Jardins

Etan surpris, voyant son sauveur s'amusé sans lui il le rejoingnit l'épée à la main, le combat commenca, sur les cinq gardes l'un était au tapis, en restait quatre. Yuk et Etan se partagérent les gardes. Etan au prise avec deux gardes lance une esquive sur lagauche avant de ramener son poing dans le nez d'un garde, l'autre garde tenta d'assener un coup d'estoc mais Etan pivota de droite et envoyer le plat de son épée dans le dos du Garde qui tomba par terre dans la neige.

Eh bien on ne sait pas se battre ? lanca-t-il.

Le garde se releva et fonca sur Etan qui n'eut d'autre choix qu'esquiver et planter son épée dans le dos de l'homme qui tomba avec des gargouillement. Le second revint à la charge, hurlant de rage et des insanités au sujet de la mére du héros.

Vous regretterez vos paroles vous !! Cria-t-il

Etan para facilement l'attaque trop furieuse du garde, et d'un mouvement rapide envoya son coude au visage du garde et balaya les jambe du garde. Celui à terre ne pû rien faire éviter le coup d'épée d'Etan qui alla se placer dans son estomac, le garde gemissat, puis tomba inanimé.

Yuk l'attendait déja à l'entré du fossé

"Jamais j'ai vu des gars danser comme sa... dépeche toi, la ville ne sera pas une partie de plaisir..."

Il entra dans un petit trou dérrière un buisson accompagné de l'homme en armure et de son vif

Restaurant "A l'orc roti"

Etan regarda Yuk et le suivit en toute confiance. Mais pourquoi la ville ne serait pas une partie de plaisr, cela reste une surprise pour notre héors.

J'arrive Caillou ! Il emprunta le passage juste dérriére Caillou.

Restaurant "A l'orc roti"

Cellule d'Etan

La reine avait suivit le mouvement mais, ce fut pour voir les deux intrus s'enfuir par un passage secret en massacrant au passage quelques gardes...

Elle fulminait. Le monde était-il contre elle ou n'était-elle tout simplement pas à la hauteur? Elle préféra ne pas trop creuser le sujet.

Elle aurait aimé les suivre mais savait que celà équivalait un suicide pour elle... Les rues de la ville n'étaient vraiment pas sûres surtout pour la reine. Aussi, elle ne pu que ronger son frein alors que les gardes qui la suivaient s'engoufraient dans le passage...

Puis, soudain, quelque chose céda en elle et la moindre once de bon sens qui lui restait disparu. Elle ne pouvait plus rester ainsi a ne rien faire elle ne supportait plus de rester enfermer au chateau a ne rien faire. Elle courru aux écurie, hélant tous les gardes qu'elle croisa leur intimant l'ordre de la suivre...

En bon militaires qu'ils étaient, ils obeïrent..

Les écuries

L'entrée du château

Bereciak arriva dans le jardin, toujours vigilant et inspecta tous les endroits de fond en comble.
Il devait essayer...non ! il DEVAIT retrouver l'ermite...

Ruelles

Aethys se tenait toujours plaquée contre l’écorce rugueuse du vieux saule, observait de son regard étrange les jardins au dessous d’elle. Tout semblait désert. Une brise froide de début de matinée soufflait lentement grondant entre les vieilles pierres du palais. La mercenaire sourit. Elle aimait particulièrement ce temps maussade et plein de mélancolie. Elle s’accroupit sans un bruit gardant toujours une main sur l’arbre. La neige fraîche était maculée de traces de pas des soldats en faction dans la cour. Son sourire se fit narquois. Cela sera encore plus facile de ne pas se faire remarquer dans une neige si foulée déjà. Une petite présence fit alors son apparition sur son épaule. La jeune femme tendit la main et recueillit son vif. L’araignée noire portant un rubis sur le ventre vint se blottir dans sa paume.

Que fais tu là, Aethys ? Je croyais que tu avais laissé tout cela ?

Aethys eut un regard sombre.

Je le pensais aussi Spy. Mais les rumeurs grondent de plus en plus fort et elles m’ont réveillée. Alors je suis mon destin…

Fais attention cette fois ci que ton destin ne te conduise pas de nouveau à ta perte…

Soudain, un homme fit son apparition dans les jardins. Spy disparut discrètement. La mercenaire plissa les yeux. Il s’agissait de l’homme de la taverne. Observant une dernière fois les alentours déserts, elle sortit sa dague effilée et se laissa glisser le long des branches du saule pleureur. La mercenaire atterrit sans un bruit dans la neige et se dirigea furtivement derrière l’homme. D’un geste vif, elle plaça sa lame sur la gorge de l’étranger et se plaqua contre lui.

