Les écuries

Les jardins

A cette heure, les écuries étaient vide. La reine alla donc chercher elle-même son magnifique destrier blanc qu'elle sella a une vitesse impresionnante. Elle lui passa son filet puis, monta lestement sur son dos alors que mistral son compagnon sautait a sa place a l'arrière de la selle.

Elle avait décidé d'agir pour une fois... Elle prendrait ses fuillards a revers. Du moins, elle essaerait

Entrée principale

<<<< Grande Place

Enfin arrivé aux écuries du Château, le Comte mit pied à terre et tendit les bras afin de faire descendre la Reine. Il la soutenait descemment par la taille car elle était de plus en plus affaiblie.

Il vit un Escuyer s'approchait en toute hâte.

Occupe toi bien de ma monture jeune Escuyer. J'ai suffisament été contrarié aujourd'hui et ne supporterais point de l'êstre de nouveau.

L'escuyer prit ses fonctions et le Seigneur d'Arkiliad désigna le chef des gardes.

Capitaine, renforcez la sécurité au Château et ses alentours. Des Archers sur les remparts, des gardes postés par deux ou quatre minimum mais de grâce ! de grâce, trouvez-moi des soldats et non des incapables !

- Bien Messire Comte mais la Reine ?

Je m'en occupe, la Reyne a besoin de repos et ne doit êstre en aucun cas déranger. Si j'ai son approbationn je m'occuperais volontier des affaires du Royaume en son nom jusqu'à son prompt rétablissement. Et ne vous en faistes point pour cela Capitaine, avec ma médecine et celle de mes confrères, la Reyne Itzalina retrouvera très vite sa force.

Il salua d'un signe de la tête le Capitaine puis raccompagna la Reine vers ses appartements.

Appartements de la reine

Le cortège arriva depuis la Grande Place aux écuries du Château.

Néron descendit de cheval puis offrit sa main afin d'aider Arya à descendre à son tour.

Il vit les gardes qui portaient Etan Hans encore inconscient.

Emmenez-le dans une chambre bien gardée. Dites à un valet de lui nettoyer son visage couvert de sang avec un linge et de l'eau tiède. Je m'occuperais de le soigner plus tard.

Il ne vit pas le cortège escortant Yuk.

Mais où est Yuk ??

- Ils étaient derrière nous Mon Seigneur, ils ne vont pas tarder ! répondit un soldat.

Quelques minutes plus tard et Arya descendue du cheval, un valet arriva de la cellule d'Etan Hans.

- Mon Seigneur ! vous êstes demandé par le Sieur Hans..

Ah ? il s'est déja réveillé ? il s'agit d'un costaud !

Néron regarda Arya et lui prit les mains

Belle Dame merci d'êstre venue m'annonçer la terrible nouvelle. Vostre voix si mélodieuse m'a aidé à encaisser le choc... j'espère vite vous retrouver et partager un thé en vostre compagnie très rapidement.

Il la salua grâcieusement puis se dirigea vers la cellule d'Etan Hans

Cellule d'Etan

Arya, qui était descendue de cheval, ne comprenait pas tout ce qui se pasait : Yuk - qui semblait être en fait Keyu - avait été capturé, et Etan Hans, comme le nommait le comte était l'homme qu'elle avait vu inconscient sur la place. Elle ne savait pas qui c'était, et ignorait tout de ce qui se passait.
L'elfe acquiesça aux paroles que Néron prononça pour elle.
Alors que le comte partait dans le château, Arya le rattrappa, et lui demanda :

"Comte, j'aimerai vous demander une faveur : lorsque vous partirez pour Ewëndan, je voudrai venir avec vous s'il vous plaît..."

L'elfe voulait elle aussi se rendre auprès de la reine qu'elle aimait comme elle aurait aimé sa propre mère si celle-ci ne s'était pas bornée à la rejeter. Le comte se retourna un instant, et son regard lui fit comprendre qu'il n'avait pas le temps de répondre, il ferait plus tard. L'elfe ne s'en formalisa pas, mais espérait avoir vraiment une réponse positive. Donnant la monture à un palefrenier qui s'était approché, l'elfe retourna dans ses appartements.

Avant de partir, le Comte fut retenu par Arya. Il lui sourit et lui répondit rapidement :

Nous en reparlerons tranquillement tous les deux belle Dame... j'ai hâte de vous revoir.

Il se pressa de se diriger vers la cellule d'Etan

Le Comte arriva aux écuries. Sa monture était prête et les 20 cavaliers attendaient les ordres. Il grimpa sur son destrier et haussa la voix.

