Coeur de la fôret

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C'est ici que les bois sont les plus vieux. Mais apparement certains d'entre eux sont vivant alors prudence !

Bereciak arriva dans la partie obscure de la forêt. Il entendit un cri faible, à peine audible
Il se dirigea dans la direction d'où venait le cri et vit un pygmée bloqué sous un amas de branches qui appelait du secours.
Bereciak n'hésita pas et souleva de ses deux mains le tronc qui bloquait le pygmée. Après l'avoir ausculté, pansé et soigné il le laissa partir tout heureux. (je dois préciser aussi qu'il reçut 10 pièces d'or du pygmée pour l'avoir sauvé et il les rangea avec précaution dans son sac)

Brrr ! quel endroit obscur ! dit-il.
PFFFUIIT !

Au sifflement de Bereciak, un éclair brun trancha le ciel et vint se poser sur son épaule, Rapia.
Après l'avoir affectueusement carressée, Bereciak reprit sa route...

Après toutes les aventures que Shinigaara a passé cette journée, il décida de se dégourdir les jambes, et de rapporter un peu de peau ou de viande des animaux ou monstres qui peuplent la forêt... Après tout, pourquoi il aurait peur de quelques monstres ridiculement gros, costauds et dangereux ? Frrrtt...Frrrttttt... un buisson bougea, et une chose sorti de l'ombre du buisson en sorti : C'était Bashira !!

- Bashira !! Comme je suis content de te voir !

- Moi aussi, cela fait longtemps que l'on ne s'est pas vu, Shinigaara... Avançons dans cette forêt obscure !

- Oui, allons-y !!

C'est comme ça que Shinigaara et son ami Bashira rentrèrent dans la forêt, avec une détermination indomptable et une force inhaltérable !!

Au bout de 10 minutes de marche vers le coeur de la forêt...

- A ton avis, on arrivera dans combien de temps ? J'ai toujours pas vu une seule trace d'un monstre, même d'un simple animal ...

- C'est étrange... Lorsque je me promenait ici, avant que l'on se rencontre, on pouvait y voir toutes sortes de monstres grouillant dans chacun des coins existant dans la forêt et là ... Il n'y a plus rien ...

- Effectivement, c'est vraiment bizarre moi ausssi je ...

Un bruit vint couper la conversation de nos deux compères. On pouvait distinctement entendre un orc féroce, sûrement gros et dangereux. Le genre de monstre que Shinigaara et son ami à quatre pattes adoreraient vaincre ! Nos deux héros courèrent vers le bruit, puis virent un orc boire de l'eau dans le lac ... C'est le moment d'attaquer !!

- A trois on attaque d'accord ?

- Ok ... TROIS !!

Les deux " barbares " fonçèrent vers l'orc qui s'enfuit on ne sait pourquoi ...

- Mais ? Qu'est-ce qu'il lui prend ??

- Je ne sais pas mais je pense qu'on devrait rebrousser chemin ...

- Oui, je crois que tu as raison ...

Nos deux amis retournèrent sur leurs pas ...

Entrée de la forêt

Cela faisait des heures qu'Etan Hans, l'ex chef de la compagnie noireerrait dans cette forêt. Même accompagné de son animal de vif qui tentait d'eggayer la situation se sentait terriblement seul.

A qui m'ont servir ces vingt années ? Les aurais-je gaspillées ? Ou put être que j'ai mal interprété certaines choses qui aurait dû m'envoyer sur une voix differente ?

C'est ainsi qu'Etan était dans une confusion la plus totale, il commenait à pleuvoir mais cela le gener nullement car il avait la tête à autre chose. Il avancait touojurs dans la même direction quand ilarriva à un petit bosquet. Il s'arreta net à la vue de celui ci. Il se rememora son enfance et sa rencontre avec un gropue de chevaliers en armure noble, leurs armures d'un blancs éclatant. Mais cette fois ci le bosquet n'abritait personne et il semblait noirci par on ne sait quel procédé.

Serais-ce ma faute ? Les horribles choses que jai pu commettre aurait-elles pu détruire ce lieu saint ? Que dois-je faire à présent ? Me suicider ? Cela libera beaucoup d'âme. M'exiler ? Ne l'ais-je pas deja fait en errant dans cette forêt ? Changer ? Me repentir et choisir une voix nouvelle ? Plus pieuse et austére ? Plus noble ? Oui cela serait de loin la meilleur idée, mais... vêtu de haillons et sans le moindre sous. Même mon épée est tellemet rouillé et usée quelle ne saurait même plus couper un brin de blé. Comment fait-on pour s'enrichir sans rien faire ? Sans faire peur et voler ? Sans torturer et assassiner ? Sans piller et détruire ?

Pendant qu'il résonnait sur comment devenir meilleur, un homme, un ermite plus précisément l'épiait....

Ce lieux est depuis longtemps abandonné des dieux. Déclara une voix.

Etan surpris se retourna, et voyant l'ermite s'approchai de lui il lui demanda:

Qui etes vous ?

Oh, un simple ermite qui a quitté la vie de la ville car je l'a trouvé trop monotne et peu propice à l'épanouissement. Vous me semblez bien desespéré messire que vous arrive-t-il ?

Messire dites vous ? Ce mot n'a plus aucune signification pour moi. Je ne mérite nullement ce titre. Peut être avait vous entendu parler de la compagnie noire et de son chef ? Des massacres du village de Hitre et Furth.

