Entrée de la forêt

Eh bien...oui, je suis assez expérimenté en tant que voleur...et puis...laissez...je vous laisse mes pièces, j'ai des soucis bien plus important que d'argent...
Bereciak leva la tête. Il aurait aimé voir un éclair gris trancher le ciel comme à son habitude, mais ce dernier était vide.
Rapia devait encore être fâchée contre lui, le lien de son esprit vers le sien était comme coupé, elle refusait d'établir le lien.
Bereciak avait pourtant besoin de parler avec elle, elle qui avait toujours été là pour le protéger et le soutenir. Il soupira silencieusement en espérant qu'elle lui reviendrait bientôt.

Lana était heureuse d'avoir pu garder l'argent, elle ne montra pas sa joie...
-Des soucis? Parlez-m'en donc.... Si je peux vous aider en quoi que ce soit, ce sera avec plaisir^^dit-elle avec une douce voix
-Moi mon seul soucis c'est l'argent! dit-elle sur un ton ironique

Eh bien, voyez vous je...
Bereciak se figea. Il venait de voir. Il regardait à présent Lana avec une expression d'horreur sur le visage, comme s'il voyait un énorme monstre hideux à sa place.

Il recula de quelques pas, puis fit un énorme bond vers la jeune fille, le couteau pointé vers le coeur de celle-ci.

Lana sauta en arrière pour ne pas etre touchée puis s'eloigna impeux,elle regarda le jeune homme bizzarement et pensait:
Il est fou ce garçon!
Elle eu un léger sourir,contente d'avoir esquivé le coup...
Elle l'interoga quand meme:
Peut on savoir pourquoi m'avez vous pointé ce couteau?

Mais ce que la jeune fille de vit pas c'est que Bereciak ne ralentit pas sa chute en la voyant s'écarter. Il retomba de son saut monumental sur le dos velu de la chose et y planta son couteau à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'un sang verdâtre gicle entre les poils hérissés et inconfortables de la chose qui se laissa tomber en avant dans un cri perçant.
P...pour ça ! répondit Bereciak haletant.
Car l'énorme forme velue à six pattes n'était autre qu'une Acromantule, une araignée géante qui avait jaillit de derrière les fourrés, prête à dévorer la jeune fille qui regardait dans la direction opposée.
Bereciak avait réussit à neutraliser ce monstre qui aurait peut-être coûté la vie à eux deux.
Il se laissa tomber, adossé contre un arbre. Il était recouvert de sang vert.

Lana qui vit la scene elle n'aimait pas sang mais fut soulagée que ni le jeune homme ni l'areignée ne l'ai tuée et elle s'aprocha du jeune homme...
Elle aprocha son visage de celui du jeune homme et lui fit un bisou sur la joue pour le remercier puis lui adressa ces paroles douce et gentille:
Merci!J'aurai pu mourir et vous m'avez sauvée!Je vous relerci du fond du coeur!
Elle fixa l'horrible chose qui avait essayé de la tuer,un areignée des plus laide!

En recevant le baiser de la jeune fille, Bereciak ressentit comme une familiarité, comme s'il la connaissait depuis longtemps.

(je dois partir là, g + le tps)

Lunaris s'approcha lentement des deux personnes, vit un cavalier habillé en blanc à l'horizon, nota ses pensées les plus fortes et son physique. Il regarda de nouveau les deux jeunes personnes, et se transforma en vieillard. Il parla d'une fois faible et implorante très nettement plus convaincante qu'elle ne l'aurait été normalement, dévoilant une bouche dont plusieurs dents manquaient à l'appel.

S'il vous plait... jeunes gens... amenez-moi dans... la ville d'Arnestil... je dois vraiment y aller... me faire soigner...

Puis il s'écroula, une flaque de sang grandissant autour de lui, mais respirant malgré lui.

Lana regardait le vieillard s'aprocher...Le fixa intriguée...Puis vit le sang qui coulait de cet homme...Cela fit sursauté Lana quand elle s'en rendit conte...Elle regarda Béréciak horrifiée...
Je vais l'emmener à la ville pour le faire soigner!Venez vous avec moi?
Lana n'avait aucun interet de l'emmener à la ville mais elle ne voulait pas avoir un mort sur la conscience decida de l'emmener en ville et puis..il n'avait pas l'air méchant ce vieu monsieur...
Elle lui demanda quand meme:
Ou etes vous blaissé?

Le vieillard suffoqua puis ne bougea plus, mis à part ses poumons, qui oscillaient toujours. Il s'était évanoui. Bereciak réfléchissait mais Lunaris fit venir dans ses pensées l'image de l'acromantule. Il pouvait y en avoir plusieurs. Pendant une seconde, le jeune elfe vit l'ombre d'une de ces créatures sur sa gauche, mais ne vit rien.