« Si j’étais vous, je me tairais…Que faites vous ici dites moi ? Vous travaillez pour la reine ? »

Elle maintenait la pression contre la gorge de l’homme tout en observant les alentours. Si quelqu’un s’approchait, elle n’hésiterait pas un instant à l’égorger.

Bibliothèque

Itzalina sortit du palais pour déboucher dans les jardins où elle fut accueillie par la neige qui tombait à gros flocons. Elle s’emmitoufla un peu plus dans sa cape blanche et se dirigea vers la petite dépendance du jardin où l'on avait fait installer l'ermite.

La neige limitait la visibilité mais, la reine savait à peu près où se rendre.
Elle marcha donc jusqu'à apercevoir une fenêtre à travers laquelle brillait déjà la lueur d'un feu de bois et de quelques chandelles...

Vous êtes ici pour tuer un pauvre innocent c'est cela ? répondit Bereciak
Sachez que votre maitre m'envoie vous dire qu'il retire son ordre envers vous...

Bereciak brandit un papier sur lequel il était clairement écrit les ordres d'Etan Hans.

Entrée du château

Friedirch eu tout juste le temps d'arriver dans les jardins qu'un gard e del aporte vitn le quérir. Il était éssouflé et légérement criantif de la réaction de Friedrich.

Hey un homme vous demande... enfin pas vraiment vous mais voilà comme vous etes là c'est vous qu'il veux voir mais pas réellemetn vous enfin mais...

Suffit ! J'arrive ne te met pas en peine ainsi que par ma présence. Je m'en vais voir à ta suite quelle perosnne se permet de querir une personne noble ainsi sans se faire annoncer.

Friedrich suiva le garde pour retourner à l'entrée du château pour acceuillir l'étrange homme.

Entrée du château

Lutant contre le vent, la reine avança en direction des lumières.
Arrivée à la porte, elle frappa.

Chez l'ermite (Dépendance du jardin)

Le froid se faisait de plus en plus sentir, pénétrant les chairs et les âmes. Des flocons se mirent à tourbillonner dans les cieux et retombèrent sans bruit sur les deux jeunes gens. Aethys n’eut pas le moindre mouvement lorsque les minuscules gouttes de neige lui atterrirent sur le bras. L’homme qu’elle tenait toujours, la lame sur la gorge, ne bougeait pas d’un pouce. Le sourire de la jeune femme avait fondu et un air sérieux se tendait ses traits. Lorsqu’il se mit à remuer, elle appuya un peu plus sur sa gorge, faisant quelques perles de sang. Ses muscles se bandèrent sous sa peau.

Vous êtes ici pour tuer un pauvre innocent c'est cela ?

Aethys resserra son étreinte. Elle se pencha en avant, se plaquant un peu plus contre le corps de l’homme. Ses lèvres effleurèrent le lobe de son oreille.

« Sachez Messire, que je ne tue que par contrat. Qu’il soit innocent ou pas, cela m’importe peu. Vous n’avez point répondu à ma demande. Vous travaillez en ces lieux ? »

Ses doigts jouèrent sur sa lame étincelante, ne lâchant pourtant pas sa proie.

Sachez que votre maître m'envoie vous dire qu'il retire son ordre envers vous...

Le sourire narquois de la mercenaire apparut à nouveau.

*Voilà encore une bonne âme qui n’a point connaissance du reste du monde…Pauvre hère…*

« Je n’ai point de maistre, Messire. Mes services sont offerts à tous ceux qui ont de quoi me payer. »

Elle passa une langue gourmande sur ses lèvres bleuies par le froid. Elle jeta tout de même un coup d’œil au parchemin que lui tendait l’homme, sans détourner sa vigilance. Elle fronça les sourcils un moment et son front se plissa d’une barre sombre.

« Qu’est ce qui me dit que ce sont ces ordres, Messire ? »

En fait, elle aurait très bien pu laisser là cette histoire mais elle avait nombre d’expérience de ce genre. Les hommes revenaient ainsi trop souvent sur leurs actes.

« Mais si vous souhaitez réellement que j’arrête là ma mission, Messire, il y a un moyen. Une bourse de cuir empli de pièce sonnantes et trébuchantes et je quitte ce palais sur le champ. »

Elle lui sourit maintenant toujours une pression infime sur la gorge du jeune homme.

(Tu n'es pas obligé de passer pour une lavette. Mais c'est déjà mieux que de mourir égorgé par une mercenaire Wink

Pardon pour le retard mais avec mon boulot c'est pas simple Rolling Eyes

)

Un sourire carnassier se peignit sur les lèvres de la jeune femme. La pression contre le corps de celui qu'elle maintenait contre elle, se fit plus forte.