Oui en effet et je suppose que vous etes l'ancien chef de cette compagnie.
Oui j'ai eu en effet le commandement.

Je m'en doutais, mais à ce que j'ai entendu vous aspirez à présent au repentir.

Oui... en effet... je n'ai que été un triste sir... je veux que cela change..; que l'on me voit sous un jour nouveau...

Cela se comprend, mais suivez moi odnc je vous prie je vais vous conduire en un lieux plus propice à notre conversation, je vous invite dans mon humble demeure. C'est une cabane peu éloigné un peu plus loin par là, l'homme montrant une direction quiétait bien égale pour Etan.

Linaëwën et Aska avançaient à pas feutré dans la forêt, pas un bruit ne les accompagnait. Linaëwën repérait les distances qui la séparaient de la forteresse du Château quand elle estima qu’il était temps de partir en chasse avec Aska.

Elles se tapirent un long moment dans le feuillage froid d’automne, attendant patiemment qu’un lièvre se présente, au regard de sa louve, elle sut qu’un s’approchait sans se douter que sa fin était proche. Elle retira sa dague de son entrecuisse faisant glisser la lame délicatement sur elle, prenant le poignard par le manche, Aska lui siffla doucement qu’il arrivait par la gauche. Dans un mouvement coordonné au vent, elle se retourna sans un bruit, se retrouvant ainsi face à sa petite proie.
Les oreilles, puis le petit museau reniflant tout devant lui apparurent sous le regard de Linaëwën.

Sa dague fendit l’air dans un souffle et atteignit sa proie du premier coup ne lui laissant pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait.
Aska se redressa et d’un bond alla chercher leur repas du soir, la tenant délicatement entre ses crocs.

Linaëwën l’entendit lui demander quand elle comptait s’arrêter et faire cuire ce divin festin quand elles tombèrent sur une cabane abandonné depuis fort longtemps.

« Restes là Aska » souffla Linaëwën qui partait déjà visiter cette vieille masure délabrée.

Elle resta dans la masure en appelant Aska par un sifflement ressemblant plus à un chant d’oiseau, et la vit apparaitre dans la seconde qui suivit, le lièvre toujours entre ses crocs.

« Nous nous occuperons de rétablir un peu mieux cet endroit demain, pour le moment faisons un feu et nourrissons nous ma belle Aska »

Elle vit alors partir Aska un peu plus loin aux alentours, sachant qu’elle allait ramener un peu de bois pour elle, commença à allumer ce feu. Les larmes jaillirent, laissant leurs ombres danser à même le sol.
Elle s’installa alors en tailleur, a l’affut du moindre bruit, patientant que sa louve revienne en trainant du bois, elle dépiéca le lièvre, mettant de coté la peau qui lui servirait plus tard, la tannant légèrement et la préparant pour sécher pendant qu’elle préparait la viande à cuire quand sa louve arriva avec de longs morceaux de bois derrière elle, les trainant dans sa gueule comme elle pouvait.
Elle alla l’aider, mit les morceaux de bois sur son feu et s’installèrent dans le plus grand silence toute les deux, Linaëwën se tenant assez loin du crépitement des flammes dont les douloureux souvenirs revenaient la hanter sans cesse.
« Aska, demain, nous allons devoir partir nous trouver des alliés, et étonnamment je doute que cette tache soit si aisé ! J’ai la sensation troublante que beaucoup ont retournée leur veste et son partisan de ses pantins qui gouvernent ! »

Elle entendit le rire de sa louve résonné dans sa tête quand elle la regarda en souriant

« Ne t’inquiètes pas Linaëwën, je t’aiderais dans ta quête qui est la mienne aussi… »

Diana perdue et pour de bon,se posa près d'un arbre et se morfondait:
-Rha je suis nulle, la géographie et moi ca fait 2! maintenant je suis perdue! et je n'ai meme pas Zaphire avec moi..

Diana se remit en marche...Finalement elle décida de marcher sans trop savoir ou aller...

Le lieu

Vifier(ère) Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 17/05/2008

Début de l'histoire

Deynne était arrivée avec Ramsès à échapper à Arëyuk, le chef des gardes d'Ewëndan. Elle arriva au coeur de la forêt et en profita pour faire une petite pause.

Ram' va explorer les environs, s'il te plaît, ordonna-t-elle à l'ocelot qui s'exécuta.

Rien qu'avoir parcouru peu de distance entre la cabane de l'ermite et là où elle se trouvait l'avait épuisé. C'était une véritable chance qu'elle ait pu tenir jusque là.
Elle s'allonga sur le sol herbeux qui pour elle comme un matelas et le souffle du vent la borda comme une couverture invisible. Elle regardait le ciel bleu ensoleillé dont la lumière était entrecoupée par les arbres imposant comme s'il la protégeaient.
Elle se remémora de longs souvenirs heureux de la femme qu'elle avait pu être il y a bien longtemps, des souvenirs qui lui semblaient familiers.
Elle fut volontiers restée ainsi plusieurs heures mais une langue rapeuse la lécha. Ramsès avait terminé sa ronde. Il fut récompensé de multiples caresses et gratouilles qu'il appréciait plus que tout au monde.

Deynne se redressa. Elle n'avait pas encore faim mais peu s'en fallait et elle décida de sortir de la forêt.

Jardins du château d'arnestil