Entrée de la forêt

"A partir d'ici vous entrés dans la fôret Vermil"

Cette forêt très dense est le repaire de nombreux animaux des bois et de créatures. Mais aussi des rodeurs vifiers qui y vont souvent pour guetter les voyageurs égarés qui seraient Royalistes.


(j'éditerai pour montrer les créatures...)

Présentation

Bereciak commence son aventure :

Bereciak déglutit. Il repensa aux terribles moments tels que la mort de son père et celle de sa mère, l'un abattu par un centaure (qu'il rêve de tuer), l'autre torturée par les elfes d'Ewëndan.
Il accéléra la marche. Rapia son fidèle épervier (femelle) avait été envoyé au devant pour voir s'il n'y avait pas d'obstacles.
Il faisait froid, Bereciak s'enveloppa dans sa cape et se mit à courir pour ne pas geler sur place...

Shinigaara demanda à Bereziak:

-Dit, on aura des artiseurs à tuer ? J'mennuie à mourir ...
Puis, pour passer le temps, il commença à manger ses fruits rouges.

Bereciak regarda l'inconnu. Qui était-ce ? il ne le connaissait pas...

-Réponds au moins au plus grand tueur de tout les temps espèce d'ignard !!

Shinigaara était prêt à dégêner contre cet individu

bereciak le dévisagea...MAIS OUI !!! c'était bien son cousin shinigaara (un peu violent) qu'il n'avait pas revu depuis des décennies !!!
Il en resta bouche bée...

Il s'était retourné un court instant masi shinigaara avait disparu
"Shinigaara ! Ou es-tu ?"

"Arrête moi si je me trompe !! ( regarde de plus près Bereziak ) Bereziak!!
C'est toi ? Comme tu as changé !"

Puis, il ajouta: "Bon, si tu me cherches, je serai en train de régler leur compte à certains gardes du chateau..."

Et il s'en alla.....

Bereciak regarda s'éloigner son cousin en lui souhaitant bonne chance et vice-versa. Ils allaient se retrouver bientôt.
Bereciak avança dans la pénombre...il entrait au coeur de la foret...

Shinigaaraet son ami Bashira, après avoir fait la rencontre d'un orc assoifé, sortent de la forêt...

- C'est bon, Bashira, tu peux aller courir un peu

- Youpi !!

- Moi, de mon côté, j'vais aller voir ce qu'il se passe à la taverne...

Taverne "Au coin Paisible"

(Commencement de l'aventure pour Gaerbalok)

Gaerbalok avait vu grandir son animal de vif de plusieurs années, le petit marcassin Figor qui était à présent un véritable sanglier adulte massif...
Il marchait péniblement dans les sentiers tortueux de la forêt...
Il devait sortir ici et se rendre chez les vifiers (peut-être trouverait-il le Kwotchiwirktch (insulte très méchante en langue des nains...nous préférons vous remplacer les insultes comme Feuyklabachtabalanx ou Gavachabalankbatorcaqsab par -$ù"''(èè^'*ù(- ou quelque chose comme cela pour éviter de choquer nos lecteurs par la grossièreté) Bereciak dont le père avait déshonnoré le sien...bref il devait se rendre chez les vifiers à la forteresse...

campagne
(ce smilie ça veut pas dire qu'il a peur car "un nain n'a jamais peur !!!" juste qu'il se précipite vers quelque part)

Diana partit de la forteresse et arriva devant la forêt... Une forêt d'apparence sombre mais à première vue pas très dangereuse, enfin bon on ne savait jamais... Diana prit ses précautions et resta sur ses gardes. Elle avança tranquillement, pas la peine d'aller vite, elle n'avait rien de précis à faire.

Auberge de la campagne

Bereciak arriva dans la forêt sur son cheval à la robe d'argent. Il devait retrouver le comte et lui demander ce qu'il avait prit comme décision...

Diana continuait d'avancer. En fait, elle tournait en rond, elle était perdue(pas très douée). Elle n'avait pas demandé son prénom au beau vifier avec lequel elle avait bavardé dans la forteresse... Alors qu'elle marchait, elle le reconnu un peu plus loin et lui dit:
-Hé toi, la personne que j'ai rencontré à la forteresse! Comme on se retrouve! Dis, j'aurai une petite question Quel est ton nom?

Mon nom est Diana.

Je vous demande pardon madmoiselle...je...euh...je n'ai pas retrouvé votre ami...veuillez m'excuser...il semble qu'il ne vienne plus à la forteresse.

Le coeur de Bereciak allait céder d'une minute à l'autre et crever son enveloppe corporelle tant il battait fort. Ce dernier se sentait prêt à affronter une armée d'ennemis quand il voyait la jeune fille. Péniblement, il déglutit, hésitant a dire mot.

Ce n'est pas grave,sans doute m'a-t-il oubliée...Merci quand meme d'avoir cherché^^je vous en suis reconnaissante

Vous êtes bien silencieux tout à coup! Avez-vous un problème? Pensez-vous à quelque chose? Demanda Diana

Quoi ? euh...moi ? s'exclama Bereciak tiré de ses rêveries et de son mutisme, Non, pas du tout...eh bien...euh...

Bereciak se ressaisit. Quel idiot il faisait ! Il se redressa et se racla la gorge.

Mais parlez moi un peu de vous, dit-il avec bienveillance.

Ho et bien je ne sais pas... Posez-moi des questions et j'y répondrai ^^ répondit Diana

Eh bien...d'où venez vous?...qu'avez vous vécu ?...et comment avez vous rencontré ce charmant petit animal?

Bereciak désignait le petit chat sauvage qui se roulait par terre.

J'ai toujours vécu à Arnestil, très jeune, mes parents sont morts... Suite à cela je fus délaissée de tout le monde, puis vint ma rencontre avec le vifier que je cherche... Tous les jours, nous avions rendez-vous au même endroit, près d'un arbre courbé avec une marque rouge. Puis un jour il ne vint plus et c'est pendant que je le cherchait que j'ai rencontré Zaphire, je me suis faite adopter par une famile de vifiers fidèles au roi et à la reine et récemment, je les ai quittés pour retrouver le vifier... Je me suis rendue dans une auberge mal fréquentée pour trouver des renseignement puis je suis arrivée à la forteresse où j'ai eu la chance de vous rencontrer.
Mais assez parlé de moi, parlez-moi de vous!


Diana avait hâte d'entendre la vie de bereciak.

Moi ? Eh bien je suis né à Ewëndan, chez les elfes des bois.
A mes dix ans mon père fut tué par un traître...un centaure...que je jure de tuer (il serra les poings) puis ma mère fut tuée par les elfes des bois car mon père était un elfe gris comme vous et je suis donc métis, de sang-mêlé. Puisque ma mère avait commis un sacrilège, elle fut torturée par les elfes des bois et mourut.

Une larme s'écoula sur la joue de Bereciak...

Il poursuivit.

Un jour, j'ai libéré mon futur animal de vif qui allait mourir et il ou plutôt elle m'a été reconnaissante en tuant le gobelin qui avait faillit me tuer. Désormais, je suis devenu vifier...et voici ma petite Rapia.

Bereciak siffla un bon coup et un éclair gris trancha le ciel. Un véritable épervier se tenait sur son épaule à présent...