Auberge \"Au castor qui pète\"

Le titre de cette auberge indique le type de gens qu'on peut y rencontrer, mais c'est pourtant la seule de la campagne où l'on peut aussi loger.
Gageons en tout cas que ce lieu très cher aux yeux des voyageurs égarés de devienne pas un lieu mal fréquenté...

AUBERGISTE ! AUBERGISTE ! s'écria Bereciak en entrant dans l'auberge presque vide (sauf un homme bourré qui dormait, le nez dans sa soupe au poireaux).
Un gras homme torse nu, sentant la mort accompagné d'une série de mouche qui voltigeaient autour de lui se présenta devant l'elfe qui hoqueta, son odorat étant bien plus sensible que celui d'un humain. Ses yeux se mouillèrent de petites larmes, mais il retint sa respiration.
Servez moi votre cidre le plus fort (il aimait ça) et du gigot de chevreuil s'il vous en reste.
L'homme se mit au garde à vous sans un mot et fila aux cuisines.
Bereciak repensa aux anciens évènements qui lui étaient arrivés...il n'avait pas eu tellement l'occasion de se battre (occupé à réprimander les pratiques meurtrières de son cousin), et il sentait en lui l'envie irrésistible de porter des coups à quelqu'un...
Il le jura. Il vengerai les vifiers dont le survivant qui était encore souffrant d'après le marchand de ce monstre d'Arifarbjoeah...et si sa mémoire était bonne, il savait parfaitement où le trouver.
Voici votre cidre, bien fort et revigorant comme vous l'avez demandé, dit l'aubergiste qui fit sursauter bereciak.
Et le gigot ?demanda ce dernier.
Il a besoin de quelques minutes de cuisson, monsieur répondit l'aubergiste qui s'éclipsa.
Bereciak but lentement son cidre. Au début il lui brûla la gorge mais très vite la sensation devint agréable.
Une quintaine de minutes plus tard, laubergiste revint avec un fameux gigot de chevreuil.
Bereciak, ce qui étonna le serveur, dévora la viande en quelques minutes et partit en laissant douze pièces d'or sur la table.

Il allait enfin se venger de ce meurtrier, oui, il allait se venger...

Et il sortit...

( "territoire des centaures")

Holà, aubergiste ! s'écria Bereciak, rentrant dans l'auberge du "Castor qui pète", Donne moi une chambre et un potage aux légumes pour ce soir !
L'homme gras accourut et brandit un papier sur lequel Bereciak écrivit son nom en elfique. Puis, l'homme fila aux cuisines dans sa démarche de petit canard frileux.
Bereciak monta dans la chambre 304 et s'installa sur son lit. Il déballa ses affaires et regarda le soleil couchant. Il devait se laver avant qu'il ne fasse nuit, même si sa vue ne le trompait pas.
Il se redressa de son lit et sortit de l'auberge en allant vers une source proche.

suite: Plaine campagnarde

Bereciak s'étira. S'il on oublie les rats et les crissements des ressorts du lit, il avait bien dormi.
Il devait faire vite, il était déjà 4 heures du matin...
il devait rapidement retourner à la forteresse avant qu'on remarque son absence.

Forteresse des vifiers

La grande place de la ville

Aubergiste ! s'écria Bereciak en entrant dans l'auberge.

Le gras homme qui occupait les lieux répondit à l'appel en accourant.

Une collation froide, je pars sur l'heure...et...dites moi, peut-on passer par la route du bois ? demanda Bereciak, On m'a dit que j'y trouverait quelque coupe-jarret...

Certes non monseigneur (Bereciak pouffa quand il se fit nommer "monseigneur", ce n'était qu'un simple elfe, sans titre) répondit l'aubergiste d'un air à la fois effrayé et malicieux, Aucun homme sensé n'oserait s'y aventurer car il est là-bas que règne la Plaine des lams...

Cette légende serait-elle encore vivante ? s'exclama Bereciak, ironique.