Messieurs ! Nous partons à la recherche de la Reyne qui a été enlevée par deux dangereux bandits : Yuk qui est blessé sérieusement par nos flèches et Etan Hans avec un visage déformé et les yeux pleurant du sang. Ma patience et ma bonté ont été trompées. Ainsi donc il n'y aura aucun quartier ! Je les veux morts ou vifs. Vifs de préférence afin que je puisse les exécuter moi-même....

Freidrich arriva en retard, il venait d'obtenir des informations de la part d'un de ses éclaireurs.

Comte ! Yuk est dans la forêt. Il est bléssé assez pour que son sang laisse une belle trainée.

Il monta sur son destrier.

Que choississez vous ? Disperssez les troupes ? Ou nous concentrer sur les traces de Yuk ?

Friedrich attendit la réponse du Comte, les troupes s'impatientaient ainsi que lui.

Une informations bien précieuse bon travail Sieur Friedrich. Nous restons groupés car la dispersion est un facteur de faiblesse. Yuk est le principal responsable et nous mènera à Etan Hans...

Il fit signe aux gardes de l'entrée.

Ouvrez les Portes !

Friedrich acquieça de la tête.

Bien messire, à propos veuillez excuser mon intrusion de tantpot mais vous en conviendrez, vous et dame Arya, que l'affaire qui m'amenait était des plus urgentes.

Il regarda en direction de la porte qui avait fini d'être abaissée.

Bien , nous pouvons y aller Mesire d'Arkiliad.

Il attendit le signal du Comte.

La grande place

(néron, te fâche pas, je suis pas dans l'enceinte du château que dans les écuries, itza ma conseillé de venir ici)
Bereciak arriva sur son cheval blanc à bout de souffle. Il demanda la permission de voir le comte.
Dès qu'il le vit, il se retint de couvrir le comte d'une avalanche de questions, souffla un bon coup et lui demanda des nouvelles des prisonniers. Il grimaça quand il entendit que la reine avait été enlevée.
Il s'inclina et dit :

Messire comte d'arkiliad, donnez moi la permission de mener mon enquête sur ces deux traîtres et je vous promets que je vous aiderai...

Arya était grimpée également sur sa monture qui lui avait été attribuée. Son visage était impassible, mais son regard montrait qu'elle était résolue à tout faire pour retrouver la reine Itzalina.
Elle écoutait attentivement le Comte discuter avec le garde qui les avait interrompu sur la tactique à employer pour les recherches. Lorsque le garde parla de son irruption dans sa chambre, Arya lui répondit fermement :

"Vous avez bien fait de nous prévenir..."

Ses pieds bien calés dans les étriers, elle était prête à talonner son cheval lorsque le Comte d'Arkiliad en donnerait l'ordre.

Le Comte leva la main afin de donner l'ordre d'avancer lorsqu'il vit arriver Bereciak lui proposait son aide. Néron resta silencieux tout en le fixant l'air méfiant.

J'ai vu vostre comportement à la Grande Place Sieur Bereciak.. je ne sais dans quel camp vous êstes. Puis-je seulement vous faire confiance ? difficile à en juger je dois dire..

Il se mit à réfléchir mais il n'avait que peu de temps il le savait et devait prendre rapidement une décision.

"Il pourrait êstre d'une certaine utilité avec son animal de Vif..." se disait-il

Bon et bien soit. Vous serez détaché à l'avant en éclaireur avec deux autres cavaliers.

Le Comte détourna son regard sur Arya un instant puis lança l'ordre d'avancer.

En avant ! direction la forêt près des terres rebelles !

Arya talonna alors son cheval, en même temps que le régiment, et elle vint se placer derrière le Comte.
Elle se demandait dans quel état ils retrouveraient Yuk, et elle espérait de tout cœur que le chef rebelle n'ai pas fait une seule égratignure à la reine Itzalina : si c'était le cas, il le payerait très cher.

Bereciak les suivit sur son camarguais.

La forêt

Grand place

Itza arrêta sa monture juste devant la porte de l'écurie et mit pied à terre.
Elle lança un regard énigmatique au château se disant sans savoir si elle en était heureuse ou pas:

"Et bien, nous voilà de retour à la maison Mistral" fit elle à son compagnon de vif en lui donnant une tape amicale sur le flanc.

Celui-ci lui répondit avec un grognement ironique :
"Fantastique, nous allons revenir à la routine habituelle : Affaires sans intérêts, meurtres, enlèvements, meurtres à nouveau, et aussi, un grand jardin clôturé…"

Elle lui répondit sur le même ton : "Tu es libre, rien ne t’empêche d’aller faire un tour en dehors du château si l’envie t’en prend…"

"C’est valable pour toit aussi Itza… Tout ce qui l’est pour moi l’est pour toi également"

Elle lui répondit alors avec un soupir:
"Tu sais que c’est différent pour moi…"

Mais, cette fois, il ne répondit que par un grognement dubitatif.
Cette discussions mentale terminée, Itza s'intéressa à nouveau à sa compagnie qui terminait de descendre de cheval.

