La Basse Cour

Cellule d'Etan

La basse cour était l'endroit où se croisaient les serviteurs, et tout autre formes de gens de bas-étages.

"La Porte est juste devant ma Reine encore un peu d'effort..."

Autour des trois personnes grouillait une centaine de soldats, et une multitudes de gens ... tous effarouchés par la situation.
Yuk dut crier pour se faire entendre

"Qu'on nous ammène deux chevaux de la meilleur race !"

Lorsque on les leurs ammena, Etan monta le premier et fut suivi de la reine (qui en fut naturelement forcée)

Alors que Yuk forçait la reine a monté, il vit sur le mur d'enceinte des archers qui crachèrent leurs flèches, Yuk se jeta sur le cheval qui le fit décamper, Etan et la reine sortiait du chateaux, a lui de s'en sortirent, même avec la flèches dans l'épaule et celle dans la cuisse, en une fraction de secondes, il prit ses derniere forces et sauta sur le cheval, il lui souffla des mot à l'oreille, et l'animal s'en fut du grand chateaux...

Pour l'instant, seules les flèches le poursuivait, une flèche l'atteignit dans le dos, le tir chanceux lui arracha un cri de douleur, et il s'évanouit sur le dos du destrier.

-> Entrée de la forêt

-> (Etan) Plaine campagnarde

L'entrée du château

Des voix d'hommes se firent entendre grandement.
Les gardes revenant de leur course poursuite bredouilles, appelaient un serviteur à venir à leur rencontre. L'un d'eux ne tarda pas à se présenter devant les gardes insistants. Le serviteur de château venait de recevoir la consigne d'aller chercher le conseiller Bélius.
Il s'exécuta sur le champs.


Les jardins royaux

Arrivait à la basse cour, Bélius se fait appelé par un serviteur avec un visage ferme.
Paniqué par la situation, Belius dit :

Que se passe t'il,serviteur? y a t'il un problème au chateau?

le serviteur aux ordres des gardes lui répond :

Des gardes veulent vous voir, voulez vous bien m'accompagnez s'il vous plait?

Ne comprenant tourjours pas ce qu'il se passe, d'un air inquiet , il décida de suivre le serviteur.

Le serviteur ayant ramené Bélius auprès des gardes, ceux-ci lui exposèrent les faits.

-Nous avons échoué à notre tache. Le fugitif Béréciak nous a échappé aux environs des plaines des lamentations. Disparu.
Nous somes revenus grandement éprouvés par les ombres du domaine des plaines des lamentations. Certains d'entre nous n'ont toujours pas recouvré la raison. C'était horrible. Il serait pure folie que d'y retourner chercher cet elfe. Nous ignorons où il se trouve, mais ce ne peut être en ce lieu..........ou bien les elfes sont immunisés contre les apparitions et les sortilèges des esprits sombres, mais je ne le crois point ! C'était un piège. Nous avons été victimes d'un piège, je ne vois que ça
Que devons-nous faire à présent ? Et comment annoncer cela à la reine ?

Puis, observant les réactions de Bélius sur son visage à toutes ces nouvelles, ils attendirent ce qu'il allait leur dire.

Bélius refléchit sur les faits et repondit d'un ton ferme :

Gardes, avez vous chercher Béréciak dans tout le royaume.
Et son vif, ou est t'il?
Bélius regarda les gardes un par un et s'exclama :

Il ne faut surtout pas que la reine soit au courante de ses faits pour l'instant! Elle est trop occupée par d'autres problèmes et son état de santé est trop fragile suite au départ du roi!

Les gardes se regardèrent les uns les autres. Ils avaient oublié d'inspecter le "Rendez-vous "sur le port. Une espèce de gros raffiot qui était un vrai repère de tout ce qu'on veut...........
De Plus, ils n'avaient pas la moindre idée d'où pouvait se trouver le vif de Béréciak. Aller trouver un oiseau dans le ciel où dans un arbre était tache comparable à celle de trouver une aiguille dans une botte de foin !

-Nous n'avons pas fouillé le navir de divertissements sur le port sir Bélius. Et pas davantage de pistes tangible pour chercher l'oiseau de l'elfe que l'elfe lui-même.

Ils se sentaient vraiment misérables. Inclinant la tête vers le sol, et osant à peine lever les yeux face au conseiller qui les inspectait mécontent, ils attendirent la suite.

->Pour trouver une aiguille dans une botte de foin, il suffis de bruler la botte et de passer un aimant dans les cendres...
Bon, d'accord, j'arrète, je n'ai pas pu m'en empeicher...

Itza qui a du mal à se controler ce soir lol

Bélius savait que c'etait pas une tache facile. Il se retourna vers eux, les yeux rivés sur les gardes, il repondit d'une voix autoritaire.

Vous avez pas fouillé le port!!!qu'avez vous fait!!!

Il pivota sa tête au ciel et repondit d'une voix reflechit :

Rien n'est impossible, attrapez moi tout les rapaces lui ressemblant!
on trouvera bien le fameux vif de Bereciak...

Les épaules droites , la tête haute, il fit trois pas en direction les jardins et dit :
Gardes ne me decevez pas ! et s'en alla en direction les jardins pour retrouver sa majesté...
les jardins

Les gardes se séparèrent.
Une partie s'élança en toute hâte en direction du port pendant que les autres partirent à la chasse aux oiseaux !


Le port : Le "Rendez-vous"


Alors comme ça, sa Majestée se lache........
Mais j'avoue qu'il fallait y penser !