Point messire n'est-ce qu'une légende, répondit l'aubergiste d'un air grave, des tas de gens y sont morts après cette malédiction ou y sont devenus fous. Ils deviennent fous, pillent, tuent, massacrent, et pour courroner le tout, lorsque la culpabilité les atteignent, ils mettent fin à leurs jours et...

Stop ! coupa Bereciak tremblant, vous allez me faire ressortir mon repas de ce midi...

Je dis pourtant la vérité monseigneur (décidément, même le plus pauvre des paysans serait nommé comme "seigneur") dit l'aubergiste sans un brin d'humour, je vous en conjure, ne vous rendez pas en ce lieu maudit, presque un million de gens y sont morts fous à lier.

Bien, trancha Bereciak, Merci pour la collation, je pars.

Il se hâta, engloutit d'un trait son repas et sortit pour se rendre en forêt.

La forêt

La forêt

Bereciak arriva au galop avec Diana en croupe.
Il descendit puis l'aida gracieusement à descendre. Il entra dans l'auberge...
Bigre ! Il y avait du monde. Pas loin de cent gueules gavées de cervoise.
Il n'était pas très sûr que l'instant se déroulerait tranquillement. Il escorta pourtant (en prenant soin de lui faire éviter les ivrognes qui ne tenaient pas en place chantant une chanson désastreuse) jusqu'au et lui demanda la boisson qu'elle désirait avant de commander.

Diana lui répondi:
Je prendrais un alexander merci!^^
(son préfféré,un baileys et à la creme de lait,delicieux xD)

(Tu ne peux pas écrire come ça Isondre...en bas de tes présentations doit figurer l'endroit ou tu vas et ce que tu fais c'est
[url=(url de la page ou tu veux écrire)]nom de la page[/url]
c'est indispensable. Aussi comme tu as sauté de Bryendan à la salle d'entraînement...)


Bien mademoiselle...Diana...
Tavernier ! Un alexander et un cidre !

Bien ! répondit l'aubergiste, asseyez vous dans la table au fond !

Bereciak invita Diana à le suivre vers la table. Mais soudain, il ne sentait plus la présence de Diana. Elle n'était plus là...
Il se retourna subitement et la vit. Un des ivrognes l'avait attrappé par la manche.

Dis donc ma ptite dame ! N'avez pas envie de partager cte biere avec moi ? dit l'homme, soûl.

Non merci monsieur, répondit Bereciak, surlombant l'imprudent de toute sa hauteur, mademoiselle n'a pas besoinde vos services...

L'homme insista ignorant Bereciak mais ce dernier se prépara et son poing jaillit comme l'éclair...

l'homme s'affala sur ses compagnons en tombant de sa chaise illico.

Diana contente et flatée de laide que lui avait porté bereciak lui dit:
Merci cest très gentil je preffere votre compagnie à la sienne..si vous ne m'avais pas aidé j'aurai très certainement du boire avec cet ivrogne...
Mainetant allons nous asseoire

La bête qui somnolait depuis longtemps en Bereciak rugit de triomphe entre ses entrailles. Il se sentait comme "en train de renaître", posément il l'amena à s'asseoir près de lui.

Un quart d'heure après arrivèrent leurs boissons et Bereciak fit le topo de la situation.

...euh...Diana, vous souhaitiez m'aider dans ma mission, voilà ce qu'il en est (il prit ses mains dans les siennes) ne me considérez pas comme un traître après cela...je ne suis point le serviteur de la reine, mais j'ai vu publiquement son animal de vif se faire enlever et je ne puis tolérer qu'une telle injustice soit commise ainsi.
Par ailleurs, un traître nommé Etan Hans a détruit et tué des villages et de pauvres innoncents par milliers et je me dois également de le retrouver...grâce à mon épervier...

Diana impeux surprise de ce qu'il venait de lui dire:Tel que soit votre misson ou ce que vous souhaitez accomplire ,ce que je veux c'est rester près de vous!Buvons vite nos boissns et partons.
Ils burent leur bisson rapidement et partirent.

Bien allons-y ! répondit Bereciak, surpris par le courage de la jeune fille.