Etan descendit de son cheval, ota ses gant de cuir d'une maiére plus que noble tout en fixant la reine.

Je n'aurais jamais imaginé entrer ici en si bonne compagnie, une douce femme à l'air jeune et une troupe de cavaliers. Voila bien trop d'honneur que je ne peux en supporter. Aussi ferais-je un effort pour rester.

Il avait un ton d'amusement et d'humour, il s'imaginait à peu prés comme chez lui, et se voyait bien déjà noble ayant ses terres avec lui même une écurie où il ererait souvent accompagné d'Hector pour cavaler. Mais sans doute la vision qui lui apportait le plus de joie était sans aucun doute la vision de lui, garde personnel de la reine et voila untitre dont il ne s elasserait point. Mais bien sur une chose et une seule l'en séparait... sa perosnnalité nouvelle et béliqueuse. Et il se promit de l'exterminer de l'interieur comme de l'exterieur. Il revint à lui aprés ses courtes pensées.

Voulez vous que je vous raccompagne dans vos appartements Madame ? Vous devez être un peu épuisé par notre promenade.

Etan descendit alors de cheval et la rejoignit lui proposant de la raccompagner à ses appartements.

Esquivant la question, elle lui proposa: "Ne voudriez-vous pas plutôt que je vous fasse installer? Je me sens plutôt bien contrairement à la semaine passée. On m'a dit que votre maître était actuellement logé dans une petite dépendance du jardin. Je pensais vous installer non loin... Vous pourrez ainsi plus facilement suivre son enseignement"

A vrai dire, ce n'était pas la seule raison à cette proposition... La reine voulait aussi être certaine que la mauvaise personnalité d'Etan ne risque pas de refaire surface avant de lui donner un accès libre aux zones les plus privées du château...
Ou une telle autorisation risquait de s'avérer dangereuse...

La présence de son maître, avant il l'a trouvé importante et en avait besoin, mais à présent cela le génait et l'idée qu'à chaque fois l'on veuille le mettre à ses côtés l'enerver peu à peu. Sans doute cette mauvaise personalité avait trouvé un nouveau moyen de manipuler Etan. Il s'avança vers la reine.

J'apprécie votre idée mais j'ai promis de retourner à lui que lorsque ma qûete sera achevé. Je dormirai en vile si cela ne vous déplaît pas, et viendrez ce soir pour ce dîner que je vous ai promis.

Il fit un léger salue avant de commencer à rejoindre sa monture sa monture.

"Bien" fit la reine un peu déçue "Nous nous reverons ce soir dans ce cas messire Hans."

Je sens tout d emême un air peu enjoué... Vous avez le droit de me parler franchement, si vous ne faite que répondre d'un mot comment voulez vous y arriver ? Allons Madame ne vous rappelé vous pas notre discussion prés de cette source dans la plaine ? Je vous conseil d'y resonger. Sur ce dernier avis je part pour la ville.

IL enfourcha son destrier fit signe à Hector, slaua la troupe et laisa un regard à la reine avant de s'en aller vers la taverne "au coin paisible"

"taverne au coin paisible"

Etan parti et Itza chercha du regard Bereciak. Elle ne le vit pas. Probablement avait-il quitté le groupe lorsqu'ils étaient passé sur la grand place.

Se retrouvant ainsi seule avec les gardes, la reine leur fit un petit discour suplémentaire avant d'aller se reposer dans ses appartements:

"Messieurs, prévenez la relève, vous avez chevaucher 2 jours durants, je vous donne quartier libre ce soir.
Avant de vous laisser partir, je voudrait q'une chose soit bien claire: Je pense qu'Etan Hans souhaite vraiment se repentir. Aussi, bien que je vous demande de garder un oeuil sur lui au cas ou, je souhaiterais que vous le traitiez comme n'importe quel invité au chateau.
Sur ce, bonne soirée."

Et elle monta à ses appartements

Appartements de la reine

Bereciak fit une légère révérence hésitante...
il avait encore raté l'occasion de faire part à la reine de ses soucis et d'essayer de faie de manière à ce que les rebelles et les non-rebelles se réunissent.
Ne pouvant rien faire pour la retenir, il décida de partir...
Il avait encore un compte à régler avec quelqu'un...
(excusez moi mais je vais trop avoir le temps de noter l'évolution de mon perso...)

Taverne au coin paisible