"Voilà qui est bien dommage, très cher..."

Un air mauvais passa sur son visage. Sa mission ne s'achèverait que lorsque quelqu'un l'aurait payer pour un contre ordre. Et l'homme qu'elle tenait en respect ne semblait pas le pouvoir. Sa lame s'enfonça un peu plus dans ses chairs et un filet de sang s'écoula sur sa main avant de goutter dans la neige fraiche, y laissant éclore des minuscules rubis. Elle se passa une langue gourmande sur les lèvres.

*Cela fait si longtemps...*

"Je me dois donc dans le devoir de poursuivre ma mission Messire. Vous m'en voyez désolée..."

Elle sourit et appella mentalement Spy. L'araignée se précipita vers elle et glissa dans le cou de l'homme inconnu. Elle le mordit violement et Aethys relâcha la pression de son arme. Elle maintenait toujours l'étranger en respect mais le libéra de son étreinte et passa devant lui.

"Ne vous agitez point Messire. La morsure que vous venez de recevoir à l'instant même et celle d'une veuve noire. Elle est extrèmement douloureuse et peut vous plonger dans un état de mort proche en moins d'un instant. Vous la ressentez n'est ce pas, cette chaleur étrange. Ne bougez pas, quelqu'un finira bien par vous trouvez et vous sauvez. De toute manière vous n'irez pas très loin dans cet état et tout mouvement pourrait vous tuer..."

La mercenaire sourit perversement. La morsure d'une veuve noire était si violente et douloureuse qu'elle pouvait tuer un homme en moins d'une heure. Elle espérait cependant pour l'inconnu qu'il l'écouterait et ne s'agiterait pas. Son seul espoit de survie était là. Elle lui asséna alors un brusque coup de pied en plein estomac et partir furtivement en direction du reste des jardins.

Chez l'ermite

Entrée principale du château d'Arnestil

Raaah, pourquoi les réveils sont ils toujours aussi douloureux..

Man A Kel etait toujours étendu par terre. Il se frotta le front d'une main, se relevant en prenant appui sur le sol de l'autre.. Une fois debout, il titubat dangeureusement sur le côté mais il prit appui sur un arbre d'une main sûre. Il s'y adossa et expira doucement, frottant ces gants en cuir pour y faire partir la boue séchée qui s'y était collé. Il se massa ensuite la nuque d'une main et regarda autour de lui..
Plus de gardes.. Plus de portes.. J'ai marché jusqu'au jardin.. Etonnant..!
Il ricanna doucement et sortit sa longue pipe en bois.. Il fourra dans l'extrémité des feuilles de tabac ainsi qu'une étrange petite boulette blanche, toute cela pris dans sa bourse en cuir accroché à sa droite.. Il chercha un bout d'écorce sèche sur l'arbre contre lequel il était adossé pour y gratter une allumette.. Il inspira ensuite profondément et recracha de longs nuages de fumée.. Mmmh la fumée se mit à parler et prit la forme de deux personnes.. Tsss, il plissa alors les yeux et aperçut au loin ces deux personnes qui n'étaient pas le fruit de son imagination.. Une femme avec un couteau, un homme en mauvaise posture.. Le monde à l'envers se dit il.. Il continua de les observa en fumant et se rapprocha, s'adossant à un arbre plus près et gardant le silence.. Il regarda la femme s'éloigner en affichant un rictus méprisant et fixa l'homme à terre.
Pitoyable...

Bereciak resta là, adossé contre le mur la morsure lui brûlait le cou. Il ne pouvait qu'espérer mourir dans de longues souffrances...
Il commençait lentement à fermer les yeux...il ne fallait pas...non, il...ne...fallait...pas...
Quelque chose de familier se posa prêt de lui. Il n'eut pas la force de regarder qui c'était...il n'avait qu'une seule envie : qu'on le tue. Qu'on lui tranche la tête ou qu'on lui arrache le coeur, peu importe. Il voulait seulement mettre fin à ses jours...
Il rassembla ses dernières forces pour saisir sa dague et la dans un mouvement désespéré, il enfonça le couteau dans son coeur...

...de peu ! car quelque chose avait stoppé l'élan de son bras. Quelque chose de petit et gris. Cette chose n'était pas de taille à lutter contre Bereciak mais celui-ci était si faible que même un nourisson aurait pu lui tenir tête.
La chose grimpa sur son épaule inclina un objet vers lui et un mince fluide liquide glissa sur la joue de Bereciak. Ce dernier comprit qu'on lui versait un liquide dans la bouche et il avala tout d'un trait.
Pendant un instant, rien ne se produisit, puis la douleur s'apaisa et la vue du jeune elfe devint moins floue...
La chose qui l'avait sauvée, c'était...Rapia !
Bereciak fut si fier d'elle qu'il ne savait que dire, mais son sentiment se transmit mentalement chez l'épervier qui émit un gazouillement joyeux.

