l'oeil l'homme encore encapuchonné. Il répondit à l'étranger.

Mon petit va donc t'assoir au fond avec la "Veuve Noire" je te prie et laisse les grands finir ce qu'ils font. Le tavernier s'occuperas de toi aprés.

Il lança à la mercenaire avec un leger sourire et un ton piqué d'humour:

Occupez vous en s'il vous plait, ce petit semble perdu.


(j'ai regardé le trailer, je suppose que tu es Beowulf ici ?)

(alors, il te plait ? hein ? troooop cool, je suis allé le voir dimanche dernier. oui...entre autre, je suis beowulf là...^^)

Un jeune individu avait interrompu la discussion, il semblait assez effrayé et hésitant, mais Bereciak comprit sa réaction face à l'épée massive d'Etan. Il était toujours encapuchonné.
Il entendit Etan inviter le jeune homme à se rendre au fond de la taverne. Il ne relâcha pas sa vigilance pour autant, prêt à l'esquive immédiate ou non.

Yaitanes surpris, regrda dans le fond de la piéce et distingua une jeune femme assise. Il regarda à nouveau l'homme à l'épée, et sans demander son reste alla toujours hésitant s'assoir prêt de celle qui était apparement surnommé la "Veuve Noire". Il prit place une table à côté, la regardant de temps en temps pour la dévisager. Quand il ne la regardait pas il regardait les deux hommes qui se faisaient face. Aprés un moment de silence il se tourna vers elle.

Excusez moi...mais... que se passe-t-il au juste ? balbutia-il.

(ok, mais je préfère que ce soit toi qui provoque le combat, moi je suis pas du genre à me jeter dans la gueule du loup...)

Bereciak fit un pas, ignorant l'épée de son interlocuteur. Il dit d'une voix qui n'était pas la sienne, car bien plus grave (il avait appris à modifier sa voix) :
Peu importe qui je suis, dit-il, n'a-t-on donc pas le droit de venir boire un verre dans une taverne.

(ok ok)

Etan ignora la réponse de l'homme lui envoya un coup de taille que l'homme esquiva habilement.

Vous voyez vous n'etes pas n'importe qui. Alors sortez votre épée et que votre mort soit rapide !

Il envoya un nouveau de coup d'estoc vers son adversaire.

Bereciak avait déjà esquivé un coup et sentait les ennuis le gagner rapidement...tant pis pour la discrétion. Il esquiva le coup et sortit deux dagues, moitié aussi grandes et larges que l'épée d'Etan.
Celui-ci attaqua mais Bereciak para le coup, écartant la lame et faisant un saltaut arrière pour atterrir sur la table derrière lui. En position supérieure par rapport à son adversaire, il attendit, prêt à combattre.

(faudrait qu'au milieu du combat, tu m'enlèves mon capuchon...)

Etan suivi du regard l'homme qui sauta dans son dos. Il se retourna promptement et lui balaya les jambes du plat de son épée. L'inconnu tomba à la renverse Etan se jeta sur lui et ota son capuchon. Quand il vit son visage. Etan s'imobilisa, il s'arreta net dans son action, cette journée à la campagne repassait dans sa tête, il revoyait cet homme dénommé Bereciak, aux cheveux bleu océan. Il recula et se retourna les mains contre son visage.

Mais ... que...

Que me vaux un tel honneur monseigneur Bereciak ? Une visite de courtoisie ou êtes vous venue ici simplement pour continuer à tromper tout le monde en jouant un double rôle ? Rebelle mal vécu ou Loyaliste à tendance anarchiste ?

Il enleva ses mains de son visage.

Je m'occuperais de toi sale personalité faiblarde au tendant de repentit !! Mais d'abord cet individu doit mourir !!