Indications personnelles:
Nom* : Galvar
Prénom : Marion
Surnom* : Elle n'en a pas
Âge* : 21 ans
Race: Humaine
Magie pratiquée: Elle fut vifière. Malheureusement, son animal de vif (Erna, une grenouille verte) a été tuée.
Alignement: Marion est favorable au roi et à la reine, le stupide affrontement vifiers-artiseurs n'ayant que trop duré à son goût.
Indications corporelles:
Apparence Physique : Ses cheveux noirs corbeaux, raides et ternes, encadrent un visages fin et volontaire, mais assez banal : un nez droit, des sourcils fins surmontant des paupières lourdes et des yeux gris, le tout complété par une bouche mince. Marion est grande, mince, élancée, avec des membres déliés qui lui donnent une certaine grâce.
Signe Particulier* : vous ne pourrez pas la voir, mais une cicatrice lui zèbre le dos, de l'épaule gauche a la hanche droite.
Indications mentales:
Caractère : Marion est discrète, et timide la plupart du temps. Mais elle peut réagir très vite si on l'agresse, si on agresse quelqu'un à qui elle tient ou si on la cherche en général. Elle n'aime pas montrer ses sentiments, et ne parlent pas beaucoup tant qu'on ne lui demande rien.
Elle soigne tout ceux qui le lui demandent, quelque soit la race; qu'ils soient vifiers ou artiseurs, rebelles ou royalistes, noble ou miséreux : il n'est pas dans sa nature de faire une différence entre eux, ce sont tous des êtres vivants mal en point.
On pourrait la qualifier de courageuse, quoique son courage ait quand même certaines limites (quelque soit son désir de paix, elle n'irait pas se mettre entre deux combattants!).
Marion aime soigner les gens (ce qui est une bonne chose, pour une guérisseuse), et on peut très bien affirmer qu'elle fait ça plutôt bien. Elle déteste les agressions et par dessus les guerres, et craint une guerre sans fin.
Rêve(s)/Espoir(s): qu'il y ait au moins un semblant d'entente entre vifiers et artiseurs. Bien que d'un rang moindre, elle fait, ferait et fera tout pour ça.
Indications Historiques:
Histoire :Née de parents paysans, dans un village modeste de l'ancien Royaume Vifier, près de la frontière avec le Royaume Artiseur. Son père et sa mère, qui haissait tous deux les artiseurs, prenait part aux batailles et aux infiltrations sur le territoire Artiseur. Cependant, le père de Marion tua, l'année des 16 ans de sa fille, le frère d'un nain qui était réputé pour perdre facilement son sang-froid (je veux dire... Encore plus que les autres nains!), lequel s'introduit dans le village avec une bande d'artiseurs et massacra sauvagement habitants, bêtes, femmes et enfants confondus... Bref tout ce qui se trouvait sur leur passage, dont les parents de Marion et Erna, l'animal de vif de la jeune fille qui pourtant échappa par miracle à une mort certaine : l'un des artiseurs la blessa au dos avec son épée (d'où la cicatrice sus-mentionnée), et la laissa pour morte. Mais la jeune fille se réveilla deux jours après le départ des attaquants, dans une maison inconnue, sur un lit inconnu, avec une vieille femme tout aussi inconnue penchée sur elle.
La vieille femme lui expliqua, avec un délicieux accent hibérique, ce qu'elle faisait ici, qui elle était, etc : elle s'appelait Josefina (par la suite Marion ne l'appela pas autrement que Pepita) et était guérisseuse. Elle était venue dans le village après l'attaque pour chercher des survivants, mais malheureusement n'avait survécu que la jeune fille. Pepita avait pansé la plaie de Marion du mieux qu'elle l'avait pu, et une fois que celle-ci fut remise, lui transmit son savoir.
C'est ainsi que vécut Marion pendant 5 ans, et de son vécu ne tira qu'une haine de cette guerre qui lui avait pris ses parents, Erna, et tous ceux qui lui étaient chers et c'était avec soulagement (certes de courte durée) qu'elle avait appris le mariage d'Alvis et Itzalina.
Après la mort de Pepita, Marion quitta la maison dans laquelle elle avait vécu avac la vieille femme, et partit pour la capitale, où elle espérait pouvoir aider de son mieux le maximum de personnes.
Rang* :Guérisseuse
Inventaire: Une besace renfermant diverses herbes médicinales et autres qu'elle trimballe partout.
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