Il se releva et donna un coup de pied dans la figure d'un des complices de l'autre homme qui voulait venger son ami. Il chuta en arriere puis roula au sol. Bereciak sortit du bâtiment avec sa compagne.

La grande place de la ville

Forêt

Holà tavernier ! De la bière !!!
Bière D'akhoündar, et que ça saute !

Un homme gros avec un nez volumineux apparut.
Il lui servit une bonne bière que Gaerbalok but en un trait.
Il s'essuya la bouche sur son bras. Il s'apprêtait à sortir lorsqu'il vit un groupe d'environ cinq humains encapuchonnés qui lui barraient la route.

Arrière ! s'ecria-t-il en brandissant sa hache.

Les autres brandirent leurs grosses épées et le combat s'engagea. Le massif Gaerbalok massacra deux des hommes à coups de haches. Du sang s'écoulait sur le sol jusque dans l'égout. Un troisième évita ses coups et lui enfonça l'épée dans l'épaule. S'attendant à le voir défaillir, il ne vit pas le coup de hache venir sur lui le projettant quelques mètres en arrière...
Les deux autres, plus malins n'osaient pas attaquer...
Ils étaient en position de défense. Gaerbalok attaqua se moquant de son épaule dont un flot de sang s'écoulait.
Il arrêta d'un coup de hache l'épée d'un des malandrins et l'envoya valser dans la cave de l'auberge. Il fut aplati par les briques n'étant pas solides.
Gaerbalok attaqua pour finir le dernier qui devait être le chef des bandits.
Celui-ci esquivait tous les coups jusqu'à épuiser le nain. Il s'arrêta, à bout de souffle. Savourant sa victoire, le bandit se prépara à le tuer quand ses jambes défaillirent à la suite d'un coup du nain et il tomba contre un mur il pointa son épée qui fit une légère coupure dans la poitrine du nain. Celui-ci s'élança, asséna un coup énorme sur la tête du bandit en lui fendant le crâne en deux...
Il se redressa satisfait laissant là le cadavre de l'imprudent...

Il entra dans celle-ci il ayant dépassé la charrette, ces occupants n’avaient même pas vu celui-ci, son déplacement étant trop rapide, même pour les animaux. A peine une brise qui passe.

Il entra dans l’auberge, il y faisait très bon, le feu de la cheminée réchauffait sa peau et ses os, il avait encore du mal à se mouvoir mais il en faisait rien paraître. Il s’assit à une table le patron était derrière le comptoir. Dans sa hâte il oublia de porter sa toge, trop difficile de penser à tout, pourtant le regard des occupants aurait dû l’avertir, mais il en pouvait plus.

