Cour intérieure de la forteresse

Bereciak arriva dans la forteresse des vifiers rebelles, pourtant déserte... il fit appel à sa fidèle Rapia pour qu'ell se rende en éclaireur...Pourtant, un quart d'heure plus tard elle revint et fit comprendre par télépathie qu'il n'y avait pas un chat au devant...
Bereciak était soupçonneux...les vifiers dont on parlait tant ces derniers temps auraient-ils subitement disparu ???
Il commença à explorer la place-forte lorsqu'il entendit une plainte...Il s'approcha et vit un homme dont le corps était recouvert d'un sang bordeaux qui s'échappait de son front et de sa main coupée...
Il s'approcha du futur-cadavre...c'était un vifier...aucune trace de magie de l'Art en lui, c'était donc un allié...l'homme lui révéla en échange de ses soins (tout de même peu efficace après les blessures si graves qui lui avaient été infligées...) ce qui s'était passé :
il y avait un artiseur rebelle éclaireur qui venait demander une trève qui est venu...les vifiers, en bons chevaliers qu'ils étaient refusèrent et le laissèrent partir. Peu après quand le camp n'était pas gardé, un artiseur est revenu, un centaure et il a tué toute la garde de réserve...je suis le seul survivant, les autres ne sont pas encore revenus de leur expédition...
Comment s'appelait ce centaure? demanda Bereciak qui crut comprendre
un nom un peu compliqué Aribarfojeah, Farilarjobelah,...

Bereciak sursauta et son oeil s'emplit de rage...ARIFARBJOEAH ! le traître qui avait tué son père !!! Ahh, s'il était là en ce moment...Bereciak lui aurait bien fait avaler sa crinière et croquer ses sabots !!!
Il se contint d'exploser (ce qui risquait de tuer le vifier) et soigna le compère...un jour il retrouverait ce traître...un jour il le tuerai...

Bereciak interpela un marchand civil et lui demanda de prendre soin du pauvre homme en échange de 10 pièces d'or. Une fois parti, il entreprit de visiter le château...

que fais-tu ici shinigaara ? demanda Bereciak d'une voix glaciale, tu n'avait pas d'autres victimes à tuer ?
*rire ironique*

Ben, non justement... Donc j'suis venu voir ce que tu fesais à la forteresse, qui, tu devrais le savoir, est déserte depuis belle lurette ...

va t'en ! je suis tout à fait capable de me débrouiller seul.
*s'éloigne*

Entrée du château d'arnestil

Bereciak arriva enfin à la forteresse, pas le temps de lambiner, il saisit son cheval, emporta quelques provisions à manger dans son sac et se lança à la poursuite du traître.

Cabane de l'ermite

Diana épusée arrvia là,personne ou du moin pas grand monde elle se posa et se idit:
"La serveuse a du se tromper... A moins qu'il ne reste plus beaucoup de vifiers rebelles..." Elle soupira *soupire* "La probabilité que je retrouve mon ami est casi-nule on dirait bien...il a du m'oublier..." Elle prit zaphire dans ses bras et se mis a pleurer.
Elle murmura alors a son compagnon:
"-tu avais raison,j'aurai du lui demander son prénom,maintenant je ne sais ou aller pour le chercher!mais je ferai le monde entier pour le retrouver! en attendant posons nous là,il a peut etre un peu de retard.."

Entrée du château d'arnestil

Bereciak arriva et attacha son cheval à un poteau devant l'entrée surplombante de la forteresse.
Il trouva une jeune personne charmante qui carressait une sorte de lynx ou plutôt de chat sauvage.

Il déglutit. Sûrement une vifière.

Bonjour ! lança-t-il, cherchez vous quelqu'un mademoiselle ?

La jeune vifière sursauta.
Bonjour!Et bien oui je cherche quelqu'un,quand j'étais petite j'avais un ami avec qui on s'était fait la promesse de se retrouver chez les vifiers rebels en ce lieu à l'age de 20ans...mais je ne connais pas son nom...

Et bien il était grand en taille cheveux bleu,ses yeux je ne sais pas...il était très gentil,il m'aait donné ce bandeau sertis d'un saphire,et ...vous savez ca fait très longtemps que je ne l'ai pas vu il se pourrait bien qu'il aie changé,sa description n'est pas très précise car je ne me souviens pas ennormement de lui...dit Diana génée de ne pas pouvoir lui donner quelques detailles de plus

Très bien mademoiselle...je...je vais essayer de voir si je trouve votre ami.