Bereciak se releva, puis essaya de suivre la piste de la guerrière...

Il n'avait pas fait trois pas qu'il fut interpelé par un homme en haillons épuisé. Il l'enveloppa de sa cape et l'emena s'abriter.

Qu'est-ce qui vous amène, l'ami ? demanda Bereciak.

Je dois transmettre un message à la reine Itzalina répondit l'homme frigorifié.

Elle n'est pas disponible pour le moment répondit Bereciak, suspectant les intentions du messager, seriez vous disposé à m'en faire part ?

Il remarqua alors que le corps de l'homme était recouvert de brûlures et de plaies coagulées.

Eh bien, si vous voulez vraiment le savoir, on m'a chargé de transmettre à la reine que.....................................

Bereciak étouffa une exclamation de stupeur et en même temps d'angoisse. Il recula lentement, terrifié.
Puis il inspecta les alentours et s'enfuit à toutes jambes sans même récupérer sa cape...

Reste d'un campement

Le messager ne savait que faire, l'homme était brusquement parti...pourquoi ?
il ne le savait pas...
Il décida de se rendre chez la reine. Il demanda à deux gardes les plus proches l'endroit ou elle se trouvait et ils lui indiquèrent après avoir pris connaissance de ses intentions...

Chez l'ermite

Chez l'ermite-dépendance du jardin

A peine sortie, Itza se mit en quête d'un garde.
Elle dût pour cela faire quelques mètres dans le froid... Puis, elle tomba sur un gradé qui faisait partie de la compagnie qui l'avait raccompagnée au château après son "escapade" avec Etan et l'interpella: "Garde, vous souvenez-vous du nommé Bereciak qui m'a retrouvé dans la campagne?"
"Oui ma reine" répondit simplement l'homme avec sa voix rugueuse et forte de militaire

"Faites-le chercher partout en ville et à la campagne et ramenez-le moi... Le roi des centaures l'accuse d'une affaire fâcheuse... Et je dois mettre certaines choses au point avec lui"

Il la salua: "Bien madame, je vais de suite envoyer des hommes à sa recherche.."
Et il partit alors qu'Itza et le messager se dirigeaient vers le château.

La reine s'adressa alors à l'homme blessé: "Suivez-moi, je vais faire venir un guérisseur pour s'occuper de vous..."

(Man A Kel, je vais faire comme si je ne t'avais pas vu car, je ne veux pas te bloquer. Mais, tu peux m'interpeller si tu veux et que tu n'as pas peur de risquer de te trouver bloquer... Vu que je pars demain. Pour Béré, j'espère que l'ordre que j'ai donné pourra te permettre d'avancer...)

Grands mercis à votre bonté ma reine, dit le messager en s'inclinant pour la seconde fois jusqu'à terre, toujours stupéfait de la manière dont la reine le considérait.
Et il la suivit.

Alors que le garde s'éloignait de sa démarche raide de soldat, Itzalina réfléchit à l'endroit ou elle pourrait faire soigner le messager tout en étant assez tranquille pour écouter sont histoire loin des oreilles indiscrètes...

Un lieu lui vint immédiatement à l'esprit: La bibliothèque...
Combien de fois cet endroit lui avait-il servit de refuge? Elle l'ignorait mais c'était un des rares coins du château ou elle se sentait à l’abri des intrigues de la cour...

La bibliothèque

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Yxone faisait des tours au dessus des jardins pour attirer l'attention des gardes et par là même celle de la reine.

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Ce manège interpella bien évidement un garde qui faisait sa ronde dans les jardins...
Après s'être enquit d'ou se trouvait la reine, il alla immédiatement la prévenir...

Il se rendit donc d'un pas pressé vers la bibliothèque.
Alors qu'il marchait, il se demandait ce que pouvait bien faire ici ce qui lui semblait d'après les légendes qu'il avait entendu être un ange.

Bibliothèque

(Friedrich me manque.... Il faisait très bien son boulot de garde.... Et gérait bien mes autres hommes....)

Sorën avait réussi à passer par les murailles et était maintenant dans les jardins. Il n'y avait apparemment personne. Il sauta du petit toit où il était perché et s'avança discrètement dans les sombres couloirs, suivant les bruits qu'une personne faisait en marchant lourdement sur les dalles de pierre. Sans doute un garde, vu le bruit et le poids qu'il manifestait. Et si un garde ne s'occcupe pas de patrouiller, il va soit s'occuper d'une affaire interieure soit aller voir la reine.