/oups tu es à la seule table où il y a personne/
"( et alors ?)"
/rien/

Il se faisait tard, la nuit était tombée depuis un petit bout de temps lorsque le petit équipage arriva en vue d’une petite auberge qui avait l‘air bien sympathique… L’enseigne « Au castor qui pète » amusa beaucoup les enfants. Déimnys dormait toujours ! Après s’être éveillé quelques instants, les avait regardés placidement et s’était assoupi à nouveau, comme s’il avait des années de sommeil à rattraper !…
Ils laissèrent la charrette aux bons soins de l’aubergiste, et s’aperçurent à ce moment qu’ils étaient pourvus de deux chevaux de plus attachés à l’arrière. Loméga avait décidé de rester garder la charrette, au cas où... Après tout c'était "leur" seul bien !
Ils entrèrent dans l’auberge, le maître des lieux leur dit qu’il ne lui restait plus qu’une chambre et que toutes les tables étaient prises ! Mais qu’ils pourraient peut-être en partager une occupée par un seul client, désignant de la main un jeune homme étrangement vêtu…qu’Eldrr Siiarrk reconnut immédiatement d’un froncement de sourcil contrarié !
Leurs regards venaient de se croiser et le jeune homme aux yeux d’ambre perçut comme un sourire en coin sur le visage de celui qui précédemment avait fait tant de mystères, suscitant tant d’agacement ! Il était là… !
« Encore désolé » Reprit l’aubergiste qui avait bien perçu les deux pièces d’or… Rajoutant :
« C’est complet à moins que… » Et désignant à nouveau la table…
« Ca ira, nous avons déjà soupé en chemin !… » Coupa Eldrr Siiarrk d’un ton satisfait !
Puis, toisant non sans once de provocation l’autre jeune homme attablé en solo, il se dirigea avec sa petite troupe vers le chambre à l’étage. Et au passage, lui lâcha encore un sourire moqueur lorsqu’il entendit une vieille dame de petite vertu accoster celui-ce en lui lançant de sa voix grasse et cassée :
« Ne reste donc pas tout seul comme ça dans ton coin gueule d’ange ! » En l’invitant à venir la rejoindre… !
Les autres rustres présents n’ayant aucun doute sur ses intentions, raillèrent lourdement :
« Elle peut t’apporter beaucoup de chaleur humaine tu sais petit ! »
Les enfants avaient regagné leur chambre… C’était bien la première fois que chacun d’entre eux pouvaient « se payer le luxe » de dormir dans une auberge… ! Eldrr Siiarrk pensait déjà qu’il faudrait trouver du travail à Arnestil pour subvenir aux besoins quotidiens, mais aussi pour s’acquitter de sa dette envers l’inconnu volatilisé…

Yxone regarda le petit groupe passé devant lui, Eldrr avait un sourire sur ces lèvres.
« ( Y a des fois Eldrr m’énerve) »
/ Ahhhhh bon/ lol

« Non merci madame, je désires seulement manger, et me reposer un peu en profitant du feu. »

Encore une fois Yxone mangea comme 4, vu le combat qu’il avait eu dans l’après-midi il avait bien besoin de ça de toute manière. Une fois son repas finit il sorti au dehors de l’auberge, et surveilla toute la nuit celle-ci. Vu qu’il était un ange il n’avait pas besoin de dormir.

Grande route

Depuis son ascension en chambrée, Eldrr Siiarrk ressentait une inquiétude croissante au creux de son ventre. S’étant rapproché de la fenêtre…le regard perdu dans l’obscurité de la forêt, soupesait en son sein une angoisse déjà côtoyée… Ses yeux d’ambre cherchaient à croiser les yeux d’or. Puis, tombant sur deux points lumineux connus qui brillaient familièrement dans le noir, le contact se fit :
(Tu le sens toi aussi ?…)
(Oui… Il est là. C'est la même présence malfaisante que la nuit précédente…)
Loméga assurait la garde et envoya son ami au « dodo » promettant de prévenir activement si un danger se présentait…