Bereciak s'éloigna en la saluant. Son coeur battait à tout rompre.
Il n'avait jamais vu une dame d'une telle beauté.D'une telle beauté qu'il n'aurait pas pu ajouter un mot. En arrivant il la considérait comem toute autre personne, mais quelques minutes avec elle suffirent à lui retourner le coeur et à le faire galoper à travers ses entrailles.
Sa gorge était nouée comme par un noeud de marin. Il avait l'impression d'avoir avalé un bloc de béton. Il ne pouvait dire mot. Il regardait la grâce des gestes de la jeune dame quand elle carressait son petit chat ou quand elle affutait son épée...Tous ses gestes lui coupaient le souffle. Il la voyait charmante, éclatante de vie, il la comparait à une rose qui germait tendrement sous le soleil brillant et qui dévoilait devant lui toute sa beauté.

Il détourna les yeux. S'il la regardait plus longtemps, il allait en perdre connaissance.

Voyant que l'elfe s'eloignait elle lui proposa de faire impeux de chemin enssemble

Euh...non excusez moi mademoiselle, j'ai nombre de travaux à accomplir, si vous le souhaitez, vous pourrez venir dans mon atelier d'apothicaire...je fabrique des potions de soins...

La grande place

Dommage,et bien j'essaierai de passer vous voir^^
Diana se sentait bizzare,elle aurait aimé que ce soit lui le jeune garçon,il était beau,gentil,bien elevé et avait un charme comme personne..elle avait anvis de le revoir...seulement elle garda ses paroles pour elle,ne sachant pas si c'était résiproque...c'est dans ce type de moments ou Diana aimerai lire dans la pensée des gens.Elle en avait assez d'atendre,après tout elle reviendra tout à l'heure


La forêt

L'entrée du royaume rebelle


Diana entra dans la forteressa...Elle n'avait pas changé depuis la dernière fois mais Diana avait en elle un sentiment indescriptible comme à chaque fois dailleur qu'elle allait ici.La forteresse était tellement grande...Elle regarda les alentours puis se posa dans un coin...Elle dévisageait l'interieur de la bâtisse de pierres...

Une forme apparut alors au loin, à l'intérieur même de la forteresse...
Diana allait-elle la reconnaître ?...........
Cela faisait si longtemps !

Diana avait le soufle coupé...
Qui était-ce là bas???
Diana s'aprocha lentement...
Son coeur batait fort dans sa poitrine...
Diana était vraiment intriguée mais elle avait quand meme impeux peur

Trop de suspens pour elle, elle ne pouvait plus se retenir et avança de plus en plus rapidement, elle se mit même à courir! Son coeur bâtait fort dans sa poitrine...c'était le stresse absolu! Elle se rapprochait de plus en plus de la personne jusqu'au moment ou....






















PLUS rien....La personne avait disparu...Cela lui glaça le sang, Diana regarda autours d'elle si la personne était dans les alentours et non personne...Il n'y avait personne...Même pas l'ombre de quelqu’un...Comme si en fait tout ca s'était passé dans son imagination! La forteresse était aussi vide qu'aux dernières fois ou elle y était passée..
Mais pourtant Diana était sur que ce n'était pas le fruit de son imagination...


Diana décida de fouiller la forteresse et chacune de ses pièces mais...Elle ne trouva personne....Ce qui l'intriguait toujours dans cette forteresse c'est qu'il n'y avait jamais personne....Et depuis combien de temps? En entrant dans chaque pièces Diana découvrait des choses qu'elle n'aurait jamais imaginé, des tableaux magnifiques et d’une valeur inestimable, dans la cuisine il y avait des assiettes qui n’avaient pas finis d’être rincées Diana s’imaginait comment était ce à l’époque…


Ce qui l’intrigua plus que tout c’était ce tableau d’une personne familière…Elle avait du mal à le reconnaître…Mais elle lu une inscription :
« Keyu, le chef rebelle » A ce moment là, pleins de souvenirs remontèrent à Diana, elle se souvenait très bien de lui de plus elle l’avait vu quelques heures avent devant la forteresse mais sans son armure… Elle se souvenu de cette guerre horrible à la quel elle avait participé mais elle préféra oublier ce moment atroce…Diana avait un movais précentiment...Comme si c'était la dernière fois qu'elle verrait Yuk mais comme elle l'avait vu 5minutes avent elle se fesait sans doute du sousit pour rien..Diana fit un baiser en portait puis s'en alla continuer sa visite..