Lana regardait l'homme avec de grands yeux...Elle stressait ennormement...Elle tremblait...Elle tourna la tete pour voir si il y avait d'autres personnes pour les aider à le transporter à la ville mais non...Juste bereciak à coté d'elle...
Elle regarda bereciak puis le suplia:
Aidez-moi à l'emmener en ville!s'il vois plait!!

Bereciak perdu dans ses pensées n'avait rien remarqué et eut un haut-le coeur en voyant l'homme effondré à terre, épuisé et blessé jusqu'au sang.
Il se précipita sur lui. Son sang coulait abondamment et il ne vit d'autre solution que de lui appliquer un léger cicatrisant à base de plantes dont il avait la composition. Ensuite, il siffla brièvement. Un éclair gris, un battement d'aile, et Rapia vint se poser sur son épaule. Il lui murmura quelques mots. Elle acquiesça et s'envola à tire-d'ailes.
Une dizaine de minutes plus tard, elle revint avec une fiole de verre remplie d'un liquide rose pâle. Bereciak s'en empara et versa le produit sur la plaie qui s'était réouverte malgré l'agissement temporaire du cicatrisant.
Le sang se mélangea avec le liquide qui prit une couleur plus claire et donna l'impression d'absorber le sang coulant abondamment. Enfin, le liquide devint clair, clair, clair jusqu'à en devenir presque invisible et fut absorbé par les pores de la peau du blessé. La plaie avait complètement cicatrisé. Elle semblait n'avoir jamais existé...

Château d'Arnestil Exclamation

Sorën, qui avait vu la scène s'était rapproché lentement et tranquillement, il avait dès le début reperé sa cible. Celle-ci, d'ailleurs, s'occupait d'un vieillard pas comme les autres. L'assassin le sentait, cette personne là n'était pas humaine. Enfin, il était près d'eux. Il enjamba le cadavre d'une araignée gigantesque, puis s'adressa à Bereciak.

"Bonjour, je pourrais vous aider...?"

Le vieillard, qui était guéri, vit approcher le jeune homme habillé en blanc et encapuchonné. Lunaris décrypta ses pensées et vit qu'il était reperé. Faisant disparaître le nouveau venu aux yeux des deux autres. Il s'approcha lentement, titubant, puis sortit son épée, invisible aux yeux de tous. Il ouvrit la peau du bras droit de l'assassin avec son épée d'un geste rapide et sec, et fouilla, (semblant) tremblotant, dans sa poche, puis en sortit une petite graine noire nervurée de rouge qu'il enfonça dans la chair du bras de l'assassin. Refermant la plaie en utilisant l'Art, il se transforma en imposant ange aux ailes noires, équipé de son armure dorée. Il prit la parole. Ce n'était plus la voix hésitante du vieux qui s'échappait de ses lèvres mais une voix forte, incontestablement autoritaire et résonnante.

"Toi, jeune rusé. Tu diras à ta Reine Itzalina que je suis là, pour qu'elle paye les fautes de son père. Quand à ton bras, tu verras bien, je t'ai enfonçé un germe magique."

L'assassin s'écroula, fievreux, pris de soubresauts. Son bras éclatant d'une lumière d'un bleu très clair, presque glacial. Puis le vieillard, se dirigea vers les jeunes gens, qui n'avaient rien vu de la scène et qui ne voyaient pas le corps ni n'entendaient les bruits qu'il produisait..

Lana commencait à s'ennuyer...Il y avait trop peu d'action et elle avait envis de s'amuser impeux..elle decida de partir..
-Bon je suis désolée mais je vais devoir vous laissez...à une autre fois peut etre! dit-elle en souriant.

[HRP : Béré, bah je t'attends plus.]

Sorën fut réveillé par un accès de douleur. Sa tête lui faisait affreusement mal. Il se leva tant bien que mal et la secoua, puis la souffrance commença à diminuer. Il se sentait bizarre, comme si il n'était plus le même. Il trouva soudain sa tenue blanche bien laide et décida d'en changer quand il aura retrouvé son cheval. Lorsqu'il regarda autour de lui, il vit que sa vision était meilleure. Il entendait également mieux et se sentait physiquement très en forme et jeune. Mais il voyait également des choses qu'il n'avait jamais vu auparavent. Il lui semblait voir des petites couleurs à l'intérieur de certains être vivants. Que voyait-il ? La réponse lui apparut nettement. Il voyait la personnalité. Comment le savait-il ? Il n'avait pas la réponse. Etait-il un mage ? Et ces animaux semblaient l'apprécier, plus que des animaux normaux. Il haussa les épaules et s'en alla vers son cheval. Il se changea avec ce qu'il trouva, c'est à dire une chemise d'un rouge pourpre et d'une cape et un gilet noirs. Il esquissa un sourire, puis partit vers Arnestil, la ville.