Sorën avait croisé la reine dans les couloirs. Il s'était rapidement caché et était passé inaperçu. Après le passage de celle-ci il se mit à la suivre discrètement. Il avait eu de la chance de l'avoir trouvée aussi rapidement. Il espérait qu'elle soit apte à discuter. Sinon? il serait venu pour rien, aujourd'hui. Il était toujours dans ses pensées lorsqu'il entra dans le jardin. Il remarqua très vite l'être aîlé et, suspicieux, se cacha et observa.

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La reine arriva dans le jardin accompagné de quelques gardes.

Yxone se posa à côté de la reine.
Celle-ci le regardait un peu surprise d’une telle visite.
Sans mot dire Yxone s’agenouilla devant elle, non pas par dévouement, mais par respect, après tout c’était quand même une reine. Il lui tendit un livre blanc nacré sur lequel des reflets rosés venaient apparaître selon l’angle sous lequel on le regardait.

Un papier à lettre était sur celui-ci, de la même couleur.
Yxone fit un signe de la tête comme pour dire au revoir, et s’envola toujours sans rien dire.
La reine ouvrit le message sur lequel était inscrit ceci :

Voici les mémoires d’un ange, vous désiriez en savoir plus sur nous et bien voilà qui est fait. Je vous demande de mettre ce livre à la vue de tous si vous le voulez bien. Ce manuscrit est indestructible. Peut-être vous ne comprenez pas pourquoi je vous donne celui-ci. Je ne peux vous en dire plus malheureusement, car les êtres de ce monde doivent comprendre seuls.

Yxone retourna sur le campement de Frantskeu.

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La bibliothèque

A peine Itzalina eut-elle rejoint les jardins qui l'ange qui quelques instant plus tôt volait en cercle autour du château descendit au sol pour se poser à ses côtés.

Il ne dit mit et lui mis dans les mains un étrange ouvrage. Alors que la reine allait demander à l'ange de quoi ce dernier parlait, il fit un signe de tête comme pour la saluer et, toujours sans un mot repartit pour les cieux...
Elle le regarda s'élever, très surprise et, il fallait le dire, aussi légèrement vexée que l'être ailé n'ait pas même daigné lui parler...

Elle haussa les épaules. Elle ne savait rien sur les anges et a vrai dire ne croyait pas en leur existence jusqu'à ce jour...
Elle tenta de se remémorer les légende de son enfance, cherchant à se souvenir de la moindre information sur ce peuple encore plus mystérieux que celui des elfes...
Rien ne lui vint... Peut-être les anges étaient-il muet ou utilisait un mode de communication différent de celui des peuples de la Terre...

Pourtant, c'est bien dans la langue des humains qu'était inscrit sur la couverture en quoi consistait cet ouvrage...
Elle passa ses doigts sur la couverture à la couleur étrange, étonnée de sa douceur.

On pouvait y lire:
"Voici les mémoires d’un ange, vous désiriez en savoir plus sur nous et bien voilà qui est fait. Je vous demande de mettre ce livre à la vue de tous si vous le voulez bien. Ce manuscrit est indestructible. Peut-être vous ne comprenez pas pourquoi je vous donne celui-ci. Je ne peux vous en dire plus malheureusement, car les êtres de ce monde doivent comprendre seuls."

Pourquoi tant de mystère se demanda la jeune reine d'Arnestil, rêveuse.
Elle aurait bien aimé en savoir un peut plus. D'autant qu'elle était d'une nature curieuse.
Comme toutes les femmes auraient sans pu dire de mauvaises langues... Mais peut lui importait, elle essaierait de résoudre cette énigme par elle même en commençant par lire l'étrange ouvrage...

Se tournant enfin, vers sa garde qui regardait toujours vers le ciel, totalement abasourdie par une telle visite, la reine, leur demanda de reprendre leur poste.
Mais, elle-même étant des plus surprise, il n’y avait dans sa voix aucune agressivité.
Ils auraient de quoi discuter à la caserne ce soir là et la nouvelle ferait probablement assez rapidement le tour du château…

Elle se tourna alors vers Belius: "Que pensez-vous de cela conseiller?"

Elle espérait lui changer les idées. Peut-être la voix qu'ils avaient entendu tantôt n'était elle que celle d'un galopin qui voulait tester son Art...
Après tout, les enfants ne pensaient qu'à s'amuser et, les domestiques artiseurs était assez nombreux au château.

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