Jardins

bélius lui repondit d'une voix certaine :

que craignez vous ma reine? ce n'est qu'un livre après tout.
Essayons de le lire soigneusement tout les deux et nous saurons plus sur les anges si vous me permettez.

Bélius affirmant ses propos demanda a la reine d'aller dans ses appartements et de le lire avant de l'exposer à tout le royaume.

Pendant que la reine se fait surprendre par soren pour lui parler, Bélius se sentit a l'écart de la discussion.

Outres, il décida de s'isoler en direction de la basse cour.

basse cour

Basse cours

C'est alors qu'arriva un serviteur du château. Il venait de la basse cours, et croisa Bélius alors qu'il commençait à s'écarter de la reine lentement avec un air indécis. Le serviteur, après avait effectué à distance la révérence de rigueur à sa majestée la reine, s'adressa à Bélius le conseiller de celle-ci en ces termes.

-Des hommes en armes m'ont fait vous mandater en leur présence sir Bélius.

Le conseiller surpris ne savait s'il devait réellement quitter ce lieu et suivre le serviteur, laissant la reine avec cet inconnue apparition, ou s'il devait rester en sa royale présence. Elle ne lui ordonait rien........

Puis le conseiller lui murmura discrètement.

-C'est à propos de ce Béréciak tant recherché.......

Alors Bélius discrètement, acquiesça à cette nouvelle. Et suivit le serviteur en direction de la basse cours afin d'en savoir plus, avant de déranger en vain sa majestée.

Après tout, elle ne risquait rien dans ce jardin. Il était chargé de gardes de protection à chaque endroit et tout autour d'elle !

Basse cours

Houlà dsl dsl dsl!
Je n'avais pas vu vos réponses... Je vais essayer de rattraper mon retard du coup, je t'ai bloqué Bélius... Désolée.

Alors que la reine s'apprêtait à suivre le conseil de Bélius et de rejoindre ses appartement pour livre l'étrange ouvrage, un homme qu'elle n'avait pas aperçu auparavant sortit de l'ombre d'un mur, s'adressant à elle sans même avoir la politesse de se présenter...

Elle sursauta tant elle avait été surprise de cette apparition.
Se raidissant immédiatement, reprenant son attitude habituelle, elle répondit d'un ton sec à l'étrange individu:

"Qui êtes vous?"

Elle n'aimait pas être surprise de la sorte et encore moins par une personne qui ne daignait même pas se présenter...

La jeune reine ne pu réprimer un cri: "Un assassin?!"

Elle recula d'un pas, elle avait déjà bien assez d'ennemis pour que des assassins ne viennent s'ajouter à leur liste déjà bien trop longue...
Elle jeta des regards craintifs alentours... Y avait-il des gardes dans les parages?
Elle n'en vit aucun... Mais que donc faisaient encore ces bons à rien?

Ne lui restait alors plus qu'à espérer... Espérer que cet assassin n'était pas là pour s'occuper d'elle mais lui proposer ses services....

Fixant son visage pour essayer de comprendre ses intentions, elle lui demanda, contrôlant au mieux le tremblement de sa voix:

"Un assassin? Mais que venez-vous donc faire ici?! Comment êtes-vous entré?!"

La reine encore un peu dubitative regarda l'assassin...
En avoir un dans ses rangs ne lui aurait pas déplu, bien au contraire. Mais, comment s'assurer de la fidélité d'un individu dont le métier était de tuer? D’autan plus que, comme ceux de son espèce, il devait probablement exercer son art autant que possible de manière discrète, rapide et, surtout, sans prévenir ses victimes de l’imminence du coup fatal…

"Et, comment comptez-vous me prouver que je peux vous faire confiance ? Et ce à long terme ?"

Elle espérait que l'homme lui donnerait la clef de sa fidélité...
Lui annoncerait-il ce qu'il souhaitait en échange de ses services?
Désirait-il de l'argent? L’honneur? Ou tout simplement le gite et le couvert?
Elle ajouta

"Comprenez que je ne puis me fier ainsi au premier venu… Il me faut des garantie solides si vous souhaitez... Travailler pour moi."

Il donnait sa parole, voilà qui était déjà un pas en avant...

