Ruine du village de Furth

Lorsque Etan arriva à proximité du village il sentait l'odeur du sang, il allait pouvoir vérifier si ces hommes n'ont pas désobeit. Il arriva sur la place du village et put voir les cadavres d'enfant et d'homme masi pas un seul d efemme, cela le rassura, il n'aura pas à tuer un de ces hommes. Il arriva à l'endroit où ses hommes l'attendé et l'un d'eux l'appela:

Eh les gars revoila le chef !! beugla-t-il

Oui oui c'est moi... alors la pêche fut bonne ? Et les femmes ?

Voyons monseigneur quand nous vous dirons comment nous avons attaqué vous serez fier de nous...

Allons parle et vite je te prie.

Oui oui monseigneur, nous avons envoyer un de nos hommes déguisé en marchand pour prevenir le village que nous attaquions et que les femmes seraient épargné si elles s'en allaient maintenant. Depuis la colinne là bas, il montra une cilnne, nous avons vu que les femmes accompagnaient des nouriçons partaient et que les hommes restants et les quelques gardes se préparaient à notre attaques. Nous avons attaquaient, on a perdu peu d'homme car on avaient le nombre avec nous eheh...

Qui est mort ?

Bah, le vieux Ruppert, Billy et le frappé je sais plus comment il s'appele.

Gunz, il se nomme Gunz... vous entererz Ruppert.. il le méritait. Et le butin ?

Oh bah quelques cinqcentvingtroispiéces de cuivre et centvingtcinq piéce d'argent mais pas de piéces d'or. On a récupérer aussi des vêtements, des ustensils ainsi que des armes.

Bien bien vous vous etes bien amusez donc... maintenant nous partons par la route on se rend à la ville du château d'Arnestil mesieurs maispas pour les affaire spour le repos.

Et pour vous contentez sir non ? ahah

Tait toi et va le dire aux autres.

Bien chef !

C'est ainsi que la compagnie Noire reprit son voyage prenant par la route pour rejoindre la capitale d'Arnestil.


La grande route

Restes d'un campement

Ils arrivèrent à présent à l’entrée de ce qui avait du être un village autrefois. Seulement il n’en restait que ruines et désolations. Par endroit les décombres semblaient encore habitables ou avoir été réhabilitées.
« C’est sûrement le village de Furth. » Murmura Kéry.
« Rappelle-toi Kéïssa, Farden nous en a déjà parlé… C’est « la compagnie noire » de « l’imprévisible » qui est responsable de tout ce carnage ! »
A ces mots, des bruits d’éboulis se firent entendre. Et doucement, des regards apeurés et curieux, cachés derrière des murs en parti démolis, apparurent à leur approche…
Des enfants, et des femmes aussi… Par dizaines…Ils sortaient tous de leur cachette, rassurés de ne voir que des enfants et de petits animaux, car le loup accompagné d’Eldrr Siiarrk ne semblait pas hostile du tout… Un petit enfant ayant échappé à la surveillance de sa mère était justement en train de lui frotter le museau affectueusement…
Innocemment Kéïssa lança :
« Mais…il n’y a pas d’hommes dans ce village ? »
Les regards se troublèrent évasifs, perdus dans le vide, les visages se baissèrent, des soupires las et des sanglots étouffés par endroit…
Confuse la fillette rajouta… :
« Mais…qu’est-ce que j’ai dit… ? »
Une jeune fille pointa du doigt un petite vallée toute proche… A perte de vue s’étendait…de la terre remuée…ce n’était pas un champs de maïs…
Le vent passa dans ses longs cheveux dénoués, balayant des saletés courant sur le sol enneigé…
« Nos hommes…nos pères, nos frères, nos fils, nos amis, nos voisins…pas un survivant…de la compagnie noire… » Rajouta une femme vieillie par la fatigue et le chagrin.
Après un long silence, Eldrr se risqua :
« Pourquoi n’avez-vous pas rejoint le village le plus proche ? »
« C’est ce que nous avons fait au départ, mais nous sommes toutes revenues. C’est ici chez nous. Nous allons reconstruire le village. Et puis…nous ne pouvions pas laisser tout nos morts comme ça au déshonneur sans sépulture… »
Constatant les dégâts apparents, et les moraux sous-jacents… Eldrr se retourna en direction du petit au teint pâle… qui le fixait toujours inexpressif…attendant ou redoutant peut-être une sentence de sa part. Il lui prit la main et fit mine de se diriger vers la sortie du village, longeant les dernières demeures de fortunes de tout ces hommes tant pleurés…
Il ne pouvait pas laisser ici son nouveau petit protégé silencieux.

Au loin raisonnait le rire tintant du petit enfant qui avait joué un instant avec Loméga.


"Ancien village de Hitre."