Reste d'un campement

Hans arriva à son campement, ses hommes emblaient encore dormir et à voir l'état du camp ont dût trouver un pretexte à la fête. Il marcha jusqu'au milieu de son camp quand il fut accosté par un de ses hommes.

Eh chef, alors le vilage ? on peut ?

Non ! la chance leur à sourit.

Bah c'est pas grave..

PAIX ! on n'y touche pas allons voir d'autres contrées...
Etan semblait ailleurs et cela ne manqua pas d'interessé le bandit.

Quelque chose me dit que vous avez quelques choses derriére la tête vous. Allez chef dites moi un peu ce que vous tramez.
Etan sortit de sa bourse le parchemin où se trouvait le portrait de la reine et déclara au bandit:

Voila ce qui occupe mes pensées !

Le bandit ria un peu mais voyant l'expression sur le visage de son chef se retint.

Maintenant rassemble les hommes vous partez vers le Nors... vers le village de Furth. Vous vous amuserez là bas sans moi. Mais rapelez vous d'une chose...

Oui chef si vous aprenez qu'une femme à été violenté, violé, tué, égorgé et j'en passe vous tuerez un des hommes.

Bien alors bonne chasse, je m'en vais en un autre lieu on se retouve au village.

Bereciak arriva tout essouflé près d'un campement brûlé. Il retrouva quelques vivres dans un sac abandonné : Une pomme et deux pains elfiques et il les prit avec lui...
Puis soudain il s'arrêta. Quelqu'un l'avait suivi...quelqu'un de familier...
Il fit volte-face.

Rapia ! s'écria-t-il.

Elle se posa sur son épaule, mais cette fois, lui parla clairement :

Bereciak, je pense que ce que tu as fait n'est pas très intelligent...

Mais...mais...depuis quand sais-tu parler en langage commun ? s'exclama Bereciak complètement abasourdi, je croyais que tu ne connaissais que le Sindarin et le Waënar ?!!

Bereciak, ne me sous-estime pas ! répliqua Rapia indignée, tu sais très bien qu'à force de fréquenter des gens comme les humains avec toi, je me familiarise avec leur langage...

D'accord, répondit Bereciak, un peu honteux, mais cela n'explique pas que tu parle au lieu de me transmettre mentalement ce que tu veux me dire ! Aucun vif n'a jamais réellement parlé depuis la nuit des temps !!!

La preuve que cette époque est révolue dit simplement Rapia, à présent je serais le premier vif qui parle...

Tu ne comprends donc pas ? s'écria Bereciak, Le lien avec le vif doit rester mental et personne ne doit savoir que tu parles réellement, tu comprends ?

Mais Rapia ne répondit pas.

Rapia ? Rapia ??? répéta-t-il pris d'un mauvais pressentiment.

Soudain la voix mentale de Rapia s'éleva dans son esprit :

Ceci n'était qu'une simple leçon à te donner Bereciak, je ne sais absolument pas parler autrement que par lien mental, ce qui vient de se passer était une Widaëndel...

Etant donné que Rapia avait décidé de lui parlé par langage commun, il lui répondit pareillement.

Quoi ? Une véritable Widaëndel ? Mais c'est impossible...

La preuve que si, d'ailleurs pour ma part je pense que t'enfuir de cette façon n'était pas la meilleure des idées...

Ah oui ?!! Tu penses que je serais resté tranquillement là-bas à attendre qu'on m'arrête et qu'on me livre aux centaures pour que Arifarbjoeah me tue...ou pire...le rituel de la Bête...

Ne parle pas de malheur s'il te plaît ! Nous n'en sommes pas encore là...La reine est sage et bonne, elle t'épargnera sûrement...

Non, je ne crois pas...Cet abominable Arifarbjoeah a très certainement écris des fariboles sur mon compte et la reine va les lire, elle va les croire, elle va me livrer...

Ecoute, je pense que...

NON ! C'est toi qui va m'écouter ! En plus d'avoir ce monstre d'Arifarbjoeah et son peuple sur le dos, je vais en plus avoir le royaume d'Arnestil sur le dos, la reine qui avait confiance en moi, le comte d'Arkiliad qui me considérait comme un ami, Diana....

Non ! je ne peux pas les laisser faire, je vais quitter le pays pour une meilleure destination...J'irais plus loin...à Astharoth ou a Arbaëounska...

On ne voudra pas de toi...

Peu importe, j'irais là où on ne me trouvera plus jamais...

Et il s'élança dans la forêt.

Entrée de la forêt

Village de Buttleford

Une équipée de huit esprits progressait aux travers des vestiges de ce qui restait d’un vieux campement abandonné. Les traces de ce qui avait du être une sacrée petite fête demeuraient ici …et aux vues de tout le bazar qui traînait à terre il y avait eu du monde ! Eldrr Siiarrk accompagné de Loméga, Kéry, Krykou, Kéïssa, Cricri, Sheylonn et l’enfant sans nom, traça sa route toujours en direction d’Arnestil !


"Ruines du village de Furth."