Appartements de Cassandre D'Allambré

Dans ses appartements plus que luxueux, composé d'un lit a baldaquin d'un tapis somptueux, d'une coiffeuse ou l'on pouvait voir plusieur bijoux offert par des prétendant dont Cassandre n'avait rien a faire,de rideau lourd qui obscurcissait la lumière de l'extérieur,Cassandre s'ennuyait ferme.
La cour qui d'habitude l'amuser tant, lui semblé aujourd'hui monotone et sans interet.
Ainsi, elle appella une de ses suivantes pour l'aider a enfiler une de ces robes que la jeune femme appréciait grandement. Lorsque celle ci eut terminé Cassandre le congédia pour aller s'asseoir devant sa coiffeuse, son teint depeche s'affichat dans le miroir et ceci remit un peu de beaume au coeur a la jeune femme, elle avais au moin l'avantage de gardait une tête présentable lorsqu'elle s'ennuyait.
Elle mit son pendentif et la bague de son père qui étaient les deux bijoux qu'elle préférait. Puis elle se leva, lissa les plis de sa robe et appella un deuxieme domestique.
Celui ci vint en courant pour satisfaire sa jeune maitresse.

-Bonjour Melgor, savez où est la reine ? Je doit m'entretenir avec elle.

-Madamoiselle, la souveraine est partie pour la grande place voila deja un bon moment, mais vous n'allez pas sortir tout de meme votre père n'aimerait pas cela.

-Mon père Melgor, n'est pas la que je sache et je suppose que vous ne lui en toucherait pas mots.

-Non bien sur madamoiselle.

Sur ce Cassandre enfila une longue cape a capuchon pour dissimuler son visage, prit un fin couteau on ne sait jamais ce qu'il peut arriver en ville et sortit.

La grande place

La grande place

Cassandre revint assez vite au chateau.
Elle ne pouvait pas aller a la guerre avec les autres sans armes.
Elle fouilla donc ses tiroirs et trouva ce qu'elle cherchait, plusieurs petites dagues de lancer que son frere lui avez offerte en revenant de la guerre, cétait le seul souvenir qu'elle conservait de lui et elle y tenait grandement cepandant elle pensait que le temps était venu de s'en servir.
C'est a ce moment la que Melgor rentra dans la pièce et vit les dagues de Cassandre.

-Que faite vous Madamoiselle ?

-Eh bien Melgor comme vous le voyez je part en guerre.

-Comment ? Et votre père que va t il dire ?

-Mon père voyez vous n'en saura rien, et ne vous inquitez pas je ne compte que soigner les guerrrier je ne tient pas a d'autre mort, les gens n'en ont deja que trop connu. Ces dagues ne sont qu'en cas de besoin.

Elle rajusta son capuchon et laissa Melgor planté la.

La grande place