Plaine campagnarde

Itzalina regarda Néron:

"Je vais mieux en effet comte d'Arkiliad et, c'est en bonne partie grace a vous, vous m'avez permi de prendre le repos dont j'avais besoin en vous chargeant d emes affaire et je vous en suis très reconaissante."

Puis, il lui fit signe de la suivre te, elle le fit:

Il lui annonça alors pour sa mère et, la nouvelle atrista fortement la reine. Elle avait perdu la sienne d'une longue maladie et en avait été boulversée. Elle avait pourtant fini par accepter cette perte. Après tout, c'était dans l'ordre des choses, les humain dépassaient rarement les 60 ans, et, la mort faisait parti de leur quotidien... Il en était bien différement pour la race elfe où passer plusieurs siècle auprès de ce qu'on aimait était chose habituelle. Aussi, elle ne pouvait qu'imaginer la tristesse du comte et ses réactions étranges de ces derniers temps trouvaient aux yeux de la reine une partie de leur explication.
"J'ignorait celà et ne peux qu'imaginer la detresse dans laquelle cette nouvelle a dû vous mettre.... Je suis vraiment désolée pour vous. " fit elle compatissante. " Mais, pourquoi ne pas m'avoir parlé de celà plustôt? J'aurais immediatement repris mes fonctions.
Je suppose que vous voulez aller la rejoindre. Peut-être que votre présence à ses côté l'aidera à aller mieux."

La reine rendit son sourire au comte d'Arkiliad. Puis elle ajouta avant qu'ils ne rejoignent le groupe.

Je serais de tout coeur avec vous comte. J'espère que votre mère se remettra au plus vite... Lui dit-elle

Et, ils rejoignirent le groupe.

Arya avait regardé au loin le dialogue entre Itzalina et le Comte, pensive, ne prêtant guère attention à ce qui se passait autour d'elle. Lorsque Néron la rejoignit, elle lui lança un regard plein d'encouragements. Elle descendit de sa monture, et s'approcha de la reine.

"Au revoir, reine Itzalina, je reviendrai le plus vite possible, après que ma reine aille mieux... J'espère que tout ira bien pour vous, et je serai avec vous en pensées..." Dit-elle en esquissant un petit sourire en coin qui lui donna un air étrangement triste.

La messagère s'inclina devant la reine, et puis elle remonta sur son destrier.

"Allons-y, Comte d'Arkiliad ! Chevauchons avec rapidité et légèreté..."

Itzalina salua d'un léger mouvement de tête accompagné d'un sourire les deux elfes qui s'aprétaient a parir pour Ewëndan.


"Messagère Arya, Comte d'Arkiliad, je vous souhaite une bonne route ainsi qu'un bon rétablissement à la reine Lalwende. Transmettez-lui mon salut et ce dernier souhait je vous prie."

Le Comte remercia une nouvelle fois la Reine.

Reyne Itzalina je ne manquerais point à faire passer le message. Prenez soin de vous et que vostre reigne soit propice.

Il se tourna ensuite vers Arya

Avec rapidité et légèreté oui...

Il lui communiqua la suite par la pensée

"avec vous à mes côtés, mon amie, mon coeur ne peut êstre que léger et pourtant rempli d'une telle passion envers vostre juste personne."

Néron se redressa fièrement sur sa belle monture et donna l'ordre de départ à ses cavaliers Hauts-Elfes.

Dressez haut nos couleurs ! préparez à faire entendre le son du Cor d'Ewëndan ! Direction la capitale Erivan!

Les cavaliers levèrent dignement les drapeaux et se mirent en formation. Deux d'entres eux sonnèrent les Cors et annonçèrent le départ.

La forêt

La reine répondit au comte d'un sourire d'encouragement puis, elle regarda le groupe des elfes s'éloigner vers Ewëndan.
Quand ils furent hors de vue, elle se tourna vers Etan, Bereciack et sa garde.

Elle demanda une monture à ses gardes et on lui tendit la bride de son destrier blanc que l'on avait fait préparer pour son retour.
Itza apprécia cette intention et elle essaya de trouver du regard celui qui avait eu cette attention pour elle.

Mais les visages des gardes restèrent fermés.
Peut-être était-ce une idée d'Arya ou du comte...
Itza remarqua alors le regard dur dont les gardes "gratifiaient" Etan elle s'approcha alors de lui, fixant ses hommes et l'invita à prendre sa propre monture pour chevaucher avec eux et ce, non en tant que prisonnier.

"Messieurs, je vous prierais de ne plus regarder messire Hans de la sorte. Il s'est montré je le pense honnête envers moi et souhaiterait se repentir. Peut-être pensez-vous que j'ai tord mais, vous comporter de la sorte avec lui ne risque pas de le pousser vers le bien. J'ai décidé de lui accorder une chance, faites-en autant."

Enfin, elle s'adressa à Bereciak qui semblait totalement perdu dans cette affaire:

"Monsieur... Je vous remercie d'avoir fait prévenir le comte d'Arkiliad. Dommage qu'il n'ai pas tout à fait compris la teneur de mon message... "

Et, la reine ajouta à l'adresse d'Etan: "Je regrette l'accueil que vous avez reçu messire alors que vous avez montré avec moi tant de bonne volonté. J'espère que vous ne nous en tiendrez pas rigueur. Il s'agit je pense d'une erreur de jugement que je tâcherais de réparer."

