Cour intérieure de la forteresse

Le garde regarda Etan dans les yeux, tentant de déméler verité et fausseté dans ses dires.
Tendant son vif en dirrection de l'homme qui se tenait face à lui, il sentit de l'amertume en lui.
Cela colait avec ces dires et éloignait l'hipothèse qu'il puisse être un espion de la reine. Elle l'avait déçu. Comme tant d'autres...

D'un ton plus conciliant, l'homme reprit avec un léger sourire ce qui lui donna un air étrange au milieu des cicatrices qui marquaient son visage.

"Vous ne serez pas le premier et surement pas le dernier qu'elle aura déçu..."

Enfin, il termina: "Vous comprendrez cependant je l'espère qu'entre ses murs, votre armes vous soit temporairement retirées. Question de prudence. Nous ne savons rien de vous..."

Et il tendit la main pour recevoir l'arme d'Etan

Etan fut heureux de voir que l'issue semblait favorable du moins pour le moment. Mais lorsque l'homme lui demanda son arme cela le froissa quelque peux.

Je vou serez gré de me laisser mes armes, j'éspére que vous compendrez mais question de prudence.

Son humour plutôt noir n'était sans doute pas le bon outil pour s'accomoder avec ces gens mais il ne voulit pas que son arme toute neuve ne soit abîmer par de pauvre soldat et qui siat peut êtr ela lui déroberai.

Voyez vous elle est en parfait état car neuve lle n'a pas encore eu le temps de tué, et je ne souhait epas qu'elle soit hum disons égaré ou abîmer par un de vos hommes. Mais soyez sans crainte je ne tue plus ceux qui m'offre le gîte, pour le couvert je vous pairais ce qu'il faut.

Etan attendit donc une réaction la main sur la garde de son épée avec une pose plutôt décontracté, l'air inofensif.

Le garde se tendit à la réponse d'Etan. Il s'y attendait un peu mais, la règle était la règle. Pas d'armes pour ceux dont on ne pouvait être sûr...

"Je comprends votre désarroi monsieur mais, cela est impossible si vous souhaitez vous déplacez librement entre ces murs...
Sachez que nous ne nous attaquons pas aux hommes désarmés contrairement à certains.
Je vous donne ma parole d'honneur que votre arme vous sera rendue dès que nous pourrons être sûrs de vous et à chaque fois que vous souhaiterait quitter l'enceinte de ce bâtiment.
Si vous le souhaitez, je peux même m'en occuper personnellement."

Il se tut un instant puis termina:
"Je puis vous assurez que cela sera de plus bien plus confortable pour vous. Tout le monde se connait ici et un "étranger" armé n'attirera que méfiance. C'est la règle de ses lieux, elle vise à protéger ceux que nous abritons. Il y a ici des familles qui ont été décimées par les artiseurs, pas seulement des guerriers"

Etan avait toujours su se monter compatissant et sentimental, et se plia donc à la régle sans condition il dégaina son arme et la tendit à l'homme qui se tenait en face de lui.

Je tient à ce que vous vous en chargiez personellement, j'ai plus en confiance en ceux qui me parlent plutôt qu'à ceux qui me menacent d'une épée, dit-il en regardant les quatres autres personnes, sinon où puis je me reposer mon voyage et mon récent combat m'ont épuisé et j'aurais de repos.. dans un silence complet.

Etan sentit ses forces le quitter tout d'un coup il chancela et chuta sur le sol dans un bruit de métal en tentant de s'aggriper à l'air. Du sang s'écoulant de ses yeux et de sa bouche il restait inconscient sur les ol en marmonant sans le saovir des paroles incompréhnsibles...

Le garde eut un rie franc. Toute tension s'était dissipée. Il prit l'arme puis dit:

"Je veillerai à ce qu'il ne lui arrive rien... Dans le cas de ceux qui vous menacent de leur arme, eux aussi ne font que respecter la règle. La prudence avant tout, que notre forteresse ne se transforme pas en gruyère comme celle de la ville."

Les autres avaient eux aussi perdu de la raideur et, certains, voyant le danger écarté s'empressèrent de regagner leur poste.
Leur chef termina:
"Je me présente: Erwan, chevalier des rebelles"

Puis, le garde remarqua qu'Etan chutait. Il tenta de le rattraper mais n'y parvint pas. Alors que le premier était inconscient au sol, le second fit signe à ceux qui n'avaient pas encore rejoint leur poste de le faire puis, prenant avec lui deux personnes d'allure robuste, il fit amener Etan dans un lieu plus tranquille.

Chambres

(je te laisse créer le poste etan )

Chambres



Etan après sa discussion avec la charmante colporteuse dénommé Leen, parti en quête d'Erwan afin de récupérer son arme. Hector qui suivait son maître de prés scrutait les recoins pierreux de la cour comme à la recherche de cachettes éventuelles. Finalement Etan aperçu Erwan sortant tout juste du réfectoire comme lui avait indiqué Leen, Etan pressé de partir engagea une conversation des plus rapides.

Je souhaiterai récupérer mon épée. Dit Etan sèchement.


Erwan surpris de cette interpellation et intrigué du départ précipité du jeune homme. Mais Erwan n'avait plus en sa possession l'épée.

Votre épée, eh bien je l'ai déposé à la salle d'entraînement, mais ne vous inquiétez surtout pas elle est entre de bonne main. Mais pourquoi ce départ si prompt, êtes vous sûr de vous sentir mieux ?

Salle d'entrainement ? J'y vais de ce pas, quand à la raison de mon départ vous n'avez pas à les savoir tant que cela ne vous met en rien danger.

Je ne voulais pas vous froissez fiston et ...

Fit !

La discussion s'arrêta là, et Etan partit d'un air furieux vers la salle d'entraînement alors qu'Erwan le regardant partir fit signe à deux de ses homes de suivre le chevalier pour en découvrir un peu plus.


Salle d'entrainement