Elle le vit ensuite se couper au poignet, jusqu'à ce que le sang perle. N'étant pas certaine de comprendre, elle lui demanda:

"Vous me proposez un pacte de sang?"

Cela l'étonnait fortement...
Tout d'abord parce que personne encore ne lui avait proposé un tel accord et, ensuite parce que celer un pacte de cette maniéré n’était selon elle pas dans les habitudes des assassins… C’était plutôt une habitude de guerriers rompus au combat, le genre de pacte que l’on ne pouvait violer…
Cela elle le savait mais, que représentait-il pour l’assassin ?

Elle attendit la réponse

Ainsi, ce pacte ne concernait que l'assassin et, finalement n'apprenait rien à la reine si ce n'est qu'il était prêt à tuer de nouveau...
Itzalina ne voyait pas bien quel lien cela pouvait avoir avec la confiance...

Mais, elle savait que donner sa parole était déjà beaucoup pour un homme.
Aussi, elle décida de se contenter de cela pour l'instant et de voir comment les choses allaient se passer.

"Bien" fit-elle "Je vous prend donc à mon service..."

"D'ailleurs, j'ai peut-être même un travail à vous proposer... Je dois retrouver un certains Bereciak V’andyr. Le roi centaure l’accuse d’avoir tué nombre des siens. Je crois qu’il s’agit en fait plutôt d’une dette d’honneur mais, il semblerait que cet elfe soit dans son tord. Je dois vérifier cela avec lui mais les deux précédentes versions que j’ai eu à ce sujet concordent pour rejeter sur lui la faute...
Berf, je dois le trouver…
Pourriez-vous me le ramener… ? "

La reine écouta l'assassin jusqu'au bout, un peu rassurée par sa décélération.
Il lui demanda ensuit où il lui serait passible de trouver Béréciak et, l'autorisation d'avoir un jugement au sujet du fugitif.

Itzalina répondit à l’assassin après un profond soupir : "Il n’a pas été vu en ville ces dernier temps… Probablement a-t-il eu vent du fait qu’on le recherchait et qu’il s’est enfuir… S'il est quelque part, les lieux où vous avez selon moi le plus de chance de le trouver sont les bois... Peut-être même au royaume rebelle où, il serait pour lui le plus logique de se rendre.
Vous pouvez avoir un jugement à son sujet mais, ramenez-le moi Entier et si possible rapidement, le roi centaure ne m'a donné que deux jours pour le livrer à lui sans quoi, il déclarera la guerre au royaume..."

Elle s’interrompit un instant, tentant de se souvenir comment décrire le fugitif affin de faciliter les recherches de l’assassin.
Elle reprit :

"Pour ce qui est de sa description, il s’agit d’un elfe aux cheveux bleus, mi-longs. Son visage est marqué de plusieurs tatouages… Je pense que vous le reconnaitrez facilement. Le plus difficile sera de le trouver…"

Bélius rejoigna tranquillement la reine en repensant à la voix qui persitait dans la bibliothèque.Pourquoi pousurvait t'il Bélius? Est une ombre maléfique?Que veut t'il de lui?
Certes, il continua à rèfflechir passivement et retourna auprès de sa reine.

Alors qu’elle attendait une éventuelle réponse de l'homme, Itza remarqua Bélius qui s'approchait. Il semblait préoccupé aussi, elle lui demanda, avec un sourire engageant:

"Et bien conseiller, qu'est-ce qui vous tourmente ainsi?"


-> Je ne pense pas que je pourrai me connecter demain, désolée. J'essaerai mais bon...

Bélius essayant de cacher sa contrariété repondit a la reine :

Ne vous en faites pas ma reine, tout va bien.

Son regard rivé sur le livre des anges , lui dit :

Allons lire le livre que l'ange nous a apporté , si vous permettez votre majesté.Nous pourrions nous installer si vous desirez dans vos appartements et ensuite aviser pour le faire lire dans tout le royaume.

Bibliothèque

L'ombre menaçante suggérant de l'appréhension à l'esprit de Bélius, rampa lentement et à distance de celui-ci et de la reine.
Mais il était là, ce spectre sans identité, tapi dans l'ombre à attendre, attendre, attendre.
Il l'avait suivi, progressant telle une créature obscure se mouvant dans les coins et recoins de tout les lieux sombres de ce château.
Jusqu'aux jardins, puis à la basse-cours, et de nouveau..........