L'Auberge du "Magicien d'Ose"

[HRP : désolé Sorën, j'ai eu un grave probleme depuis vendredi et n'ai pas pu venir sur le forum]

Bereciak regarda s'éloigner le jeune homme qui s'était approché. La jeune fille, à son plus grand regret était repartie. Il n'avait pu ni la retenir, ni la rappeler : il ne connaissais pas son nom.
Il remarqua bien que le jeune homme partait vers la ville et il se hâta de s'en détourner.

Vifier(ère) Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 27/01/2008

Kaïtaro après etre sortis de sa grotte et une longue marche entre les roches de la montagne arriva en ce lieu...Un foret,elle avait l'air plutot dévastée et d'autent plus sinistre avec le vent glacial de l'hiver qui rodait...Kaï était décu de ce premier paysage,il s'attendait à quelque chose de mieu...Un peu comme sur les livres,une foret enchantée avec des animaux qui s'amusent..Et non la il avait sous les yeux une foret de cauchemard avec des tronc cassés et brulés et aucune feuille...Pas de buissons touffus ni d'herbe...Juste les restes d'un incendit sans doute et un peu de neige...Pas très étonnant en hiver...Kaï se demandait qui aurait pu faire une chose pareille,sans dout un etre méchant et aveugle..Malgré ce tristre spectacle,kaï pensait qu'il devait etre très beau avent ce triste incident..Il ne s'atarda pas trop dans le lieu car il voulait voir des beaux paysages et il commenca à marcher pour essayer de d'en découvir d'autres

Le marché

Bereciak resta sur place. Il entendit un bruit dans les fourrés. Sûrement quelqu'un qui passait son chemin, il n'en avait que faire...
Il resta là, désemparé et fourbu...

L'auberge du "Magicien d'Ose" Exclamation

Sorën rentra dans la forêt, chevauchant majestueusement son cheval noir. Il était sur la trace du dénommé Bereciak V'andyr, recherché pour de multiples crimes. Ses cheveux étaient d'un bleu foncé peu commun, ses yeux félins, c'est-à-dire coupés en deux en leur centre. Des peintures elfiques rouges ornent le haut de ses joues et se perdent dans ses cheveux. L'assassin avait une image précise du recherché. Il l'avait déja vu, mais s'était fait avoir par un ange et n'avait pas pu l'attraper. Cette fois il ne le raterait pas. Ainsi pensait le jeune homme. Très vite, il repéra sa cible. Tranquillement, il s'en approcha. Il se sentait très différent de ce qu'il était dans l'auberge, avec tout ses interlocuteurs. Il se sentait quelqu'un d'autre. Il voulait juste communiquer à présent, alors qu'avant il cherchait toujours qui était vraiment la personne avec qui il conversait. Arrivé à la hauteur de l'elfe des bois, il parla.

Bereciak, ça vous dirait d'aller voir la reine ?

Sans menaces, sans sous-entendus. Juste une question, simple proposition.

Bereciak détourna son regard vers son interlocuteur et fut surpris de voir cet homme qu'il avait vu s'en aller. Il l'avait entendu approcher de loin mais avait gardé un regard fixe et détourné.
Il entendit alors l'homme lui dire :

Bereciak, ça vous dirait d'aller vois la reine ?

Bereciak sursauta. Alors lui aussi ? C'était un espion de la reine qui cherchait à l'arrêter et à le livrer à Arifarbjoeah ? Après tout ce qu'il avait fait pour elle ? Mais il s'en était douté. Les souverains sont toujours faux-jetons.
Malgré la panique qui envahissait l'elfe, il n'en laissa rien paraître. Il s'approcha de l'homme qui était toujours à cheval, si près qu'il en frôla le flanc de la bête. Il s'inclina très majestueusement devant l'homme...
puis s'élança, s'appuyant sur les étriers de l'homme et lui donna un coup de poing en pleine figure. L'homme fut sonné, mais pour peu de temps, c'est pourquoi Bereciak s'enfuit dans la forêt, disparaîssant dans les arbres.

[HRP: j'espère que ça te conviens comme ça, tu n'es pas inconscient, juste un peu sonné...et aussi, tu n'as pas mis que tu étais descendu de ton cheval, j'en déduis que tu étais toujours dessus. Simple vérification.]

Sorën se releva très vite, sauta sur son cheval et se mit à la poursuite de l'elfe. Dommage que les gens ne se rendent pas aussi facilement... Le fugitif essayait tant bien que mal de semer l'assassin, mais il n'y arrivait pas vraiment. Il était intelligent, mais celà ne suffisait pas. Très vite, le cheval fut au niveau de l'elfe. L'humain se leva dessus, prit de la force dans ses pieds et sauta. Il arriva sur l'elfe, posant son pied sur sa tête et mit tout son poids sur sa jambe. L'attaque fut sans pitié. Bereciak tomba par terre, sa tête, compressée contre la terre, touchant la première le sol. Pour vérifier qu'il était bien évanouit, Sorën l'assomma d'un coup de poing dans la jugulaire avec toute sa force.