La nuit venait de se passer sans incidents…apparents ! Aucun être vivant à deux « pattes » ne s’était approché a proximité de l’auberge cette nuit là ! Il y avait juste eu un bruit un peu plus fort que les autres au milieu de la nuit, ressemblant peut-être au cri d’un des hommes ivres d’en bas, côté taverne de l’auberge… Ils étaient assez bruyants et grossiers à vrai dire !
Eldrr Siiarrk réveilla Kéry et Kéïssa, préférant laisser Déimnys au repos le plus longtemps possible ! Quand tout à coup un vacarme pas possible retentit dans les couloirs ! Eldrr Siiarrk sortit aux renseignements… Un homme se plaignait d’avoir été attaqué par un petit être durant la nuit, et il présentait une assez vilaine blessure au cou qui ressemblait fortement à une petite morsure qui s’infectait à vue d’œil ! L’homme était dans un état de fébrilité grandissante… Mais il avait tellement bu la nuit précédente que nul ne savait si sa démarche était vacillante par l’effet de la fièvre où de l’alcool… ! De plus, ses propos étaient très étranges… Qu’est ce que…ou qui l’aurait attaqué ?… Il prétendait qu’un petit être lui aurait sauté dessus…Quelle créature ? Puis il s’était souvenu avoir croisé plus tôt…des enfants ! Il hurlait s’être fait mordre par un petit monstre aux yeux rougeoyants, un vampire suceur de sang…et s’en prit à Eldrr Siiarrk avec son atypique équipage… !
"N'importe quoi ! Vous délirez pauvre vieux débris ! Il n’y a pas d'animaux ici ! Ils ont tous dormi en bas dehors...!"
"Je sais ce que j'ai vu..."
"Certainement pas les enfants qui m'accompagnent en tout cas !"
"Pendant que tu dormais gamin...Une saleté de vampire...! Il a bu mon sang..."
"Je suis plus un enfant ! Et personne n'a quitté cette chambre ! Vous délirez vraiment !"
"Le gosse malade, blanc comme la mort...Je l'ai vu... C'est lui ! Ca ne peut être que lui !"
"J'vous conseille de garder vos distances a l'égard de ces enfants, et gardez vos accusations pour vous."
"Tu es son complice... Le complice du vampire...Aaaaaaaahhhhhhh !"
Il allait se précipiter sur l'ado lorsqu'un homme d'une belle stature avec de longues moustaches rousses s'interposa entre eux, retenant l'agresseur !
"Laisse ces enfants voyons, toi bien voir qu'aucun d'entre ces petits n'aurait pu infliger a toi pareille morsure... Quelle force ont ils ?..."
"Ôte toi de mon passage étranger... Ou il t'en cuira...'
"Voyons voyons, toi doit être raisonnable, fais voir à moi ta blessure...et viens plutôt prendre un petit peu hydromel avec moi pour petit déjeuner "
Puis il fit signe aux enfants de ses yeux pétillants, de partir en douce pendant qu'il attirait l'attention du "grand blessé" de son côté !
Eldrr Siiarrk se faufila dans la chambre récupérer Deimnys. Le petit était debout attendant figé. Il venait d’assister à toute la scène. Eldrr stoppa son élan vers l'enfant, apercevant autour de sa bouche une substance sombre ayant séché... Interdit face à ce spectacle, il se mit a gamberger...
( Nooon... Serait-ce possible qu'en vérité...)
Le temps lui manqua pour aller jusqu'au bout de ses réflexions ! Les deux hommes dans le couloir se bousculaient contre les murs en se bagarrant maladroitement, passant au travers de la petite chambre... Puis d'autres hommes aux longues nattes claires rousses et blondes braillèrent en raillant celui qui devait être leur compagnon :
"Frantskeu Kreukleu y aller on va, cesse de t'amuser !"
S'éclipsant a toute vitesse, Eldrr arracha l'enfant a son amorphie habituelle, le traînant a sa suite. Une fois en bas, prit rapidement soin de le débarbouiller discrètement, puis ils rembarquèrent sur la charrette à toute allure, direction le royaume d'Arnestil...
Enfin hors de portée de qui que se soit, Eldrr poussa un profond soupir de soulagement. Puis se retournant sur Deimnys, lui lança:
"Toi, il va falloir que tu m'expliques certaines choses…"
Loméga prit enfin le temps de le couper dans ses actions pour lui souffler :
(Moi aussi j'ai quelque chose à te dire...)


"Grande route"

L’auberge le réveil

Yxone regardait la scène qui se passait dans l’auberge par la pensé.
« Ces hommes il faut toujours qu’ils se battent, ils ne connaissent rien d’autre. »
/Il est marrant le barbare, avec couettes rousses et sa moustache/
« Oui c’est vrai, ça fait drôle » Yxone explosa de rire
« En tout cas c’est gentil de sa part de les défendre. »

/Au fait pourquoi n’es tu pas intervenu cette nuit ?/
« A vrai dire je ne sais pas. Je me pose moi-même la question. C’est comme-ci........... Non sincèrement je ne sais pas. »
/Ils sortent, ils vont repartir/
« Bien, je vais suivre tout ce petit monde, on verra où ils vont »
/Je pense qu’ils vont à Arnestil/
« Il risque d’y avoir de l’animation d’ici peut de temps je pense »
Yxone se mit à suivre le groupe.

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