La bibliothèque

Entrée de la forêt


Etan arriva dans la cour interieur de la forteresse aprés s'être remis de sa rencontre avec une elfe noire de splus magnifique dont l'image restait encore dans l'ésprit d'Etan, et aprés avoir admirer l'entrée de cette forteresse. Le sol était défoncé en quelque sendroits, les pierres ressortainent du sol ici et là. Etan ne remarqua perosnne sans doute les vifiers rebels étaient-ils partis guerroyer ailleurs. Il s'avança jusqu'à un doublie escalier magnifiquement ornementait ce qui contrastait fortement avec le reste. Les bruits de se spas résonnait tel un cliquetis de métal, son armure renvoyant avec force des reflets argentés qui dansait tel des esprits de lumiére, et Hector lui suivait d'un pas feutré ,méfiant et alerte.

On devrait y allait plus doucement tu sais, le lieux n'est pas sûr on risque d'être surpris à tout moment...

Etan le coupa en criant la question que tout aventurier a prononcer dans sa vie.

Y a-t-il quelqu'un dans ce donjon ?

Hector soupira, tandis qu'Etan son maître s'asseya sur un banc de mabre pour attendre et se reposait un peu. Il se sentait fatigué à un point qu'il ne voulait même plus parlé.

A peine ces paroles prononcées, Etan pu entendre plusieur cliquetis d'armure qui avançaient dans sa dirrection.

Il fut entouré d'environs 5 hommes et femmes tous accomapgés de leur animal de vif.

Un des homme s'approcha. Son aspect n'était pas des plus engageants avec son visage marqué d'anciennes cicatrices de brulures. D'une voix fore, il s'adressa à Etan alors que son animal de vif, un petit aigle surveillait Herctor de ses yeux d'ambre:

"Qui êtes-vous et que faites-vous ici?"

Les rebelle n'étaient pas habituer à voir entrer n'importe qui dans leur forteresse et, n'appréciaient guère qu'un inconnu ai profité de la relève de la garde pour entrer.

Etan fus fort surpris par l'arrivée soudaine de soldats, ne comprenant il avait dégainait son épée, plusieurs hommes l'encercler et l'un d'eux qui avait dû voir de nombreux conflits à en juger par les nombreuses cicatrices qu'il abhorrait. Hector était fixé par un aigle qui vu la taille aurait bien pu finir dans son ventre si il n'y avait pas eu autant de personne. Etan tenta une approche amicale.

Bien le bonjour soldats ! Vous me voyez gêner de vous déranger dans votre château, je passais par là et voyant personne cru à une citadelle abandonnée. Mais puisque vous êtes là...

Etan eut une hésitation, personne n'avait relâché son attention ni même cesser de le regarder comme un ennemi. Son approche ne marcha pas et épuiser de toute cette "attention" portait sur lui fini par craquer.

Bon aller passez votre chemin ! J'en ai plus qu'assez je pars d'Arnestil car je ne suis pas reconnu pour mes actes envers la reine et maintenant on me fait les yeux d'ours enragé parce que je suis entré dans votre château ! Si vous voulez vous battre faite une queue et chacun passera l'arme à gauche tranquillement sinon vous me laisser passer et tout ira bien.

Eh oui quand un chevalier possédé craque ce n'est souvent pas la meilleur chose mais cela avait eu le mérite de faire douter plus d'un même si certains ne manquèrent pas de garder à l'esprit le mot "reine" formulé par Etan Hans.

Etan n'avait pas répondu à la question de l'homme. En d'autres circonstances, ce dernier l'aurait posé de nouveau mais, le fait qu'Etan parle de la reine changea l'ordre de ses priorités.

L'homme serra les dents puis, de sa voix forte continua:

"Vous servez la reine?"

Il dit cela d'un ton neutre, ne voulant pas orienter la réponse de l'inconnu. Dans l'attente de cette réponse, il n'ajouta rien.

Etan regarda l'homme comme l'on juge un rival, la question avait deux réponses possible seul une lui permettrai de rester en vie. Il sourit et lui répondit sur le ton de l'amusement.

La servir ? non, les actions que j'ai fait aller vers un autre sens mais cela ne la fit pas chnger d'avis à mon propos. Je suis sûr que si je vous apprend que j'ai par deux fois séjourner dans les cellules du château cela vous fera changer de point de vue envers moi.

La conversation ne l'amusait malgré son air calme, son anxiété était tout de même présente qui sait ce que les rebels feraient de lui et nul nes ait comment ils étaient dirigés... ni par qui. Il voulait enfinir au plus vite et se reposer mais le destin ne le voyait par comme cela.