Elle pensait bien sûr au comportement du comte et des gardes mais ne pouvait tenir rigueur au premier. Il voulait la protéger malgré la difficulté de sa propre situation et, il était vrai que son comportement en temps que reine avec Etan pouvait paraitre étrange sous bien des points…

Elle n’ajouta pourtant rien et, c’est après un dernier regard sur sa compagnie que, dans un froissement d’étoffe la jeune femme monta lestement en selle où elle fut rapidement suivie de son compagnon de vif.
Elle s’apprêta alors à donner le signal pour rentrer au château.

Mais, avant celà, elle demanda:
"Nous accompagnez-vous messire Bereciak?"

Bereciak fut tiré de ses pensées par la reine...

Oh ! eh bien..., répondit-il précipitamment, comme vous le désirez, reine itzalina.

(hey ! on dirait que on est de moins en moins à venir sur le forum...pour ma part, j'étais occupé à travailler sur mon forum, mais j'ai du retravailler quelques catégories...)

( j'attendais la suite et à cause d'un bug wanadoo je n'ai pu venir tout ce matin)

Etan regarda les gardes qui détournaient le regard de lui, cela n'était pas exactemet l'ordre donné par la reine mais au moins il ne le fixaient plus. Il regarda la reine avec grand sourire.

Allons Madame, je ne vois pas comment en tenir rigueur alors que j'ai passé un agréable moment en votre compagnie. J'accepte avec un pareil bonheur votre invitation à venir avec vous.

Il monta à son tour avec légéreté sur son destrier et re garda Hector se preparer à partir attendant à ses côtés.

Tu m'aides pas béré lol

"Venez donc avec nous si vous n'avez rien d'autre à faire." Dit-elle à Bereciak avec un léger sourire

Puis, elle fit signe à la compagnie et, ils partirent en direction de la ville

La grand place

Grand place

Voilà longtemps que nous marchons et le soleil se couche déjà. Nous allons camper ici et repartiront au petit matin.

Mistral comprit de lui même ce qui se passait aussi il prit une position avantageuse pour pouvoir observer les faits et gestes d'Etan.

Etan fit un feu et s'y installa tout prés pour recevoir assez de sa chaleur, regardant les flammes rougeoyantes ondulées dans l'air et les bruits du bois qui craquait sous l'effet de la chaleur. Il semblait hypnotisé par ce spectacle oridnaire. Un éclair se fit en lui et des visions lui revinrent. Il voyait un Lac mais ne savait où il se trouvait, il voyait des tentes noires ansin qu'un batiment... une forge à ce qu'il pouvait voir. Il se voyait sur une table de bois massif comme sur une table d'un médecin. Puis tout s'arrêta tout d'un coup comme cela était venu. Il fut sous le choc puis se remit de ses émotions et se remit à admirer le feu, la nuit serait longue.


Une nuit passa


Etan se reveilla, l'aprés midi semblait commençait et la neige tombait, recouvrant les plaines aux alentours. Il remit de l'ordre dans le peu d'affaires qu'il avait et se remit en route. Toujours suivi par Mistral qui ne le quittera pas jusqu'à son retour au château.

Hector que pense tu de ce voyage... en vaut-il la peine ?

Hector le regarda, silencieux, sans aucune expresison. Il ne lui répondit même pas.

Tu es bien silencieux Hector.... saurai quelque chose que j'ignore ?

Le renrd continua d'avancé sans même le regardé.

Tu m'intirgue... qu'est-ce-qui pourrait te faire taire ainsi ?

Il arrivérent dans un marais, l'deur d'eaux croupies et de chair en décomposition créaient une atmsphére glauque et peu réconfortante.

Je comprend maintenant ton silence mon ami.

Marais de Yantar

Grande place

Les hommes composant la garde de la reine s’étendirent en campagne. Ils avaient au creux de leurs reins une appréhension plus grande que les quelconques dangers qui pouvaient les guetter en ces lieux. L’appréhension de manquer à leur devoir et de décevoir leur reine. Elle n’entrait que très rarement dans des colères royales mais il ne valait mieux pas se trouver dans son chant vocal à ces moments là !

Où donc pouvait s’être dissimulé un seul être ! Ils étaient si nombreux et lui seul et sans force. En même temps il est vrai qu’il est plus facile de cacher un homme que toute une compagnie royale !

Les hommes ne savaient où et comment être le plus efficace dans leur quête. Quand soudain, un des hommes eut une lueur !

-On a oublié de passer au crible le port… Le « rendez-vous » ce rafiot puant est un vrai repère de tout ce qu’on veut ! Il doit se dissimuler là-bas parmi toute la pègre flottant à son bord !

Sur ces paroles qui ébranlèrent soudain tout les hommes, s’installa un grand silence pesant. Les hommes s’apprêtaient à rebrousser chemin en direction du port d’Arnestil. Quand soudain, un homme correspondant à la description de la personne à appréhender fit son apparition au loin entre deux troncs d’arbres. Un garde le vit et lança la troupe à sa suite. Il s’en suivit le retentissement aigu d’un cri dans les hauteurs des arbres. Ils élevèrent leurs regards et aperçurent soudain un oiseau gris qui déchira le ciel de son passage. Il alla rejoindre le fugitif.

Les gardes s’élancèrent à sa poursuite. Enfin ils avaient retrouvé sa trace…


L'orée de la forêt