Et voilà... Personne ne se rend gentiment, alors je suis obligé d'utiliser la manière forte !

La grande salle (Château d'Arnestil)

[HRP: je ne l'avais pas prévu ainsi, mais bon, ça peut toujours être marrant ^^]

Bereciak avait été rattrapé par l'homme. Celui-ci le cloua au sol de telle manière qu'il ne put faire autre mouvement. Cette chute s'accompagna d'un coup qui le fit sombrer dans le néant...

[HRP2: tu m'emmènes directement chez itza ou tu t'arrêtes quelque part avant ?]

Grande place

Etan arrivait enfin à l'entrée de la forêt, il ne savait absolument pas où il allait, l'armure qu'il portait extraordinairement légére lui permetait de parcourir plus d ehcemin qu'avec son ancienne. Le soleil levant ne perçait pas encore totalement et malgré cette pénombre froide et brumeuse, dût au lac non loin, sentait une chaleur brûlant. Mais Etan n'en fit rien et n'ayant pas le temps de se demander la cause de cette subite chaleur il s'enfonça dans la forêt encore ensomeillée. On entendait à peine des chants d'oiseaux matinaux, une odeur d'humus montait aux naseaux, le temps semblait radieux. Etan s'enfonça encore dans la forêt.

Le périple semblait monotone et Hector trianait de la patte, lasser de ce voyage, Ne peux pas faire une pause Etan ?

Etan se retourna, Bon d'accord mais pas plus de dix minutes on a du chemin à faire.

Ah ? Parce que l'on va où ?

Eh bien je ne sais pas trop... mais occupe toi de te reposer moi je vais explorer les environs.

Bien bien, le renard ne demandant pas son reste se trouva un petit coin caché pour se reposer.

Quand à Etan il était partis cherché quelques traces à suivre où autre indices pouvant le mener quelque part. Il remarqua au bout d'une petit minute des traces de pas, il étaient léger, à peine visible. Sans doute était là des empreinte d'un être au marché feutré. Il suivit les traces quand un sifflement se fit entendre sur sa gauche il se baissa et roula vers lavant dégianant son épée dans le même instant. Puis regardant aux alentours il put voir une fléche à l'empennage noir fiché dans l'arbre à côté duquel il se tenait il y a un instant. Il regarda dans la direction opposé de la fléche et put voir dans un arbre deux yeux jaune à demi fermé qui luisait dans l'ombre des feuilles.

Etan sentait la pression et l'adrénaline l'envahir mais se contint, il ne fallait pas fonçer droit ur un énemis qu'on ne connaissais pas. Il resta sur place fixant la paire d'yeux qui luisaient tandis que ces oreil écoutaient attentivement les bruits alentours pour éviter d'être surpris. Finalement la perosnne nichant dans l'abre s'avança dans une raie de lumiére, dévoilant ainsi ses origines elfe noire. Sa beauté troublante et son charme enjoleur empecher Etan de l'attaquer. Ce dernier ne put que la regarder la main tenant fermemant la garde de son épée, elle le regardait avec un sourir.

Eh bien humain, on se balade ? Tu veux mourir jeune apparement. Cela tombe bien je n'ai rien tué depuis deux jours et l'envie me presse.

Etan sentait qu'il fallait agir mais ses principes voulait qu'il ne fassent jamais de mal à la gente féminine quelque soit la race et il ne pouvait pas non plus fuir devant elle. Il tenta une action bien que maladroite mais ayant l'action de déstabilisé l'elfe devant lui.

Eh bien non en fait je suis dans le même état que vous sauf que mon denrier meurtre est plus récent, il faut croire que ma soif d esang est plus forte que la vôtre. Aussi vous dis-je de passer votre chemin à moins que vos aëux ne veulent vous voir les rejoindres.

L'elfe fut en effet pris de court par l'assurance quil éprouvait et ne réprima nullement son air contrarié.

Vu votre air vous votre jeunesse elfe doit être équivalent à ma jeunesse d'homme, dit Etan avec un sourire en coin.

Vous m'avez ridiculisé ! et mis à l'eau mon plan, je me vengerai ! je vous retoruverai sale humain !

Sur ce l'elfe repartit dans l'ombre des feuillage, Etan stupéfait de cette réaction attendit un moment et n'entendant rien et ne voyant rien retourna cherché Hector pour se diriger vers un grand bâtiment qu'il aperçut au loin. Hector lui assura que ce bâtiment n'était rien d'autre que la forteresse des vifiers rebelle. Apparement les conversation de chambre qu'Hector aait eentendu au château lui avait finalement servis.

Cour interieur de la forteresse