L'ombre traquant Bélius, s'effaça pour un temps........meilleur !

Alors que Bélius lui proposait d'aller lire le livre de l'ange, Itza à laquelle cette idée plaisait voulut congédier l'assassin... Mais, alors qu'elle tournait son regard vers l'endroit où il se tenait l'instant précédent, elle se rendit compte qu'il avait disparu...
Décidément, cet homme s'il respectait son pacte pourrait lui être d'une grande utilité...
Une telle discrétion était loin de la balourdité de ses gardes... Peut-être avait elle trouvé l'espion qu'elle cherchait...

Avec un léger mais indéchiffrable sourire mais, qui s'effaça bien vite, la reine se retourna alors vers son conseiller et lui dit d'une voix pleine d’entrain:

"C'est une très bonne idée Bélius, je me demande bien ce que cet ange nous y racontera... L’histoire comme vous le savez me passionne et, celle d’un pays inconnu pourrait bien s’avérer des plus intéressantes à parcourir"

Mais, l’entrain de sa voix s’éteignit alors qu’elle se souvenait soudain du messager blessé et de la guérisseuse qu'elle avait fait installer dans une chambre du château. Elle compléta ses dires:

"Je dois juste aller prendre des nouvelles du messager et voir si la jeune guérisseuse qui prend soin de lui a besoin de quelque chose...
Nous pourrons ensuite nous atteler à la lecture de cet étrange ouvrage... Voulez-vous m'accompagner?"

Chambre du messager

Alors que la reine lui proposait de l'accompagner, Bélius se sentait honorer de satisfaire la reine par ses conseils.
Flatté par ses propositions il lui repondit sans hesiter et accompagna sa majesté.
D'une allure élégante , Bélius et Itzalina partirent a la rencontre de Marion la guérisseuse.
Pendant le trajet, Bélius ne cessa point de penser à la disparition de Béréciak et de s'interroger sur le travail qu'il avait ordonné aux gardes pendant que la reine discutait avec soren.
Les jours et les minutes sont comptés et Béréciak est toujours dans le royaume et personne ne sait ou il est.
Les gardes doivent a tout prix le trouver sans que la reine soit au courante de cette affaire . Bélius soucieux espere que la mission se deroulera sans embuche...

Chambre du messager

Murailles, tours du château

Le messager se précipita. Il venait de déboucher dans les jardins.
Il se faufila discrètement, il devait sortir de ce castel et mettre la fin de son plan à exécution.
Un jeune homme richement vêtu passa, mais il n'eut que le temps de ressentir une douleur intense à la tête et de tomber dans l'inconscience.

En effet, le messager avait assommé le bougre et l'entraîna alors vers un endroit isolé. Là, il retira les guenilles qu'il portait sur lui, les déchira et en fit une corde avec laquelle il ligota le jeune homme après lui avoir méthodiquement retiré ses habits pour s'en vêtir.

Il repartit après avoir enfermé le pauvre garçon dans une remise.

Ainsi prisonnier, le pauvre garçon resta inconscient quelques instants.
Heureusement pour lui, l'endroit était assez passant, et, une fois éveillé, les coups qu'il mit sur la porte et ses hurlements eurent tôt fait de rameuter un garde.
Une fois libéré, il se rendit compte que les vêtements qu’il portait n’étaient pas le sien aux yeux du garde qui le fixaient avec un air incrédule.

"Un homme m’a attaqué et a volé mes vêtements" (il se lança alors dans un inventaire de tout ce qu’il portait mais, que par sollicitude, je vous éviterais tant il est long)

Finalement, le garde s’impatienta et après avoir écouté le principal laissa le jeune homme et lui assurant qu’il ferait son possible pour trouver le voleur…
C’est alors que le militaire accompagné de l'infortuné prisonnier se lança à la recherche du voleur et du « messager » recherché par la reine.

Alors qu'il avançait, ils remarquèrent un homme qui correspondait à la description du voleur et semblait bien pressé pour un nobliau se promenant au château.

Le garde l'interpella alors:

"Excusez-moi mon seigneur... Oui, vous en bleu"

Et ils attendirent que l'homme qui ne pouvait être que le voleur se retourne.